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[Fiche] Adamo Manzo

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AuteurMessage
Adamo Manzo

Type Alpha

Type Alpha

Adamo Manzo

Race : Mutant
Clan : Institut
Age du perso : 26 ans
Profession : Psychologue et théologue de formation, sans emploi actuellement.
Affinités : A voir
Points XP : 205


-PERFORMANCES-
Pouvoir: Régénération des coupures
Type: Alpha
Niveau: 1

MessageSujet: [Fiche] Adamo Manzo [Fiche] Adamo Manzo EmptyMar 29 Juil 2014 - 0:28

Prénom et nom : Adamo Manzo

Surnom : Ses amis l’appellent Calzone, il a l’habitude d’en manger de toutes sortes, à toutes les heures.

Âge (Date de naissance) : 25 ans (10 Juin 2026)

Race : Mutant.

Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? : Non et non.

Origine : Italienne

Clan : Institut

Pouvoir :
Adamo est capable de régénérer les coupures bien plus rapidement que le commun des mortels et… C’est tout.

Limites :
- la coupure doit être nette, il ne peut pas régénérer de brûlure, d’écrasement, de broyage, de déchirement ou autre de son corps ;
- cette hyperspécialisation rend sa régénération plus efficace, elle est quasiment instantanée (quelques secondes tout au plus) ;
- son pouvoir est moins efficace, plus lent, si la plaie est souillée, notamment si l’instrument de l’incision était sale et elles peuvent s'infecter.

Description du second pouvoir, Indépendance :
Les membres et/ou les organes coupés d’Adam peuvent continuer à fonctionner même séparés du corps. Sa main par exemple pourrait se balader, comme la Chose de la famille Adams.
La durée est limitée, les fluides comme le sang continuent à circuler pour alimenter les tissus alors que la jonction n’est plus assurée (un peu comme si les globules rouges étaient téléportés d'un endroit de la coupure d’une partie à l’autre, ils assurent un "saut" autour de la coupure). Dans les faits, si la coupure est saine, on peut alors observer les organes, les vaisseaux, les tissus, etc... dans leur fonctionnement régulier, comme si on les observait au travers d'une vitre. Si la plaie n'est pas saine, en revanche, elle suinte et perd un peu de sang, Adamo doit d'ailleurs faire attention aux anémies éventuelles.
Si la coupure est saine, alors la partie séparée du corps peut se ressouder quasi-instantanément, sinon le processus est plus long et laisse des marques.

Niveaux de pouvoir:

Publiquement : Invisible, à part son physique un peu perturbant.

Aptitudes : Adamo connaît très bien la Bible (il est capable de réciter ses Ave Maria pendant une baston en quinze langues différentes) et peut couramment lire et écrire en latin, italien et anglais. Du fait de ses expériences passées, il a une résistance à la douleur améliorée comparée à la moyenne, ce qui d’ailleurs le dérange.

Description physique : De loin, Adamo est très classique et n’attire en rien le regard : hauteur de 1m71 assez banale, épaules légèrement voûtées mais sans plus, un rien d’embonpoint qui se maintient loin en dessous du seuil critique de l’obésité, des cheveux châtain clair légèrement clairsemés. Non, vraiment, rien d’exceptionnel.
De près par contre, son physique dérange la plupart des gens qui évitent de croiser son regard. Il a le visage labouré de cicatrices plus ou moins discrètes, que ce soit les joues, les lèvres, les arcades sourcilières, les tempes, le front, chaque parcelle de sa peau est scarifiée, brûlée, ravagée. Certaines descendent le long de son cou, suggérant que le carnage continue plus bas. On comprend que c’est le cas lorsqu’il se promène un peu dévêtu, les bras, les poignets, les mains, le ventre, le dos, les jambes, les chevilles, les pieds, tout est accidenté.
Son regard aussi est dérangeant : l’œil droit est marron, mobile, vivant, chaud tandis que le gauche est généralement bleu cyan, froid, fixe. Ceux qui ne le connaissent pas sont fuyants, les autres se concentrent sur son œil rieur. En bref, il est borgne.

Son attitude, pourtant, est avenante : il est de bonne compagnie et enjoué. Ses sourires, bien que tendus et distordus de manière peu naturelle à cause de la scarification de son corps, sont perçus comme chaleureux par ceux qui le connaissent. Pour les autres, il peut s’agir des grimaces d’un monstre.
Il a le pied assez léger et n’est pas à classer dans la catégorie du pataud encombrant. Il gestifie énormément ses propos, rendant la plupart très vivants et intéressants. Il arrive à communiquer ses passions et à participer dans des débats efficacement.

