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[Fiche] Koyuki Hara (terminé)

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AuteurMessage
Koyuki Hara

Type Sigma

Type Sigma

Koyuki Hara

Race : Mutant
Clan : Institut
Age du perso : 40 ans, mais en parait 30.
Profession : Co-directrice du nouvel Institut
Affinités : Aucune connue
Points XP : 1000


-PERFORMANCES-
Pouvoir: Ice Woman
Type: Sigma
Niveau: 5

MessageSujet: [Fiche] Koyuki Hara (terminé) [Fiche] Koyuki Hara (terminé) EmptyVen 7 Nov 2008 - 8:48

Nom et prénom : Koyuki Hara

Surnoms : Koyu, Yuki

Age : 40 ans (née le 6 janvier 2011) mais en paraît à peine trente. Cela est du à la longue période de cryogénisation du sujet.

Race : Mutant

Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ?
Le sujet ne semble pas avoir été vacciné, puisqu’il n’apparaît dans aucun des registres. Vu son age, ses parents n’ont pas non plus été vaccinés.

Origine : Cette mutante est originaire du Japon. Elle a vécu quelques mois aux Etats Unis, plus précisément à Boston, au sein de l’Institut Xavier. Après les actions anti-mutantes de 2031, nous avons perdu sa trace, et c’est en 2043 que nous l’avons retrouvé. Elle est désormais co-directrice de l’Institut et vit donc en Angleterre, dans la banlieue de Londres.

Clan : Nouvel Institut

Pouvoir
: Maîtrise de la glace. Koyuki peut s’en servir de différentes façons. Comme bouclier pour se défendre, ou encore en formant des shurikens de glace, armes redoutablement tranchantes. Cependant, la jeune fille ne peut se servir de son pouvoir que très peux de temps. En effet, son utilisation la fatigue énormément. En de rares occasions, si elle a trop forcé, elle peut s’évanouir et plusieurs jours de repos lui seront alors nécessaires. Plus elle est faible, moins son bouclier sera épais et protecteur. De même pour les shurikens crées, qui se verront plus fragiles et moins précis en fonction du degré de fatigue de leurs créatrice.

Première évolution : Koyuki réussit désormais à diminuer la température autour d’elle, jusqu'à maximum 10 degrés. Une telle réduction n’est possible que sur une surface égale à une petite pièce, et plus la surface à refroidir et grande, moins sont pouvoir sera puissant. Elle peut par exemple réduire de 5°C la température d’une pièce de taille moyenne, et de seulement 2 degrés celle d’une plus grande pièce. Aussi, la température de base du lieu joue. S’il fait 40°C, Yuki aura bien plus de mal à garder longtemps une température basse que s’il fait seulement 4°C. Ce pouvoir permet entre autre à son mur de glace de fondre plus lentement, mais aussi, si elle ne fait que diminuer la température, dans une situation calme, de se ressourcer (puisqu’elle aime le froid et se sent mieux en plein hiver qu’en été).
Koyuki peut utiliser ce pouvoir durant environ 5 minutes, et ce toutes les trois ou quatre heures, le temps pour elle de se reposer.

Deuxième évolution : Koyuki peut maintenant diminuer la température d’une petite pièce jusqu’à un maximum de 15°C, ce durant environ 10 minutes, toute les trois heures. Aussi, son mur de glace s’est considérablement épaissit, et les balles de petits calibres ne parviennent plus à le traverser. Bien sur, il volera en éclats sous le tire d’un fusil à pompe. Dernière chose, les shurikens que Koyuki fabrique sont plus précisément ciselés, ainsi, ils sont dotés d’une meilleure pénétration dans la matière. Par contre, la mutante a encore besoin de beaucoup de concentration pour utiliser son pouvoir. Celui-ci étant gourmand en énergie, il lui faudra être en très grande forme pour l’utiliser à son plus haut niveau (décrit ci dessus).

Troisième évolution: Sa maîtrise de la température est tel qu’elle peut désormais geler une pièce moyenne durant un bon quart d’heure, faisant apparaître une couche de givre sur les murs (environ 15 degrés de moins pour une pièce moyenne donc). S’il y a présence d’eau, le pouvoir est renforcé, la température pouvant baisser d’avantage, grâce à la congélation du fluide. Mais le plus important du pouvoir consiste en le fait que Koyuki commence à pouvoir renouveler son expérience de cryogénisation, mais de façon relativement contrôler. Ainsi, elle commence à pouvoir se geler partiellement. Par exemple, elle peut geler un de ses poings durant quelques minutes (5 au maximum), le rendant plus résistant.

Quatrième évolution : Koyuki Réussit à maintenir une température comprise entre moins 15 et moins 20°C durant une vingtaine de minutes, sur une surface de 50 mètres carré. De plus, elle réussit désormais à geler entièrement son corps, durant un maximum de cinq minutes… mais la « ice-morphose » n’est pas encore totale. Son corps reste le même, mais en version geler (comme un cadavre dans un congélateur quoi), ce qui, comme explicité plus haut, peu s’avérer pratique en cas de combat rapproché.

