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[Fiche] Koji Ashton

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AuteurMessage
Koji Ashton

Type Gamma

Type Gamma

Koji Ashton

Race : Mutant
Clan : Institut
Age du perso : 18
Profession : Consultant scientifique
Affinités : Virginie Parish, Gaël Calafel, Ewan Ramsay
Points XP : 375


-PERFORMANCES-
Pouvoir: Super-Cerveau
Type: Gamma
Niveau: 3

MessageSujet: [Fiche] Koji Ashton [Fiche] Koji Ashton EmptyVen 20 Nov 2009 - 23:21

Prénom et nom : Koji Ashton

Surnom : Le p'tit génie / Le p'tit survolté au fond, à gauche, là-bas

Âge (Date de naissance) : 1 janvier 2034

Race : Mutant

Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? : Non.

Origine : Londres, Royaume-Uni.

Clan : L'Institut

Pouvoir :
Super-Cerveau

0 :
Mémoire très supérieure à la normale (mais non absolue)
Quotient Intellectuel explosant toutes les échelles de mesure
Capacités mathématiques équivalentes à celles d'un ordinateur (courant)
Migraines extrêmement violentes et chroniques
Insomnie chronique
Cyclothymie (variations brusques de l'humeur)

1 :
Mémoire visuelle absolue
Capacités mathématiques équivalentes à celles d'un ordinateur (spécialisé)
Persistance des troubles

2 :
Mémoire auditive absolue
Capacités mathématiques équivalentes à celles d'un super-ordinateur

Persistance des troubles

3 :
Mémoire sensorielle absolue
Perception mathématique du réel (vitesse des objets, angles des projectiles, prédiction des trajectoires) si concentration
Persistance des troubles

4 :
Perception mathématique du réel permanente
Utilisation mathématique du corps (calcul précis de l'angle d'un lancer, du volume de la voix, de la longueur et de la hauteur d'un saut, etc.) si concentration
Persistance des troubles, atténuation

5 :
Utilisation mathématique du corps permanente
Persistance des troubles, nouvelle atténuation

6 :
Capacités mathématiques supérieures à celles d'un super-ordinateur
Disparition des troubles


Aptitudes : Etant donnée la nature du pouvoir de Koji, il serait fastidieux de proposer un menu de toutes les compétences ainsi acquises, dont le nombre et le perfectionnement dépendent de toute évidence de ses capacités. Par souci d'économie, disons simplement que Koji parle huit langues parfaitement (anglais, japonais, français, allemand, espagnol, italien, arabe, russe), sans compter des connaissances approfondies en latin et grec ancien. Il dispose d'une culture étendue dans tous les domaines courants du savoir, et peut parler en spécialiste de certains sujets précis (arts et philosophie occidentaux, mathématiques). Enfin, sa connaissance théorique du piano et du violon rend sa pratique acceptable, voire bonne.

Description physique

Koji n'est certainement pas une armoire à glace. Le jeune homme atteint péniblement le mètre soixante-dix, et s'il n'est pas contre un peu de sport de temps à autre, pour des questions esthétiques (et séductrices !), il ne fréquente pas pour autant les salles de musculation, et s'en tient aux fondamentaux, nécessaires pour avoir une silhouette relativement agréable. Néanmoins, ce souci esthétique ne semble pas avoir atteint ses cheveux qui, d'un brun légèrement ocre, échappent avec obstination aux lois de la gravité et des coiffeurs.

Sans avoir l'air frêle, le jeune homme n'en apparaît pas moins fragile, et la légèreté un peu féminine, parfois inconsciemment gracieuse, de ses gestes et de sa démarche ne contribue pas vraiment à lui donner une solidité toute virile. Il arrive même, en hiver, lorsque les vêtements épais et chauds dissimulent l'essentiel de son physique, qu'à regarder son visage, aux traits fins et presque enfantins, certains s'y trompent, et le prennent pour une jeune fille.

Sans avoir l'air en tout enfantin, Koji semble arrêté dans une jeunesse un peu intemporelle, toute picturale, qui ne paraît pas vouloir grandir. Il a beau avoir l'air d'un adolescent, et être proche de sa majorité, rien dans son visage ne semble vouloir indiquer l'homme en devenir, et à ne regarder que cette partie de son corps, on pourrait le croire destiné à demeurer un éternel éphèbe.

Des yeux marrons, et parfois presque verts selon la lumière, se dissimulent sous la masse capillaire qui tombe parfois sur son front. Sa peau a une pâleur naturelle qui passe aisément pour maladive quand la migraine et l'insomnie le frappent. Dans ces cas-là, ses gestes se font fébriles, hésitants : ses mains tremblent, et s'il ne peut tout à fait s'allonger, il s'affaisse contre un mur, comme une petite chose brisée.