Signes particuliers : Des cicatrices plein la tronche, les bras, les jambes… Des cicatrices partout. Il est borgne, son œil gauche est en verre. Il lui manque des dents, l’auriculaire de la main droite, plus ce qu’il cache sous ses vêtements.

Histoire : Adamo est napolitain d’origine, né de parent catholiques pratiquants de classe modeste Daria et Modesto. Il a grandi dans une famille de quatre enfants, deux garçons et deux filles. Paradoxalement, lui, Adam, premier homme, est le cadet, le dernier de la lignée qui, si on la remonte, comporte un autre garçon, Luca, de treize ans son aîné et deux filles, Bibiana et Luciana, de seize et dix-sept ans respectivement ses aînées. L’écart d’âge s’explique par le départ imminent des enfants : les parents, nostalgiques du fait d’élever des enfants, se dirent qu’un de plus ne serait pas de trop, que cela les maintiendrait en forme. Sans compter qu’il fallait bien trouver une occupation à Daria pour le moment où tous les enfants seraient partis de la maison.
Il a donc vécu essentiellement seul à la maison avec sa mère puisque son frère quitta la maison à dix-neuf ans, lorsque lui-même en avait six. Son père travaillait comme chauffeur de bus scolaires, partait le matin très tôt et rentrait le midi et le soir. Ils priaient à chaque repas et Adamo prit goût à ce qui était, pour lui, un jeu.

Il a suivi une scolarité modèle tout au long de sa plus tendre enfance, n’a jamais été trop dérangeant, antisocial ou rebelle. De temps en temps une connerie de gosse, genre casser un pot de fleur, pisser sur la porte du voisin, attacher des boites de conserve à la queue des chiens, rien de bien méchant. Il en a eu un de chien, pour lui, le jour de ses six ans. Au départ il voulait l’appeler Jésus mais ses parents lui firent remarquer que c’était d’assez mauvais goût. Il pensa alors à Patoche mais ça faisait lourdaud pas fini. Ils tombèrent d’accord sur Pinceau parce qu’il avait le pelage noir et le bout de la queue blanche. Il s’y attacha énormément, sans doute en réaction à l’absence de frères et sœurs de son âge avec lesquels partager des expériences enfantines.
Cinq ans et quelques fessées plus tard, Adamo commença à évoluer. Il réalisait peu à peu que les fessées, ben… Il aimait bien ça. Quand ses parents n’étaient pas contents parce qu’il avait tapé un camarade à l’école et qu’il y avait eu un rendez-vous avec la maîtresse, puis qu’ensuite il s’était fait rosser et isoler dans la chambre par son père, qu’il sentait encore la chaleur de l’amour paternel sur sa joue, il sentait les premiers effets d’un plaisir non dissimulé. Au début il ne comprenait pas trop, ça lui faisait plaisir d’être puni. Il en avait parlé avec ses copains, eux pleuraient quand ils se faisaient frapper, ils avaient mal à en pleurer. Lui non, il était heureux.
Progressivement il devenait plus agressif envers ses parents, il ramenait des mauvaises notes – non pas qu’il ne savait pas répondre aux questions, il étudiait beaucoup, il faisait exprès de se tromper et calculait même les notes qu’il devait obtenir pour avoir la moyenne, sans plus. Le tout restait tout de même à un niveau acceptable pour ses parents, Adamo faisait en sorte d’être à la limite de l’insolence critique sans jamais la dépasser histoire d’être très satisfait sans s'attirer de décision fâcheuse comme, par exemple, le placement en internat.
Isolé dans sa chambre, il commença ses premières expériences personnelles, intimes. Puisqu’il aimait la douleur, il s’empara un jour d’un couteau bien affûté et s’entailla la peau de l’avant bras. Le sang perlait, rouge, poisseux, sur son bureau. En le nettoyant avec un mouchoir, il l’observa, fasciné, comme hypnotisé. Il avait mal, ce qui lui fit du bien. Il finit de remplir le mouchoir et s’essuya consciencieusement. Une bonne après-midi en l’occurrence, il venait de comprendre qu’il n’était pas nécessaire de se mettre ses parents à dos pour une chose qu’il pouvait se donner lui-même. Ses notes remontèrent en flèches la semaine suivante, à la surprise générale et il devint l’enfant prodigue.