Cinquième évolution : Koyuki a gardé la même maîtrise de la température, elle ne peut toujours pas la faire descendre de plus de vingt degrés, mais elle peut maintenir une « aire glacière » durant une bonne demie heure les jours où elle est en grande forme. Elle réussit désormais à transformer son corps en glace, devenant presque aussi résistante que le mur qu’elle peut matérialiser... à la différence prêt qu’elle est toujours libre de mouvements, puisqu’elle est avant tout mutante. Ainsi, elle résistera sans problème à toutes attaques à mains nues, alors que les siennes sont redoutables. Les petites lames, quand à elles, ne lui feront pas grand mal non plus. En revanche, les balles la perforeront comme elles perforent la chaire humaine, puisqu’elle est moins résistante que son mur de glace. Une fois qu'elle aura retrouvé son état normal, la japonaise saignera d’ailleurs comme si elle ne s’était jamais métamorphosée.

Aptitudes :
-Parle couramment le japonais, sa langue natale.

-Pratiquant le kenjutsu (art du maniement du katana) depuis l’enfance, Koyuki sait se servir d’un katana et d’un wakisashi (petit sabre se tenant avec la main la moins habile et servant ordinairement à la parade). Elle est donc une redoutable adversaire lors des combats au corps à corps.

-Sait jouer du hitsuno koto (sorte de cithare japonaise à 50 cordes)

-Sait cuisiner (surtout la cuisine japonaise hein^^)

Description physique
: Koyuki est japonaise mais n’en a pourtant pas tout les traits. Elle est menue, mesurant 1m55 pour seulement 43kg, jusque là, tout est normal, les nippons n’étant pas réputés pour leur imposante corpulence. Mais ses yeux, bridés, sont semblables à la glace un jour de brume, l’épais trait noir les entourant accentuant la clarté de leur couleur. Ses cheveux, quand à eux, sont raides et arrivent en un dégradé élégant jusqu’au bas de sa nuque, leur teinte variant en une palette allant du gris foncé au blanc. Mais leur couleur, tout comme celle de ses yeux d’ailleurs, et naturelle, fruit des changements survenus dans son métabolisme lors de son adolescence.

Aujourd’hui, afin d’attirer le moins possible l’attention sur elle, la nippone se teint régulièrement les cheveux en noir, couleur classique pour une asiatique. Passons maintenant au visage. Les traits de Koyuki sont fins, bien dessinés, donne une incroyable impression de douceur et de gentillesse, celles-ci étant relevées par les lèvres de la belle, pas exceptionnellement charnues, mais souvent marquées d’un sourire charmeur teinté de rose pâle.

Pour ce qui est du corps, Koyuki est plutôt jolie, bien que peu féminine. Elle est très fine, à l’aspect chétif voir enfantin. Si l’on se base sur son physique, on ne lui donnerait pas du tout 40 ans (notamment à cause de son pouvoir et de sa cryogénisation, expliquée plus loin). Ses formes sont donc loin d’être généreuses, n’attirants pas l’attention. Et c’est sans doute mieux ainsi. Disons que lorsqu’un homme s’adresse à elle, il la regarde généralement dans les yeux, et pas ailleurs.

Pour ce qui est des vêtements, Koyuki les préfère noirs, avec quelques touches de couleur tout de même. Souvent vêtue d’un corset et d’un jean lors de ses jours de repos, elle aime se démarquer de part sa tenue. Etant jeune, elle était ce qu’on appel une gothique lolita. Aujourd’hui, son rang ne lui permet plus autant d’excentricité. Le tailleur est de rigueur pour les apparitions dites officielles.

En période de froid, elle revêt un long manteau noir, fait d’un tissu nouvelle génération, à mis chemin entre le feutre et la laine, respirant mais imperméable. Elle aime aussi porter des chapeaux. Elle en possède une bonne vingtaine, allant du classique noir à l’immaculé et passant par le rose bonbon, le bleu lapis-lazulis, le rouge sanguin ou le gris ciel, rappelant la teinte de ses yeux.

Signes particuliers : Koyuki s’est fait tatouer le prénom Yukiko, signifiant fille de la neige, sur la nuque. Son omoplate droite est, quand à elle, tatouée d’une fleur de cerisier (sakura).

Le bas de son dos est orné d’un tatouage tribal, faisant penser à un oiseau prenant son envole. Ce dernier tatouage a été fait peu de temps après le réveil de Koyuki, en signe d’une nouvelle vie, pleine d’espoir.

Compte tenue de ses dix années de cryogénisation, Koyuki n’a pas « vieillit ». De plus, il semble que son pouvoir, s’accompagnant d’une température corporelle anormalement basse, la « conserve ». Son corps semble vieillir plus lentement. Elle ressemble donc à une jeune femme d’environ 25 ans, alors qu’elle en a 40.


