Prénom et nom : Léa McLane
Surnom : /
Âge (Date de naissance) : 16 ans (15 décembre 2036)
Race : mutante
Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? Non.
Origine : Londres
Clan : Institut
Pouvoir : Pouvoir de Guérison (sur autrui) - Détection de mutants
- Spoiler:
Note : Quelque soit le niveau, si Léa anesthésie la souffrance de quelqu'un, les effets secondaires seront les mêmes que ceux d'une anesthésie classique. Je m'explique : si quelqu'un a une rage de dents et que Léa lui anesthésie la mâchoire, cette personne va baver. Si elle anesthésie le poignet d'une autre personne, celle-ci aura les doigts engourdis et du mal à les bouger. Ceci pour plus de cohérence.
Par ailleurs, un pouvoir de guérison n'est que la capacité de guérir en accéléré, donc elle ne pourra jamais sauver un mourrant s'il n'y a plus d'espoir. Par ailleurs, si elle soigne une plaie grave qui aurait laissé une cicatrice visible en guérissant de manière "naturelle", la cicatrice sera là comme si la guérison avait mis plus de temps.
Actuellement : Type Alpha
Niveau 0 - Novice : Léa n'est pas encore capable de guérir à proprement parler, mais elle peut en revanche anesthésier de manière partielle ou totale les douleurs d'une personne, dans une limite d'une seule fois toutes les heures au maximum.
Elle a la capacité d'identifier une personne en tant que mutant par contact physique. Toutefois, le déclenchement ce pouvoir est encore rarissime.
Niveau 1 - Bleue : Léa parvient à guérir des blessures de faible gravité et de faible surface telles que des égratignures, des hématomes, des ampoules ou de petites bosses par exemple.
Elle peut détecter les mutants dans un rayon de cinq mètres, à condition qu'il n'y ait aucun obstacle entre eux. Toutefois, la fréquence de ces détections n'augmente pas.
Niveau 2 - Recrue : Léa a la possibilité de soigner des blessures muculaires telles que des entorses ou des muscles froissés. Elle peut aussi remédier au rhume, à la toux, aux otites, à la gastro-entérite ou encore à la grippe. Son don de guérion peut désormais être employé toutes les demi-heures, à condition qu'elle ne soit pas fatiguée.
La distance ou la fréquence des détections ne changent pas. En revanche, elle peut désormais détecter un mutant malgré la présence d'un obstacle.
Type Gamma
Niveau 3 - SpécialisteEn l'absence de corps étranger, Léa est capable de soigner des plaies ouvertes. En revanche, si la plaie est obstruée (par exemple par un morceau de verre), il faut le retirer avant qu'elle puisse faire quoique ce soit, ou la blessure se refermerait autour de l'objet en question. Elle peut également soigner des brûlures légères, d'une superficie inférieure à la paume de sa main, à condition qu'elle soient de nature thermique, c'est-à-dire qu'elles aient été causées par le feu ou une autre source de chaleur, et pas par une substance corrosive. Elle peut enfin soulager les maux de tête ou encore les nausées.
La détection des mutants se fait plus fréquente, et atteint désormais un rayon de dix mètres sans obstacle ou encore de cinq mètres si un mur ou bien une personne les sépare.
Niveau 4 - Experte Léa peut guérir les fractures simples et les blessures articulaires telles que les luxations, ainsi que les maladies infantiles bénignes (varicelle, rougeole, etc.). A condition d'être en forme, elle peut désormais effectuer une guérison tous les quarts d'heure.
Elle est également devenue capable de détecter les mutants à dix mètres, même en présence d'obstacle.
Type Sigma
Niveau 5 - Prétendante : Léa parvient désormais à soigner des plaies ou des brûlures graves.
Elle peut toujours détecter les mutants à dix mètres. Cette distance se porte à vingt mètres en l'absence de tout obstacle.
Niveau 6 - ChampionNiveau 6 : Léa devient capable de guérir des fractures avec déplacement ou des maladies plus graves, avec certaines restrictions. Pour commencer, elle ne peut pas guérir des choses comme l'asthme ou l'allergie, car ça ne peut pas se guérir. Le sida et le cancer, maladies trop graves et souvent mortelles, n'entrent pas dans cette catégorie. Je parle uniquement du genre de maladies qui n'auraient pas été traitées à l'hôpital, mais qui auraient pu guérir avec du temps et des soins. Bronchites, virus, ce genre de choses. Pas de maladies de type durable ou chronique. (Elle peut toujours soulager les symptômes de la migraine ou de la crise d'asthme, mais pas l'asthme lui-même ou les migraines chroniques, par exemple).