Le bonheur, toutefois, ne fut que de courte durée. Vers ses douze ans, alors qu’il se livrait à sa petite vie solitaire, Adamo fut doublement surpris : premièrement le sang ne coulait plus, il entachait seulement la lame de rasoir neuve avec laquelle il se scarifiait les cuisses sans perler ni goutter et, secondement, la plaie se referma d’elle-même, sans laisser de cicatrice, comme par magie. Il trouva le phénomène intéressant et, à la base, pas très gênant puisque la douleur n’avait pas disparue du tout. Le seul souci à l’époque était l’absence de cicatrices : il aimait bien, ça lui permettait de garder le compte, de dessiner des motifs quand il se sentait d’humeur créatrice… Sinon il comprenait qu’il était mutant, il le cacha alors facilement de tous.
Il nota des différences selon les situations : lorsqu’il utilisait les lames de rasoir déjà utilisées par son père, alors le sang coulait normalement et la plaie ne se refermait que lentement, c’était pareil avec les couteaux usagés ou sales. Cependant, quand le matériel était propre/neuf, son pouvoir était très efficace. Ainsi la scarification méthodique pouvait reprendre ses petites habitudes, tranquillement…

Jusqu’au jour où, en cours de sport, le thème abordé fut piscine. Pour « aider les enfants à accepter leur corps et le regard des autres » selon le professeur. C’est sans honte qu’Adamo se mit en maillot, arborant un corps savamment constellé d’étranges tâches claires. L’enseignant, consciencieusement, alerta les services sociaux de l’établissement qui, à leur tour, relayèrent aux parents. La mère éclata en sanglots et le père resta interdit tout au long du rendez-vous, ils décidèrent de conserve de le faire voir par un pédopsychiatre. Comprenant qu’il était surveillé de près, il choisissait lors des séances ses mots de manière à faire comprendre qu’il souffrait d’un mal-être résultant du fait que tous ses frère et sœurs étaient beaucoup plus âgés que lui ce qui, en un sens, était vrai.
Il fit dès lors attention à ne plus laisser trop de traces, du moins jusqu’à ce qu’il quitte à son tour le foyer familial pour étudier à l’université de Rome vers ses dix-huit ans, pendant ce temps il se plongeait dans le travail scolaire et l’étude religieuse où ses parents l’avait inscrit. Il les suivait tous les dimanches à la messe et les accompagnait au Vatican lorsque le Pape intervenait publiquement.
Détail important de son adolescence, vers ses seize ans, son grand-frère revint à la maison pour sortir du placard. Ce frère dont Adamo ignorait tout revenait se pavaner avec ses idées déviantes et son style efféminé. Comme prévu, les parents réagirent assez mal, en bons catholiques. Cependant, après réflexion, ils réalisèrent que leur fils restait leur fils, que les liens de la famille étaient inaltérables et que, malgré un choix qu’ils ne comprendraient sans doute jamais, ils étaient prêts à revenir sur leur paroles de le répudier à jamais… Jusqu’à ce qu’Adamo s’en mêle. Il était hors de question d’avoir un anormal pour frère. Il discuta alors longuement avec ses parents, entre les pâtes et la mozzarella, des avantages et des inconvénients de l’homosexualité. Il évoquait distraitement des faits divers où l’on apprenait que tel homo connu avait été surpris dans une maison de débauche avec des enfants, que tel autre avait blasphémé contre Dieu, qu’un troisième, en Amérique, mutant télépathe, avait pris le contrôle d’un groupe de dix personnes pour qu’elles se suicident… Il faisait feu de tout bois, occultant volontairement les informations où une lesbienne avait sauvé un enfant de la noyade. Non, Adamo ne se demandait même pas pourquoi la sexualité de ces gens était évoquée, l’important était de montrer le vice dans tout ce qu’il avait de répugnant.
Ses parents acceptèrent ce point de vue et répudièrent le grand frère, qu’ils ne revirent jamais. Le cadet comprit alors quelle emprise il avait sur ses géniteurs et, insidieusement, leur transmit des pensées toujours plus extrêmes.

