Prénom et nom : Gabryel Fawkes

Surnom : Le plus souvent, il fait référence à une caractéristique particulière.

Âge (Date de naissance) : Dix sept ans – 20 Octobre 2035

Race : Mutant

Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? : Pas de vaccination dans la famille.

Origine : Britannique.

Clan : Confrérie.

Pouvoir : Energie biokinétique : peut charger des objets d'énergie biokinétique, créant ainsi une explosion. (plus ou moins grande selon l'objet)

Stade 1 : Charge de petits objets qu'il touche sous le coup de la colère, de la peur. Ces objets sont alors endommagés, mais pas encore d'explosion. L'utilisation de ce don provoque de légères brulures aux mains, ou de coupures.(petits : boulons, dés, cartes à jouer...)

Stade 2 : Contrôle plus ou moins les objets qu'il désire charger. Il n'arrive pas toujours à charger les objets, mais commence à se contrôler. Les éléments maintenant explosent légèrement, ne causant encore pas de réels dégâts collatéraux. Ses mains s'abiment progressivement.

Stade 3 : Gabryel ne charge maintenant que les objets qu'il désire. Ce sont encore de petits objets, mais il doit le toucher moins longtemps pour les charger en énergie biokinétique. Il charge plus facilement des cartes, crayons, dés, petits débris. Sous l'emprise de grosses frayeurs ou de colère, il ne contrôle pas tout. Le toucher est sens qui s'affaiblit au fur et à mesure de l'évolution et de l'utilisation de son pouvoir.

Stade 4 :

Publiquement : La peau de ses mains est endommagée. Petite ampoule, peau sèche et rugueuse.

Aptitudes : Sais se battre, sans pour autant être un as du combat. Dispose d'un sens de l'orientation convenable. Parle français presque couramment.

Description physique : Gabryel est un jeune homme de taille normale qui prend soin de son image. Bien sûr, il n'est pas le genre de garçon à aller dans des centres de remise en forme, à toujours faire attention à ce qu'il mange, non, c'est simplement un sportif et ça se voit. Il est brun, les cheveux toujours de travers, qu'il coiffe très rarement ou couvre d'un bonnet ou d'une capuche et est rasé de près. Il a souvent les mains abimées, à cause des coups qu'il a appris à donner. Il est plutôt beau garçon et laisse voir un joli sourire lorsque les rares occasions se présentent. On ne voit pas souvent ses yeux, très sombres, car légèrement sensible à la lumière, il porte constamment des lunettes de soleil.
En ce qui concerne sa tenue vestimentaire, rien d'extraordinaire : il déteste les écharpes et ne porte presque uniquement que des jeans, pour le haut, c'est tee-shirt ou débardeur : pas de quoi se faire remarquer.


Signes particuliers : Nombreux tatouages aux bras. Lunettes de soleil et écouteurs.

Histoire : Gabryel est né dans une petite ville de banlieue de Londres, puis a vécu une grosse partie de sa vie a Southampton. Sa mère était une belle française rousse, aux joues tachetées, quant à son père, c'était un petit homme trapu, bon vivant et heureux de vivre. Très vite il a été habitué à vivre dans la lumière, sa maison toujours pleine de veilleuses, de lampes, de spots et de bougies, ce qui explique sa peur panique du noir.

Lorsqu'il eut sept ans, son père, l'a oublié devant le parvis de son école. Il faisait froid en octobre 2042. Il a attendu, attendu encore. C'est finalement une bande de déchets, des adultes en manque d'action qui l'ont trouvé. Le petit bonhomme de l'époque se croyait fort, comme dans les vieux livres de son père... Mais il n'était qu'un enfant, chétif, attendant son père dans le froid. Ne pas les regarder. Il ne fallait pas les regarder. Mais il les entendait... Il entendait leurs rires, quittant leurs bouches édentées par les coups de poing qu'ils s'étaient pris, ajoutant la rancoeur à leurs regards... Lorsque ces derniers sont venus s'asseoir à côté de lui, il a essayé de leur dire de partir. Il a essayé de changer de banc. Gabryel s'est levé, puis a été cloué au sol par un ramassis de fond de bouteille, une enflure en manque de violence. Il s'est réveillé quelques heures plus tard, dans une clinique proche de son foyer. Il avait trois doigts cassés, une côte brisée et deux gros hématomes à l'oreille. Ses parents avaient changé, ils étaient distants maintenant. Aimants, certes, mais distants.