Un quart d'heure est toujours nécessaire entre deux guérisons, mais elle n'a plus besoin d'être aussi en forme.
Elle peut désormais savoir si chaque personne qu'elle croise est ou n'est pas mutante, à condition qu'elle soit soit dans un rayon de vingt mètres, soit dans son champ de vision (ça ne veut pas dire à la télévision, juste à l'autre bout du boulevard, mais assez près quand même pour pouvoir être distinguée). Mais si elle croise des humains enfants de mutants, elle risque de ne pas être très sûre, surtout si elle est fatiguée, et aura besoin de les toucher pour en avoir le coeur net. Elle sent aussi quels mutants sont enfants de vaccinés (mais pas les vaccinés eux-mêmes), sauf qu'elle va mettre longtemps à analyser et identifier cette perception nouvelle.
Publiquement Elle est membre de l'Institut, donc les gens savent qu'elle est mutante. Elle ne le cache pas, mais ne le crie pas à chaque instant non plus.
Aptitudes : Un talent certain pour le dessin. Donnez-lui un crayon et un carnet de croquis, et elle vous dessinera le monde entier. C'est pour elle un moyen de s'exprimer, mais aussi de fuir le poids du quotidien.
Elle est aussi douée pour écouter les autres. C'est une jeune fille très attentive et, lorsqu'on se confie à elle, on se sent vraiment écouté.
Description physique : Du haut de son mètre soixante, Léa ne peut pas vraiment être classée parmi les filles de petite taille, mais pas davantage parmi les grandes. Elle ne pèse que quarante-sept kilos, ce qui est sans doute trop mince, même pour une jeune fille de sa taille. Sa chevelure brune, longue et soyeuse, se pare de reflets roux ou auburn lorsque les rayons du soleil s’y reflètent. Comme ils sont longs jusqu’à ses épaules et de type fin, donc légers, elle pourrait en faire un grand nombre de coiffures si elle s’en donnait la peine. Mais comme notre artiste a bien à faire de son temps que de le passer devant sa glace, elle les laisse la plupart du temps lâchés et quelque peu ébouriffés. Quand elle dessine, par contre, elle a tendance à les remonter en un chignon flou, hâtivement fixé par deux crayons inutilisés, afin de ne pas avoir de mèches pendant devant ses yeux. Ces derniers, d’une magnifique couleur verte, comme deux lumineuses épaules, expriment un déconcertant mélange de force et de douceur. Léa a le teint pâle, presque diaphane, et bien qu’elle soit brune, elle bronze peu et aurait plutôt tendance à prendre des coups de soleil aussi facilement qu’une rousse.
Elle porte toujours la même éternelle paire de baskets blanches toutes simples, associée généralement à un jean bleu qui n’est pas moins classique. Ses t-shirt, en revanche, sont plutôt originaux. Comme elle n’a jamais l’occasion ni les moyens de faire du shopping, elle a tendance à customiser certains d’entre eux. Ils sont donc souvent uniques. Sans être vraiment moulants, ils sont suffisamment ajustés à ses proportions pour souligner sa silhouette frêle.
Signes particuliers : Allergie à la pénicilline et à l'aspirine.
Un sac fétiche, bleu électrique, à bandouillère, qui contient ses papiers et du matériel de dessin.
Histoire : Vanessa Scott et Laetitia McLane étaient, depuis leur plus jeune âge, les meilleures amies du monde. Laetitia avait un grand frère nommé John et, durant de longues années, ces deux jeunes filles ne purent pas le voir en peinture, ce qui était réciproque. Ce ne fut que lorsqu’elles arrivèrent au collège que Vanessa commença à éprouver une admiration secrète pour John. Longtemps, ce dernier l’ignora. Ce ne fut que lorsqu’elle avait dix-sept ans qu’il daigna commencer à s’intéresser à elle. Lui avait dix-neuf ans, mais tous deux étaient en terminale, car il avait redoublé deux classes.
Vanessa refusa d’écouter les mises en garde de sa meilleure amie, qui lui assurait que sous le visage d’ange de son frère se cachait un garçon peu fréquentable. Ne dit-on pas que l’amour est aveugle ? Ils flirtèrent durant quelques mois, sans qu’il n’accepte jamais de la présenter comme sa petite amie officielle. En mars, à quelques mois des examens, Vanessa découvrit qu’elle était enceinte. Désespérée, ne sachant pas trop ce qu’elle devait faire, elle se confia à sa meilleure amie. Celle-ci alla immédiatement avertir son frère et le sermonner. Elle tenait à ce qu’elle prenne ses responsabilités.