Arrivé à l’université, il suivit des études en psychologie et obtint un Master, ce qui lui permettait de la pratiquer et d’ouvrir son propre cabinet. Il reprit tout du long les scarifications de plus belle, s’attaquant aussi au visage cette fois, en conjuguant les brûlures et brisures en tout genre, ce qui explique entre autre la perte de son auriculaire droit – suite à une infection devenue incontrôlable il a fallu d’urgence l’amputer. C’est aussi l’époque à laquelle il a perdu son œil gauche, remplacé dès lors par un œil de verre. Auprès de ses parents, il justifiait ces changements par le fait qu’il avait profondément pêché, que la faculté était un milieu délétère pour l’âme juste et qu’il s’agissait de sa manière d’expier ses vices. C’était un peu gros mais ses parents gobaient assez facilement tout ce qu’il leur disait, d’autant plus qu’en l’occurrence, c’était vrai.
Suite à ce Master il poursuivit des études de théologie jusqu’à la licence. Il sentit le besoin de se lancer dans la vie active, il s’inscrit donc à l’Institut pour assumer sa condition de mutant et s’engager dans cette lutte en faveur de la paix.


Caractère : Adamo est un fervent religieux qui a pris goût à la pénitence. Il place ces valeurs religieuses au plus haut de son code moral, ce qui le rend très cartésien, très terre-à-terre. C’est bien simple : à chaque péché doit absolument correspondre une sanction. Plus cette dernière sera violente et douloureuse, plus l’âme sera dans un état de repos et de pureté face à Dieu. Comme il aime montrer l’exemple, il n’hésite pas à se condamner lui-même.
Ce n’est pas pour autant qu’il est moralement droit, non : il est retors, assez fourbe, voire traître, menteur, de mauvaise foi, manipulateur pour les aspects négatifs de sa personnalité mais aussi généreux et de bonne volonté quand son humeur le lui permet. Il a sincèrement un très bon fond, son éducation catholique était fondée sur le partage et l’aide à autrui mais, en grandissant, il a découvert que chaque entorse à un bon comportement doit être punie. Il se laisse donc aller à un comportement déviant de son code religieux, sciemment, dans l’unique but de se punir en retour. Il n’est donc pas rare qu’il vole dans les magasins d’alimentation, qu’il mente lorsqu’on lui demande son chemin dans la rue, qu’il soit violent, verbalement et physiquement, juste pour faire une mauvaise action. Il a déjà couché avec des inconnues rencontrées dans des boîtes underground et s’est copieusement malmené juste après pour expier son acte.

Dernièrement, un voile de doute s’est jeté sur sa conscience personnelle : s’il prend tant de plaisir à subir ses punitions, peut-on encore utiliser ce terme ? Peut-on parler de pénitence si l’acte est accueilli avec plaisir, voire provoqué ? Il n’a pour l’instant pas de réponse mais il en cherche activement. Il continue tout de même dans la voie qu’il a choisi jusque là, au cas où.

Pour le reste, en discussion habituelle on peut constater qu’il est fortement conservateur. Le code de conduite que tout le monde doit suivre est inscrit dans la Sainte Bible, un point c’est tout. Si le Pape l’autorise, un ou deux écarts peuvent être envisagés mais minimes, sans incidence sur la vie courante. Quitte à choisir, l’idéal serait une radicalisation des pratiques.
Entre autres il prône l’abstinence jusqu’au mariage. Lui a enfreint cette règle mais a longuement expié sa faute donc il se considère comme vierge aux yeux de Dieu. Par contre, la Bible ne se prononçant pas sur la question des mutants, il pense qu’il s’agit d’un clin d’œil divin, une sorte de bonus accordé pour faire évoluer l’humanité. Malgré l’ambiance toujours plus mutophobe, il a rallié ses parents au fait que c’est la volonté de Dieu de voir l’être humain se dépasser.


Ambitions : Il aimerait sauver des âmes en les convertissant au catholicisme, ce qui n’est pas évident dans cette époque où le cœur des jeunes est vicié par tellement d’informations perverses. Sinon, rien de particulier, il vit sa vie comme si chaque jour était le dernier, en bon pieux.


Vous, derrière votre écran :

Votre âge (réel) : Bientôt 28 ans !
Votre addiction au net (en h/jour face ) : Ca dépend, en général moins de 24h.
Comment avez-vous connu Generation-X ? : /
Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : Pour rire.
Est-ce votre dernier mot ? : Amen.

Dans le règlement, qui nous tient ? : OK by Sam'

NB : Acceptez-vous que votre fiche de présentation soit mise dans les Incarnations si pour une raison ou une autre vous êtes appelé à nous quitter ? Oui.



Dernière édition par Adamo Manzo le Dim 10 Aoû 2014 - 17:25, édité 4 fois
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