Dernière édition par Koyuki Hara le Dim 5 Avr 2009 - 15:42, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Fiche] Koyuki Hara (terminé) [Fiche] Koyuki Hara (terminé) EmptyVen 7 Nov 2008 - 8:52

Histoire : Première partie, enfance et arrivée à l'Institut

Nous avons, pour écrire la vie de la mutante Koyuki Hara, traduit différents témoignages écrits, et ce, le plus fidèlement possible du japonais à l’anglais. Nos différentes sources ont été retrouvées sous forme de petits calepins et de lettres, dans les différents lieux où a habité la jeune mutante, mais aussi chez les personnes ayant eu un quelconque rapport avec elle. La plupart de ces documents sont certainement des morceaux de journaux intimes, ou encore des extraits de correspondances. Cependant, il nous a été impossible de reconstituer son passé intégralement et certains moments de sa vie restent aujourd’hui un mystère que nous tentons toujours d’élucider.

****

Koyuki est née dans un petit village, près de la ville de Sapporo, là où l’hiver est long et glacial. Elle naquit un matin de janvier 2011. Je m’en souviens parfaitement. C’était le 6, et le soleil peinait à nous éclairer. Nous étions perdus au milieu des bourrasques de vent et des averses de neige lorsqu’elle poussa son premier cri. Ses parents, Yukiko et Hiroshi, étaient aux anges, tout comme moi. Je suis la sœur de Yukiko, et donc ce que vous appelez tante pour la petite Koyuki. Je me nomme Sakura, et c’est moi qui ai élevé Koyu-chan, ma sœur et son mari travaillant tout deux énormément. C’était une enfant facile, sage, mais aussi très émotive. Elle pleurait souvent. Avant.

Elle a toujours été proche de la nature et voir, par exemple, un chat écrasé l’emplissait d’une profonde tristesse. Vous auriez du voir notre maison ! Remplie d’animaux à longueur de temps. Dès que la petite en voyait un blessé, il fallait qu’elle le ramène pour le soigner, puis quelques jours, semaines ou mois plus tard, elle le relâchait dans la nature, comme si de rien n’était. Nous étions tous très heureux, nous vivions bien, la vie souriait à la petite. En fait, nous étions très écartés des mutants, et c’était bien mieux ainsi. Quelles horribles choses auraient-ils fait à ma petite Koyuki s’ils l’avaient trouvé ?! Le fait de n’avoir aucun contact avec ses immondes créatures a vraiment été une chance pour elle. Quoique je me demande si elle n’aurait pas tenter de se ranger à leur cause, et de les traiter comme nous, comme des humains. Elle était une si gentille fille… Et son avenir paraissait si beau… Elle était promise depuis l’âge de 9 ans à Takeshi, un jeune homme respectable et à la tête d’une grande fortune, qui était aussi l’employeur de son père. Sa vie aurait été parfaite. Mais pourquoi est elle partie ?

Je me souviens de son changement d’attitude. Je crois qu’il est apparu vers ses 13 ans mais s’est fait progressivement, durant une année, peu être deux. Koyuki est devenue plus froide, plus distante. Au début, elle était seulement devenue plus froide et plus distante, elle sortait un peu moins avec ses amies, et elle me paraissait toujours un peu pâlotte, comme si elle avait attrapée une mauvaise grippe, mais elle m’assurait que tout allait bien. Elle ne voulait rien me dire, pas plus qu’à sa meilleure amie, Hikari. Elles étaient pourtant ensemble depuis leur petite enfance, confidente l’une de l’autre. Mais au bout de quelques temps, les deux n’eurent presque plus aucuns rapports et ma nièce passa la plus grande partie de son temps libre enfermée dans sa chambre. Elle avait cessé de s’occuper des animaux blessés et pleurait presque continuellement. Aussi, elle était parfois en proie à des colères folles durant lesquelles elle ne se contrôlait absolument plus.

Ses parents se rendirent bien vite comptent que la petite allait mal, et ils décidèrent de l’inscrire à un club de kenjutsu, de façon à ce qu’elle acquière la maîtrise de soi. Elle excella très vite dans le Niten ryu (maniement du katana et du wakisashi simultané). Elle s’entraînait dur, parfois jusqu’à l’épuisement. Elle semblait aller mieux de jours en jours et pour preuve, je ne l’ai plus jamais entendu pleurer depuis qu’Hiroshi lui a offert les deux armes avec lesquelles je l’ai vu partir. Elle se mit même à la pratique du koto, et pas n’importe lequel, celui à cinquante cordes !