Le reste du temps, il marche dans les couloirs et les rues avec un regard rêveur, semblant perpétuellement plongé dans une réflexion profonde, et c'est en effet le cas. Il a cette habitude, parfois un peu dérangeante, de poser sur ses interlocuteurs, dans leur regard, le sien : un regard profond, d'une intelligence perçante et parfois un peu froide, insondable et intimidante, franchement inquiétante, même.

Signe particulier : Un sens de l'humour à l'épreuve des conventions sociales.

Histoire

Koji circulait dans les couloirs de Cambridge, et on aurait dit que ses pas semaient sur son passage des murmures et des interrogations. Parfois, des réflexions désobligeantes fusaient, à demi-audibles. C'était une étudiante qui raillait sa coiffure, c'était un jeune homme qui ironisait sur sa discutable virilité, c'était un professeur qui s'étonnait avec un collègue de voir quelqu'un de si jeune hanter les locaux d'une si prestigieuse université. Il y en avait même pour se demander sincèrement si l'étrange apparition était un homme ou une femme. Parfois, cependant, les rumeurs se faisaient plus douces ; ou bien, dans le silence d'un regard dérobé, quelqu'un rêvait quelques secondes à cette beauté un peu androgyne, que l'endroit rendait tout à fait romanesque.

Pourtant, il n'y avait rien qui pût étonner dans cette présence, administrativement. Koji Ashton était incontestablement le jeune homme le plus diplômé d'Angleterre, si ce n'était de toute l'Europe. Il avait fait ses preuves dans bien des domaines, depuis quelques années. Bien sûr, il avait toujours été un élève brillant, mais vers l'adolescence, et de façon assez inexplicable, ses performances avaient très vite atteints des sommets qu'elles semblaient sans cesse dépasser. Ses réussites incroyables aux tests d'intelligence avaient très tôt attiré l'attention, puis le soupçon, des psychologues.

On avait d'abord cru à une supercherie. L'histoire était pleine d'enfants-prodiges qui, d'une façon ou d'une autre, avaient réussi à abuser les spécialistes. Bien vite, on avait compris que si tricherie il y avait eu, c'était la Nature elle-même qui avait triché. Il n'avait guère fallu que quelques tests génétiques pour prouver que les extraordinaires capacités de Koji Ashton n'étaient dues qu'à la mutation. Il n'en devint pas moins intelligent, mais bien moins passionnant pour les psychologues, qui désiraient surtout trouver des trésors de l'humanité, et craignaient plus que tout d'y découvrir des mutations.

Koji avait fait son possible pour ne pas se laisser atteindre. Il avait passé les tests, il avait répondu aux questions, il s'était soumis aux enquêtes scientifiques avec toute la patience que l'on pouvait attendre de lui, en essayant de n'y voir que des formalités. Sa famille avait beaucoup voyagé, aussi n'avait-il pas été contraint à voir les mêmes scientifiques très longtemps, si bien qu'aucun n'avait eu le loisir de vraiment s'intéresser à son cas, et d'en faire sa bête de foire.

Son père, Edward Asthon, avait longtemps été comptable à l'ambassade anglaise de Tokyo. Ce n'était pas une fonction des plus prestigieuses, mais on y était mieux payé qu'ailleurs. Et puis il avait rencontré là-bas sa femme, Ikuko, à laquelle Koji devait son prénom. Le couple avait coulé des jours à peu près heureux et sans histoire. Le petit Koji fréquentait le lycée anglais de Tokyo, Edward travaillait à l'ambassade, Ikuko dans un cabinet d'avocats.

Mais la mère d'Edward était morte : il avait fallu rentrer en Angleterre pour organiser les funérailles, et régler la succession. Elle n'était pas considérable, mais enfin la vieille dame laissait à son fils unique une maison assez cossue, aux environs de Londres. Le cadre était de loin préférable à l'appartement somme toute exigu que la famille occupait à Tokyo, et le déménagement fut résolu, les mutations obtenues.

En arrivant à Londres, Koji avait déjà brûlé la plupart des étapes de sa scolarité adolescente. A quatorze ans, il s'inscrivait à l'université. Il lui était aisé d'obtenir des bourses d'études, et de voyager dans les universités prestigieuses d'Europe. De toute façon, il sentait bien que ses parents étaient parfois soulagés de le voir partir, comme si la présence de cet enfant plus intelligent, et presque plus vieux qu'eux, les mettait mal à l'aise.