L'épisode de Boston. La folie dans les rues. L'enfer de la ville. Gabryel avait étudié cela à l'école. Il en avait parlé à ses parents, il avait parlé avec eux, de l'horreur et de la compassion qu'il ressentait pour les victimes de cet affreux épisode passé. Il ne comprenait pas comment, un seul homme, peu importe le désarroi et la colère dans laquelle il se trouvait, la situation qu'il vivait, pouvait avoir détruit autant de vies. Bien sûr, il savait que cet homme était différent. Qu'il était « mutant ». Mais cela ne pardonnait en rien ses actes et malgré son âge plutôt jeune, Gabryel comprenait tout cela. Il n'avait encore jamais rencontré de mutant. Du moins, il n'avait jamais parlé à un mutant. Il ne savait pas ce qu'ils vivaient véritablement, mais il était persuadé que plus tard, lorsqu'il serait plus âgé, il aiderait les Humanoïdes, les Mutants et les Humains à cohabiter dans le calme et la sérénité. C'était un peu utopique certes, mais peu importe... A huit ans, il ne savait pas ce que ce mot signifiait.

A douze ans, Gabryel se posait des questions quant à la présence on ne peut plus imposante des robots. Bien sûr, il savait qu'il était impossible de revenir en arrière, il faisait partie d'une génération et d'une société automatisées. Mais tout de même, un robot, si logique soit-il, si mécanique, fort, et infaillible soit il, ne pouvait pas selon lui remplacer un homme. Sauf pour la bagarre. Si les hommes étaient des robots, il ne se serait pas fait taper dessus cinq ans plus tôt... Il gardait donc ses idées pour lui et faisait avec. C'était ainsi.

Il ne se passait rien. Tout le monde agissait comme si tout allait bien alors que rien n'allait véritablement correctement. La haine envers les mutants est toujours là, les Humanoïde sont encore perçus par certains comme des expériences, fruit de l'esprit de savants plutôt fous. C'étaient ça les idées de Gabryel à ses 15 ans. Il voulait que tout aille mieux, mais c'était se voiler la face... Il fallait se secouer, mettre en marche un changement, ou tout du moins s'affirmer, Gabryel savait ce que cela voulait dire de se faire cogner et il y en avait assez d'encaisser les coups sans les rendre. C'est à cet âge-là qu'il se mit à la boxe anglaise, véritable défouloir pour le jeune homme.

Il commença à se tatouer. Par plaisir. Il aimait encrer des évenements, des questions, des pensées et des souvenirs sur sa peau. Il savait que c'était irréversible, et il s'en fichait. Après tout, c'était son corps et ses choix. Peu importe.

Il y passait parfois des samedis entiers, dans le vieux Southampton, ou le vieux gymnase soit disant désaffecté abritait des sacs de sables et des tapis de paille, avec Filch, le vieux gars qui restait dans son entrepôt vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Il cognait, cognait, cognait dans ce sac, il enfonçait ses mains, enrubannées et ensanglantées sous ses gants de cuir. Les moqueries des gosses de riches dans les rues de Londres envers les mutants, les manifestations près de Southampton pour l'évolution du Genesis, l'Ouverture de ce fameux Nouvel Institut.... Tout cela raisonnait comme un vieil écho dans sa tête... Mais une douleur vive le tira hors de ses pensées. Un trou dans son gant et de la fumée qui s'en échappait. Une brûlure violente à la main droite. Il retira son gant et le jeta au sol. Ce dernier dans un bruit sourd, libéra un halo pâle et se consuma.

-Filch ! C'est quoi ce bordel ?