Une fois, je suis partie chercher des fruits et légumes au village. Lorsque je suis rentrée, j’ai trouvé Koyuki et son père en train de se disputer, en venant même aux mains. En me voyant, ils ont tout deux cessé de crier et de frapper, puis Yuki est partie dans sa chambre. Elle en est revenue au bout de quelques heures, la mine grave, pas une seule expression dans les yeux. Ni colère, ni même tristesse. Elle tenait un gros sac dans sa main et ses deux armes pendaient à son côté gauche. Je su tout de suite que je ne la reverrais plus. Elle me dit un rapide au revoir puis parti, sans même un mot à son père, sa mère absente. Yukiko vécu d’ailleurs très mal cette séparation brutale d’avec son unique fille.

Je ne sais pas ce que Koyuki est devenue, je n’ai jamais eu de nouvelle et son père ne m’a jamais expliqué ce qui s’était passé entre eux ce jour là…

****

Ma fille ! Ma propre et unique fille est une mutante ! Pourquoi ? J’ai pourtant tout fait pour la protéger ! Ma fille… Koyuki… Il faut tous les exterminer. C’est la seule et unique solution, il faut éradiquer les mutants de toute la planète. Si cette race n’avait pas existé, ma fille chérie serait encore ici. Pourquoi a elle été choisit ? Pourquoi elle ? Cette race est tellement inutile, à quoi cela lui servira t-il de manier la glace ? Et son fiancé est en rogne à l’idée d’avoir perdue celle qu’il aimait, à coup sur il va me licencié… Que dois-je faire ? C’est ma fille, elle n’a pas d’argent et se retrouve seule, dans des endroits inconnus, elle qui n’a jamais quitté notre région. Je pourrais me procurer un antidote, il doit bien en y avoir encore quelque part, et ainsi je guérirais ma fille. De toute façon, elle n’a pas du aller bien loin. Tout serait comme avant, tout serait beau, ma petite Koyuki se marierait avec Takeshi et je conserverais mon travail. Les autres mutants seraient de toute façon tués un jour ou l’autre. Mais Koyuki est ma fille, je dois la sauver. Non, ma fille ne restera pas un montre…

****

Je ne sais pas comment ma petite fille à fait pour parvenir jusqu’ici, mais lorsque j’ai ouvert la porte d’entrée, je l’ai vu là, amaigrit et frigorifiée. Sapporo et Tokyo sont si éloignées que je ne comprends toujours pas pourquoi Koyuki a décidé de venir me voir moi, son vieux grand père. Je sais bien qu’elle écoute les disques du groupe auquel j’appartenais en temps que bassiste en boucle, bien que le temps de Dir En Grey soit passé depuis de longues années, mais ce n’est pas une raison pour parcourir des centaines de kilomètres, vraiment, je ne comprendrais jamais ma petite fille, qui n’avait alors que 15 ans.

Elle a frappé à ma porte un après midi et m’a tout de suite serré fort dans ses bras. Puis elle m’a raconté tout ce qui s’était passé, sa dispute avec son père à propos de son pouvoir, ses adieux à Sakura, sa tante, et comme sa mère, Yukiko, lui manquait. Mais elle refusait catégoriquement de retourner là bas, dans cette maison où jamais elle ne serait acceptée, et cela à cause du don que la vie lui avait fait. Oui, pour moi, pouvoir contrôler les éléments, ou tout autre chose d’ailleurs, et un don et non une punition. Il est vrai que déjà enfant, mon fils Hiroshi était contre l’existence d’être génétiquement modifiés, mais de là a en renier sa propre fille… Enfin je m’égare. Koyuki m’a donc tout raconté, puis je l’ai amené dans une chambre d’ami et elle s’est endormie très profondément. Les jours suivants furent dur à vivre, tant pour elle que pour moi, qui étais habitué à vivre seul. Elle reprit des forces puis je pris la décision de l’aider. Elle devait apprivoiser son pouvoir.

Au bout d’un an, elle parvenait à créer des shurikens de glace très coupant, mais durant peu de temps. Ce n’est pas elle qui avait choisit cette forme, c’est la forme qui était venue à elle. On aurait dit une petite ninja. Parallèlement, elle s’entraînait dur au Niten ryu et au koto. Elle excellait dans tout ces domaines, mais restait désespérément seule, refusant tout contact avec d’autres que moi. Elle n’acceptait même pas d’aller dans une école et prenait tout ses cours par correspondance. Moi, j’étais un papy gâteux et je la laissais vivre comme elle l’entendait, ce qui fut peut être une erreur de ma part. Un jour, elle est revenue avec son premier tatouage : une fleur de cerisier, en hommage à Sakura, celle qui l’a élevé. En fait, je me suis vu en elle. Sa façon de s’habiller, totalement extravagante, ses goûts musicaux etc. On aurait vraiment dit moi, des années auparavant.