Parfois, Koji songeait à son enfance à Tokyo, avec l'impression de ne pas se reconnaître. Son adolescence avait été si tourmenté, il avait appris tant de choses si rapidement, qu'il lui semblait qu'il était né ce jour inquiétant où un cours de français s'était soudainement gravé mot pour mot dans sa mémoire. D'autres fois, lorsqu'il avait beaucoup étudié pendant une ou deux semaines, et accumulé les connaissances que d'autres mettaient une année à assembler et comprendre, il lui semblait qu'il avait changé du tout au tout.

Tout ce qu'il pouvait faire, c'était de ne pas y songer, et de se jeter dans les plaisirs, des plaisirs de toute sorte, qui le divertissaient entièrement des mouvements de son âme. Il rencontrait des gens, il allait à des fêtes, il couchait avec des gens, jusqu'à ne plus savoir qui, et vivre quasi hors de lui-même. Il trouvait dans cette excitation permanente, dans cette recherche constante de distractions, la forme la plus paradoxale, certes, mais la plus efficace du repos.

Et puis il reprenait les études. Il arpentait donc les couloirs de Cambridge. Il avait obtenu une autorisation exceptionnelle pour s'inscrire à certains cours avancés en histoire de l'art antique. C'était sa passion du moment, il avait retenu tout ce qu'il fallait retenir pendant les mois de l'été. Alors qu'il s'apprêtait à s'engager dans l'amphithéâtre qui abritait le cours sur la sculpture attique, son nom retentit soudain dans les couloirs.

Les yeux du jeune homme discernèrent, dans la masse des élèves qui s'écoulait vers son cours suivant, l'éclat dorée des lunettes de la secrétaire, cette vieille dame à l'air sévère et à l'efficacité redoutable, qui cachait sournoisement sous des dehors strictes des tendresses de vieille Anglaise indulgente, et dont le parfum de thé, qui l'accompagnait aussi invariablement que son vieux châle, contribuait à dresser le portrait parfaitement typique, et néanmoins toujours nuancé.

Koji s'empressa de jeter son sac sur son épaule, de rabattre ses écouteurs sur son cou, et de rejoindre la secrétaire, qui l'entraina aussitôt dans son bureau, martelant le sol des couloirs de son petit pas précis, les bras chargés de dossiers, dont on ne savait jamais si elle les transportait d'un point à un autre, pour les remettre à un destinataire mystérieux, ou s'ils étaient simplement comme incorporés à son être, accessoire indispensable de son personage.

Son bureau avait ce charme inaltérable propre aux grandes universités anglaises, où des voûtes de pierre surveillent depuis des décennies des ordinateurs à la pointe du progrès, où des lampes à abat-jours verts éclairent des documents électroniques. Sur le bureau de la secrétaire, qui semblait vivre là depuis toujours, on trouvait invariablement une tasse de thé, qu'elle parvenait, par on ne savait trop quel pouvoir, à maintenir toujours fumante, des dossiers, et un encrier.


« Ecoutez, Koji. Je crains d'avoir de mauvaises nouvelles. A propos des postes d'assistants-chercheurs, à pourvoir à l'université. Je crains que votre candidature n'ait pas été jugée recevable. Vous comprenez, étant donné... étant donné vos facilités, les membres du conseil ont cru plus équitable de donner le poste à quelqu'un de plus méritant. Quelqu'un qui a dû fournir plus d'efforts. C'est une question d'image de marque. »

Elle avait dit cela avec cet air plein d'une compassion sincère dont certains subordonnés compréhensifs annoncent les décisions de leurs directeurs, qu'ils sont contraints d'appliquer sans pouvoir les approuver tout à fait, et la douceur de son regard, sous ses lunettes strictes, était telle que Koji n'avait presque pas le courage de sentir toute l'injustice de sa situation.

Il lui avait répondu que ce n'était pas grave, et il pouvait entendre sa propre voix, comme hors de lui-même, prononcer ces mots auxquels il ne croyait pas. Il savait fort bien que si on lui refusait ce poste, il était inutile d'essayer ailleurs : ce n'était pas son jeune âge qui dérangeait, c'était ce qu'il était, et à cela, le nombre des années ne pourrait rien changer. Et il n'avait pas la force de dissimuler toujours.

Alors qu'il se levait, qu'il sortait du bureau, qu'il sortait de l'université, un fond de pessimisme se réveillait et s'agitait en lui. Il découvrait tout un monde qui lui était hostile, toute une partie de l'humanité qui le considérait comme un usurpateur, parce qu'il avait ce que les autres mettaient tant d'années à chercher à acquérir, sans pouvoir espérer le posséder jamais. Il voyait quels soupçons, quelles jalousies et quelle envie insidieuse se préparaient pour lui s'il choisissait de continuer dans ce monde, et pourtant, il ne pouvait se résoudre à l'abandonner tout à fait.