Le vieux Filch avait vu la scène du début à la fin, mais ne comprenait pas ce qu'il s'était passé. Sa main gauche maintenant, le brûlait. Pas de feu cette fois ci...
Gabryel ne comprenait pas ce qu'il se passait. Filch disait qu'une étincelle était sans doute tombée sur son vieux gant et que celui avait pris feu... Il était alors allé voir le tableau électrique. Le jeune homme quand à lui, s'était assit et prenait le temps de se calmer. La lumière se mit à clignoter, devenir faible, puis fini par s'éteindre... Le noir complet. Stress. Peur. Angoisse. Il ne faisait pa vraiment noir en fait, laissant ainsi Gabryel distinguer des formes dans l'ombre, comme des vieux esprits tourmentant le sien. Il essaya d'attraper quelque chose, probablement une bouteille d'eau, mais sa main le brûlait et il lança la bouteille, qui explosa contre un sac. Il ne comprenait pas, perdait son calme. Les vieux boulons de Filch étaient dans sa main maintenant et à leurs tours, ils explosèrent... Cri de Filch, flash lumineux... Trou noir.

Gabryel avait perdu connaissance. Il fallait rester calme, voilà ce qu'ils disaient. Gabryel n'avait pas vécu ces périodes de traque, ou les mutants n'étaient que des animaux, fuyants, non, il avait simplement essayé de comprendre ce que les mutants vivaient, il avait essayé de se mettre à leurs place pour finalement la prendre. Il ne s'y attendait pas, à devenir le mutant. Mais maintenant qu'il faisait partie de leurs rangs, il ne voulait plus laisser les siens se faire marcher dessus. Pour lui, s'en était fini d'être bafoué et de ne répondre qu'avec des cris et des pancartes de manifestations. Il fallait se faire discret, se rassembler, devenir un groupe pour mieux agir ensuite.

Il avait 17 ans maintenant, mais voulait quitter l'Angleterre pour rejoindre l'Amérique. Il voulait quitter ce pays d'inaction, cet endroit ou tout semblait vide et ou rien ne bougeait. Il voulait découvrir de nouveaux horizons, et trouver un endroit loin de son passé. Au nouveau Gabryel une nouvelle vie. Il devait trouver un nouveau rythme de vie, des gens capables de le comprendre. L'Institut était trop proche de son passé, et trop proche des inactions du pays. Il devait partir. Gabryel avait passé cette année à se faire extrêmement discret, à subir la volonté de sa mutation, laissant parfois des dés, des bouchons de liège, des boucles ceinture, en miette. Bien entendu, il ne voulait pas se retrouver aux États Unis, mais au Canada. Il avait entendu parler d'une entente entre mutants, un groupe. La Confrérie Moderne, qui prenait suite à la Confrérie, qui s'était effondrée dans le passé. Il voulait s'engager. Il devait le faire : aider, comprendre sa mutation et être utile.   

Caractère : En principe, Gabryel est un jeune garçon plutôt poli et courtois, contrairement aux clichés qui traînent en ce qui concerne les membres de la Confrérie. Il est discret, parfois même considéré comme timide, mais malgré cela il reste engagé et combatif. Il est pessimiste, raison pourquoi il s'est promis de faire de son mieux pour atteindre son but. Il est accroc à la musique, qui le motive et rythme une bonne partie de sa vie. Il a horreur de la violence envers les enfants, mais n'a rien contre frapper les autres. Il est impulsif et prend rarement le temps de réfléchir a toutes les conséquences de ses actes. C'est un de ses défauts : il perd le contrôle, et se met rapidement en colère, devient parfois violent, ce qui peut expliquer le fait qu'il soit plutôt solitaire. Petite particularité, Gabryel a une peur véritable du noir. Il a peur de l'obscurité et est très angoissé lorsqu'il s'y trouve.

Ambitions : Gabryel désire une entente entre les différentes idéologies, une véritable collaboration entre humains, humanoïdes et mutants.


Vous, derrière votre écran :

Votre âge (réel) :16 ans, bientôt 17.
Votre addiction au net (en h/jour face ) : En internat, très peu la semaine, présent les geek ends.
Comment avez-vous connu Generation-X ? : Recherche de forum RPG.
Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : J'ai beaucoup accroché au contexte
Est-ce votre dernier mot ? : Alea jacta est !

NB : Acceptez-vous que votre fiche de présentation soit mise dans les Incarnations si pour une raison ou une autre vous êtes appelé à nous quitter ?
Je ne préfère pas, en cas de changement d'avis,je vous le signalerais !