A l’âge de 17 ans, Koyuki n’avait aucune occupation normale pour son âge. Elle écoutait de la musique, certes, mais passait son temps à étudier ou à s’entraîner. Toujours pas d’amis, ni même de connaissances. Un second tatouage vint s’ajouter au premier, le prénom Yukiko. Sa mère lui manquait aussi fortement qu’au premier jour bien qu’elle se refuse à rentrer à Sapporo. Mon fils avait cessé de m’appeler, étant persuadé que Koyuki n’habitait pas avec moi. J’avais protégé la petite, de peur qu’on lui fasse du mal. Et j’avais bien fait. En effet, quelques mois après, elle se faisait traquer par un groupe anti-mutants. Elle ne cherchait pas spécialement à se cacher et s’entraînait parfois dehors, c’est alors qu’elle avait du se faire repérer. Plusieurs personnes faillir me l’enlever, mais elle avait réussit à fuir. C’est alors qu’elle se décida à partir, loin, très loin. Elle voulait partir aux Etats Unis, à Boston, pour rejoindre un groupe dont elle avait vaguement entendu parler, la Confrérie. Koyuki me dit au revoir quelques jours après cet événement, c’était le 6 mai 2028. Je lui avais donné de l’argent pour l’avion, pour qu’elle se loge et se nourrisse. Je n’ai plus revu ma petite fille depuis, et elle m’avait prévenu qu’elle ne donnerait que très peu de nouvelles. Je suppose qu’elle est bien arrivée à destination et que tout va bien, du moins je l’espère.

****

15 avril
Je suis parti il y a maintenant 4 jours de chez moi, je ne sais pas quand j’arriverais, mais je ne pourrais certainement pas écrire durant les prochaines semaines. Je veux aller chez grand père, il me comprendra lui. Je ne suis pas un monstre, et je ne veux pas être traité comme tel. Toshiya m’aidera, j’en suis certaine. Il habite Tokyo, j’ai même son adresse. Une fois là bas, je demanderais mon chemin, et je le trouverais. Cela ne sera pas bien difficile, il était une star mondiale dans les années 2000 ! Il était bassiste dans un groupe de visual kei et a été adulé par des milliers de personnes ! Même si aujourd’hui il est en retraite, les gens doivent encore se souvenir de lui. Nous vivrons ensemble, nous serons heureux. Tant pis pour papa, de toute façon, il ne m’aime pas, il ne m’aurait pas traité de la sorte sinon.

2 mai
Je suis arrivé hier. Mon grand père m’a gentiment accueillit et il m’a réconforté. J’ai le droit de rester avec lui tant que j’en ai envie. Il me protégera, je suis en sécurité tant que je suis avec lui.

18 juillet
J’ai décidé de partir. En restant ici je mets mon grand-père en danger. Tout les gens qui ont vu mon pouvoir me renient. Je ne suis pas un monstre, ce sont eux les véritables montres. Ils me veulent morte car je suis différente. Ils m’obligent même à partir, à fuir. Toute ma vie a été gâchée par eux et leur satanée intolérance ! Je les déteste ! Je hais les humains tous autant qu’ils sont ! Mais je ne dois pas me laisser aller à la colère. Je dois me maîtriser, comme je l’ai appris en cours de kenjutsu. La maîtrise de soi est la clef, c’est ma plus grande force… Ne jamais céder aux sentiments négatifs, jamais. Avant, je vais me faire tatouer une fois encore. Cette marque là sera encore plus symbolique que les précédentes : AsLrF2S, comme la formule chimique. A pour amour, s pour silence, L pour larmes, r pour résistance, F pour famille et pour force, S pour silence. Tout l’amour que je porte, mon silence volontaire, les larmes que je n’ai pas versé et la force qui me viens de ma famille seront représentés grâce à ce tatouage.

****

Ce dernier témoignage a été trouvé dans un sac appartenant vraisemblablement à la jeune mutante. Il a en effet été retrouvé à l’aéroport de Tokyo et contenait nombre d’effet personnels semblant appartenir à Koyuki. Nous savons qu’elle a prit un avion pour Boston, son nom figurant sur la liste des passagers d’un Boeing. Elle a vécu quelques temps dans cette ville, à l’époque remplie de mutants, au sein de l’Institut Xavier. Nous avons perdu sa trace en 2031. Elle n’a donc pas pu recevoir le vaccin Genesis. Aussi, nous ne savons rien de sa vie durant les douze années qui ont suivit les actions anti-mutants. Nous la pensions morte, jusqu’à ce qu’elle réapparaisse subitement, en 2043. Aujourd’hui, elle dirige l’Institut, avec un autre japonais, Léon Asakura.

Nous avons par contre noté une chose assez surprenante. Koyuki Hara se destinait, en premier lieu, à la Confrérie, mais elle n’y a jamais mis les pieds. Sans doute une rencontre l’aura fait changer d’avis. Cela reste une énigme.


Dernière édition par Koyuki Hara le Ven 7 Nov 2008 - 8:58, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: [Fiche] Koyuki Hara (terminé) [Fiche] Koyuki Hara (terminé) EmptyVen 7 Nov 2008 - 8:57

Deuxième partie : Après le premier janvier 2031

Voici maintenant la partie immergée de l’iceberg, les moments inconnus de la vie de Koyuki Hara, mutante manieuse de glace, aujourd’hui à la tête de l’Institut François Xavier.