Il avait juste besoin, pour quelques semaines, quelques mois, un ou deux ans peut-être, de repos. D'être anormal en compagnie. Avec d'autres gens, qui auraient leurs propres problèmes, eux-aussi insolubles dans le monde extérieur. Cette tentation, il la connaissait bien, mais il l'avait souvent repoussée, persuadé que se forcer à rencontrer ceux qui pouvaient le rejeter, c'était s'éloigner de la faiblesse, et faire preuve de courage. Mais aussi volontaire fût-il, cette déception venait d'achever pour un temps son courage.



Caractère

Une bonne part du caractère de Koji tient à son pouvoir, et aux connaissances qu'il lui permet d'accumuler, et parfois l'y force. Dans bien des domaines, le jeune homme a appris à mettre les opinions en perspective, à relativiser les données d'une situation ou d'un problème, et développé de la sorte un esprit de conciliation et de diplomatie d'une rare maturité pour son âge.

Mais qui le connait mieux éprouve des difficultés à démêler ce qui tient d'un respect sincère pour la diversité de vues de ses interlocuteurs, et ce qui provient d'un pessimisme las, qui a abandonné l'idée de faire triompher raison et vérité, et préfère ménager les conversations, que de les entraîner sur un terrain où lui seul verra clair. C'est que Koji se garde bien, en général, de donner son avis et d'exprimer des jugements de valeurs, en dehors des moments où il s'agit de prodiguer une information exacte ou un renseignement objectif. Ainsi, quoique l'esprit hors du commun du jeune homme soit peuplé de philosophie, on ne l'entend que rarement proférer des opinions en matière de politique, de religion ou de morale.

Mais lorsque son humeur tombe au plus bas, victime d'un de ses nombreux et soudains revirement entre euphorie et dépression, et lorsque alors il ne sombre pas dans un mutisme las, il lui arrive de laisser entrevoir les conceptions un peu sombres qui le travaillent. De la bonne entente qui règne dans le monde, Koji croit ne rien devoir attendre de bon : tout cela n'est pour lui qu'un jeu de masques destinés à tomber, dont il préfère se tenir éloigné. A ses yeux, le monde bâtit par les humains est condamné à l'effondrement, et s'il ne milite pas activement pour la cause mutante, c'est par simple souci de tranquillité.

Comme la tranquillité est plus agréable lorsqu'elle est nourrit de plaisirs, Koji a fait le choix d'un caractère enjoué, auquel il sait la plupart du temps se tenir. Rieur, voire espiègle, il lie aisément contact avec les gens, lorsqu'il songe à le faire. Mais il est parfois tellement absorbé par ses réflexions et ses connaissances, qu'il en oublie le monde extérieur et le traverse quasi sans le voir. Quand il le voit cependant, il entend bien en profiter pleinement : discuter de tout et de rien avec les gens, jouer en bonne compagnie, et plus, si affinités. En la matière, les goûts du jeune homme sont très variés.

Il n'empêche ! Ces discussions, surtout, ne doivent pas être sérieuses. Koji déteste se révéler, soit par pudeur, soit par mépris, et aussi amical voire tendre puisse-t-il être, il évite toujours de livrer ses états d'âme les plus intimes, quand bien même se trouverait-il dans l'intimité d'une chambre à coucher. Ses maîtresses et ses amants les plus réguliers ne peuvent guère que lui arracher des badinages. Il faut bien avouer que personne ne s'est vraiment risqué à chercher plus loin, et il y a fort à parier que Koji ne saurait se sauver des questions trop directes.

Ambitions : Arriver à comprendre comment il est possible que quelqu'un puisse être heureux. C'est mathématiquement, artistiquement et psychologiquement incompréhensible !


Vous, derrière votre écran :

Votre âge (réel) : 21 ans
Votre addiction au net (en h/jour face ) : 1
Comment avez-vous connu Generation-X ? : Tour de jeu.
Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : Le forum m'a semblé d'une grande qualité, et les règles ne présentent pas cette complexité un peu rebutante que l'on peut trouver ailleurs, surtout dans les systèmes de combats. De la même façon, le contexte, sans être simpliste, ne se perd pas dans des subdivisions de groupes incompréhensibles. En somme, on peut saisir l'ensemble des règles et de l'histoire facilement, et en faire quelque chose d'intéressant.
Est-ce votre dernier mot ? :
Obi-Wan Kenobi.


Dernière édition par Koji Ashton le Ven 1 Jan 2010 - 22:33, édité 2 fois
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