Le 31 décembre 2030, je fis mon entrée à l’Institut Xavier. C’est là que je fis la connaissance de Léon et de Samarah, aujourd’hui collègues mais surtout amis. Depuis ce jour, beaucoup de choses se sont passées, le monde a changé, le statut des mutants évolués. Il est désormais plus dangereux que jamais d’être pourvu du gène X. Mais moi, je préfère prendre cette particularité pour un don, non pour une malédiction. C’est pourquoi je suis aujourd’hui co-directrice du Nouvel Institut, situé à Londres.
Pourquoi « Nouvel Institut » ? Beaucoup d’entre vous doivent savoir ce qui s’est passé depuis le 1er janvier 2031, mais connaissez vous réellement toute l’histoire ?
La version officielle révèle que les mutants s’en sont prit aux humains, voulant contrôler totalement le pays et réduire les humains en esclavage. Alors les forces américaines ont agit, pour protéger la population. Les autorités ont expérimenté le vaccin Genesis, qui devait permettre aux mutants de redevenir humains, tout en créant de multiples lois à leur encontre. Ils furent simplement banni des Etats Unis, pour « le bien être de tous ».

La version des personnes concernées est bien différente. Dans la nuit du 31 décembre au 1er janvier, un mutant extrémiste prit, grâce à son pouvoir, le contrôle d’un certain nombre d’autres mutants. Il leur fit ingérer une faible quantité de son sang (via les boissons du bar qui accueillait l’événement), ce qui lui permit d’avoir un contrôle total sur eux. Nous les nommions les infectés. Ceux-ci, sous ses ordres, détruisirent tout sur leur passage, se battant contre tout ceux qui n’étaient pas leur allié. L’on vit les meilleurs amis se battre sauvagement… Boston fut en partie détruite, le bar où tout commença fut totalement ravagé, et il y eu des morts, des blessés, aussi bien chez les humains que chez les mutants des deux « clans ». D’ailleurs, pour l’occasion, il n’y eut plus de rivalité durant un petit moment.

Les masses de la population n’étaient, avant ces tragiques événements, déjà pas très favorable à la cohabitation avec les mutants, mais là, ce fut comme un détonateur. Plus rien ne retenait les actions anti-mutants, qui mettaient corps et âmes à les faire disparaître, par n’importe quel moyen. C’est là qu’intervint pour la première fois le vaccin nommé Genesis.

Après une persécution continue des mutants, ayant pour apothéose la rafle au sein de l’Institut et de la Confrérie, tous les prisonniers furent vaccinés, cela pour les faire devenir normaux. Le système fonctionna… un temps. Il n’y avait plus ou presque de mutants aux Etats Unis, encore moins à Boston, où la persécution avait été la plus dure. Mais après un moment, le vaccin perdit son effet, enfin, son effet premier. Les anciens mutants redevinrent mutants, et développèrent de multiples maladies telles des cancers. Deuxième effet indésirable, la grande fécondité que le vaccin donna aux mutants. On en vint à être aussi nombreux que les humains. Mais la répression ne diminua pas d’intensité. Depuis ces événements, le Monde est séparé en trois groupes : les anti-mutants, comme les Etats-Unis, les neutres, comme le Japon, et les pro mutants, comme le Canada, véritable terre d’accueil.

Mais moi, je n’ai pas vraiment vécu tout ça. Mon parcours s’est arrêté peu après la rafle donc j’ai parlé plus haut. Cette nuit là, je ne dormais pas, un pressentiment dérangeant mon sommeil. Je sentais que tout ne « tournait pas rond », que quelque chose allait se passer, alors j’étais sur mes gardes. Tard dans la nuit, Léon descendit dans la cuisine pour grignoter – un vrai ventre sur pattes – alors nous discutions un peu, je lui parlais de mes crainte. Quand tout commença, nous avons pu partir à temps, nous réfugier dans le lac de l’Institut. Léon nous forma une sorte de bulle d’air dans les eaux profondes tandis que, sous le stress, je gelais. Je devenais progressivement comme un corps mort, et n’utilisais donc qu’un minimum d’oxygène. Bien sur, je pris peur, ce qui accentua le phénomène. Je crois que je fini par m’endormir. Je me réveillais – probablement quelques jours plus tard - sur les berges du lac, devant un Institut méconnaissable, complètement ravagé par la folie des hommes.

Mon corps gela de plus belle, sous l’impulsion de ma colère, mais aussi de ma douleur. Qu’étaient devenus tous ceux que j’avais connu, ma nouvelle famille ? où étaient Alex, Sag, Nell et les autres ? s’en étaient-ils sortis ? les reverrais-je un jour ?
Nous étions seuls, Léon et moi…

Et nous priment la décision de partir pour le Japon, là où l’on pourrait sans trop de problème se fondre dans la masse, trouver refuge et protection. Nous étions persuadés que le gouvernement américain n’irait jamais jusque dans les petits villages de l’île d’Hokkaido, là où j’avais grandis, coupée du reste du Monde. Nous somme partis un matin où le ciel neigeux se confondait avec la terre. La dernière image que je garde de Boston est celle d’une ville blanche, comme suspendue dans les airs, où l’horizon n’existe pas.

Le voyage se fit d’abord par la route, sur l’une des motos de l’Institut, tellement bien cachée qu’elle avait échappé à la vigilance des flics. J’avais pris soin de nous colorer les cheveux en noir, alors que nous les avons naturellement blanc grâce à la présence du gène X, et de prendre une partie de ma réserve de lentilles de couleurs. Celles ci étaient toutes simples, couleur noisette à marron foncé, pour camoufler le gris de nos yeux. Nous avons traverser les Etats-Unis sans trop de problèmes, roulant vite et ne nous arrêtant que pour refaire le plein, dormir ou manger. Nous passions pour un couple de japonais tout ce qu’il y a de plus japonais, en voyage, et nous jouions d’ailleurs beaucoup de notre accent (le mien étant à l’époque vraiment catastrophique, un américain moyen ne comprenant qu’un mot sur deux, ce qui ajoutait encore à notre mascarade : la petite japonaise bien rangée, qui a fait moins d’études que son compagnon et est d’une extrême timidité) Nous étions des touristes qui réalisaient leur rêve américain à moto, un grand classique.

Arrivée sur la côte pacifique, nous avons vendu la moto à un humain plus que douteux, sans doute un petit voyou. Il ne posa pas de question, nous non plus. Il fallu faire des réserves de nourriture puis trouver un moyen de transport, aussi sure que possible. Ce fut un bateau marchand avec peu d’équipage, dont plus de la moitié était nippon. La traversée ne me paru pas longue, bien au contraire. Je rentrais chez moi, j’allais revoir mon grand père, et peut être même le reste de ma famille. De plus, nous avions quitté les USA, le plus dur était passé.

La baie de Tokyo, avec sa grande roue lumineuse, tel l’astre que l’on suit rigoureusement après s’être écarté trop longtemps du chemin.

Nous sommes descendu du navire dès son arrivée au port, entre deux déchargement. J’avais quelques yens sur moi, suffisamment en tout cas pour prendre une chambre à la nuit, manger un peu, et payer deux billet de shinkansen (train qui parcourt le Japon dans sa longueur). Mon sommeil fut profond mais peu réparateur, tant j’appréhendais les retrouvailles avec ma famille.

Avant de partir pour Sapporo, je voulu voir mon grand père. Il n’était pas chez lui, mais rien ne semblait anormal. Je lui laissais un mot crypté que lui seul pourrait déchiffrer, en rapport à sa musique. Le voyage en train m’émerveilla bien moins que la première fois, et j’avais une boule au ventre. Aussi, toujours ce froid, j’étais un cadavre ambulant, ma température corporelle, déjà basse à l’ordinaire, refusant obstinément de se stabiliser. Le froid allait croissant dans mes veines, bientôt, je replongerais dans un long sommeil, sorte d’hibernation, si je ne parvenais pas à contrôler cette nouvelle évolution de mon pouvoir.

Sapporo, un bus, mon village natal, ma maison.

Le jardin en friche, les fenêtres ouvertes, la porte béante, les rideaux flottant dans le vent glacial. Ce froid sec, même moi je le ressentis.
Le givre sur les rideaux mouillés par de récentes pluies, le givre sur les murs, le givre autour de moi.
Le froid, la mort. Vanité contemporaine dans sa grossièreté et son horreur.
Le froid, la mort. La mort présente partout.
Le sang. Le sang autrefois vermeille aujourd’hui presque noir, coagulé.
La brutalité, les larmes. Les larmes que les morts ont versés et que je verse maintenant, que je versais à cet instant témoin d’une sauvagerie sans nom.
Une vanité contemporaine dans son apparente brutalité, dans son horreur. Le givre, la glace.
J’eu froid. La nuit me vola.

****

Lorsque je me suis réveillée, j’étais encore prise en partie dans un énorme bloc de glace. Léon était à côté de moi, gelé lui aussi, comme mort. J’étais sur de l’avoir tué. Je partis sans même prendre le soin d’enterrer les corps de ma défunte famille. Je ne voulu même pas retourner à Tokyo de peur de retrouver mon grand père mort. J’avais pris tout l’argent dont disposaient mes parents, j’avais pu vider leur compte, le banquier connaissant l’histoire, et affectionnant presque les mutants. Je pris une chambre dans un love hôtel miteux de Nagoya, le temps de comprendre.
Dix ans s’étaient écoulés depuis notre arrivée, à Léon et à moi, au Japon. Le Monde avait totalement changé c’était une sorte de nouvelle guerre froide, pas si froide que ça d’ailleurs. J’avais tué Léon, la dernière personne qui me restait. Je l’avais tué car je n’avais pas su garder la tête froide, mon pouvoir avait détruit le peur que j’avais. Ma température était normal, aux alentour des 34°C, mais au moindre stress, elle redescendait. Je du apprendre à contrôler ce nouveau pouvoir. Il le fallait si je voulais revivre, chercher mes anciens camarades, suivre les cendres de l’Institut. En lisant le journal ainsi que de multiples livres sociologiques, je fini par comprendre le monde. Les mutants étaient bien plus nombreux, malgré les maladies et le racisme omniprésent dans de nombreux pays.

Après cinq ans passés à errer ça et là, vivant de petits jobs pas très glorieux, je fini par prendre la décision de partir. De partir loin, très loin. J’irais à Londres.
Une quinzaine d’heures de vol après, j’étais sur le sol anglais. Je fis des recherches et fini par retrouver certains mutants de l’Institut, notamment Samarah Lemington. Elle avait dans le but de reconstruire l’Institut, mais dans la banlieue de Londres cette fois, sur les terres dont elle avait hérité je ne sais plus trop comment. Toutes deux, aidées de Camille et d’autres, nous avons donc formé le « Nouvel Institut ». Il y eu pas mal de travail pour rendre vivable les lieux, en plutôt mauvais état. Mais quelle fut notre surprise lors de la découverte d’une immense bibliothèque ! Beaucoup de modernité fut apportée à l’endroit, dans la limite de l’argent dont nous disposions.

Lorsque le Nouvel Institut fut prêt à ouvrir ses portes, il fallu un directeur, c’est alors que Sam me proposa le poste, préférant ne pas avoir à se charger de la partie administrative. J’acceptais immédiatement, mais lui demandait en échange une faveur : rechercher Léon à l’aide du Cérébro. Elle avait en effet pu le sauver des griffes des anti-mutants, et moi, je nourrissais depuis mon « réveil » l’espoir de revoir un jour Léon. Mon cœur me disait qu’il était encore en vie, même si cela semblait tenir du miracle.

Sam étant la seule à pouvoir maîtriser le Cérébro, et étant d’une nature plutôt gentille – si si, quand on la connaît un peu, c’est un ange, ou un Cerbère, au choix – elle fini par céder à ma requête. Léon fut démasqué. Il était donc bien en vie, en Chine, mais pas sous l’identité que nous lui connaissions. Après recherches, nous avons réussit à le retrouvé, caché sous son nom chinois dont je ne me souviens plus. Alors Sam et moi sommes parties le chercher pour le ramener avec nous.

Mais cela ne fut pas aussi simple. Le bougre était bien caché et commença par nier tout en bloc. Il ne voulait strictement pas revenir, vivant bien mieux sous couverture qu’en exhibant son pouvoir. Ce premier déplacement se solda donc par un échec des plus cuisants. Cela ne nous découragea pas. Un deuxième voyage où l’entretien avec Léon – qui n’avait, au passage pas prit une ride, grâce à sa cryogénisation – fut plus musclé le vit changer d’avis (pour plus de détails, cela se jouera sans doute dans la zone). Il fini par revenir à l’Institut, et prit alors le poste de deuxième directeur, puisqu’il avait l’expérience dont je manquais, tandis que nos pouvoirs se complétaient à ravir. Panic fini par nous rejoindre en tant que bras droit, l’équipe était au complet.

Je vais m’arrêter là, puisque c’est aujourd’hui que le Nouvel Institut ouvre ses portes, et que j’ai tout à tas d’élèves à accueillir. J’entend d’ailleurs des voix tonitruantes dont celle de Sam, qui risque de faire peur aux nouveaux dès leur premier jour.

Caractère : Koyuki est d’une nature réservée et calme. Vous ne la verrez pas souvent sourire. En fait, il est très difficile de savoir ce qu’elle pense, tant elle cache ses sentiments. Jamais elle ne s’énervera, du moins en temps normal. Elle reste en principe loin des gens, ne leur cherchant ainsi pas de soucis, bien que depuis son arrivée à la tête de l’Institut, elle s’est beaucoup ouverte, son rang l’amenant à rencontrer pas mal de monde. Aujourd’hui, elle délivre plus facilement sa confiance, mais est à la fois plus méfiante (depuis les événements de 2031). Explication : Koyuki a désormais des amis, des gens sur qui elle peut compter, aussi, elle est relativement ouverte à toute nouvelle relation. Mais la mutante mettra longtemps avant de vraiment se laisser cerner par les autres, le temps pour elle de connaître la personne qui se trouve en face. Bien sur, pour les mutants au pouvoir psychique, c’est une autre histoire.

Ambition : Koyuki rêve d’un monde où humains et mutants cohabiteraient sans problème. A son échelle, elle tente tout pour que les relations entre les deux espèces ne se dégradent pas encore, et cela passe parfois par la « couverture » de certains agissements confréristes. Mais cela sera sans doute plus explicite en jeu.



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