Sachant que ses parents et sa soeur ne tolèreraient pas qu’il n’assume pas ses actes, il accepta, bon gré mal gré, d’épouser Vanessa, de s’installer avec elle, et de reconnaître l’enfant. Cela dit, il ne se rendait pas franchement utile. Il fumait beaucoup et buvait un peu trop souvent à des fêtes organisées par des amis, ce qui n’était pas franchement un cadre idéal pour une femme enceinte. De plus, occupé qu’il était à faire la fête et à se distraire avec d’autres femmes, il échoua superbement à ses examens, qu’il n’avait pas préparés.
Envers et contre tout, Vanessa l’aimait toujours autant.
L’enfant était une adorable petite fille de 3,1 kilos, que sa mère nomma Léa Ebrill Abigail McLane. Après sa naissance, Vanessa dut arrêter ses études car, dans la mesure où il fallait bien travailler pour nourrir la famille, elle n’avait ni les moyens ni le temps de les poursuivre. Elle était bien trop fière pour demander de l’aide à la vieille tante Margaret, chez qui elle avait vécu depuis ses treize ans, date de l’accident de voiture qui avait coûté la vie à ses parents.
Elle obtint donc un travail, assez mal rémunéré mais peu exigeant en qualifications. Elle quittait l’appartement à dix-neuf heures, déposait sa fille chez Laetitia, auprès de laquelle elle racontait que les hommes n’étaient pas doués avec les enfants pour ne pas lui avouer qu’il devait faire la fête où être en charmante compagnie. Elle partait ensuite travailler, ne rentrait qu’à sept heures du matin. Elle dormait alors jusqu’à midi, puis allait récupérer sa fille. Même si elle n’avait pas la possibilité d’être là l’intégralité de la journée, elle aimait sa fille et aurait fait n’importe quoi pour elle.
Laetitia se maria lorsque Léa avait cinq ans. Comme elle ne pouvait plus la garder, il fut admis qu’elle était assez grande pour passer seule les nuits où son père était absent.
Peu de temps après, par une froide nuit d’hiver qu’elle passait seule, Léa, terrorisée par l’orage qui grondait, vint frapper à la porte de ses voisins qu’elle ne connaissait pas encore, pelotonnée dans sa couverture et son doudou à la main.
June n’était pas seule dans son appartement, mais son ami Bernie était présent. Après que les présentations aient été faites que Léa lui eût expliqué son problème, elle lui proposa de passer la nuit à l’intérieur.
Le lendemain, lorsque Léa rentra chez elle, sa mère, qui n’était d’ordinaire jamais en retard, était absente. Son père n’était pas la non plus. En revanche, deux policiers patientaient sur le pas de la porte. Avec douceur pour l’un, puis plus brusquement pour l’autre, ils lui firent comprendre que sa mère était morte dans un accident de voiture.
Elle était toujours assise dans le salon, les joues encore baignées de ses larmes taries, lorsque son père rentra.
Comme il avait faim, il demanda où était Vanessa, et la fillette répéta toute l’histoire. Il se rendit à la police pour confirmation, parce que c’était ce qu’il était sensé faire, et alla à l’enterrement, sans même avertir sa sœur.
Privé du salaire de sa femme, il ne pouvait plus financer son train de vie. Il sortit alors moins, passant ses journées dans un fauteuil, amenant parfois des amis. Il se faisait livrer tous ses repas. Parfois, lorsqu’il était encore sobre il pensait à commander une part à Léa. Le reste du temps, elle mangeait ce qu’il avait laissé. Parfois, lorsqu’il avait trop bu, il la frappait, car il était persuadé qu’elle était responsable de sa situation.
Léa se réfugia très jeune dans le dessin. Les autres enfants couraient et criaient tous ensemble. Elle, plus discrète, s’asseyait quelque part et griffonnait ses croquis sur des pages blanches.
Lorsque June était là, de temps en temps, Léa allait lui rendre visite. June était toujours prête à la soutenir et à l’écouter, et Léa l’appréciait beaucoup.
Les notes de Léa n’étaient pas fameuses, car il lui était difficile de travailler correctement chez elle, mais Léa était intelligente. Au collège, elle remplissait elle-même les fiches d’impôts de son père et y falsifiait sa signature, comme sur ses bulletins, car elle savait qu’il ne s’en chargerait pas.
Elle a découvert son pouvoir de détection par hasard, un jour où un mutant qu'elle ne connaissait absolument pas l'a bousculée par accident dans la rue, et retenue par le bras pour qu'elle ne tombe pas, avant de poursuivre son chemin. Elle a su instinctivement à quoi correspondait ce qu'elle sentait. Elle n'a jamais revu ce mutant, mais s'en souvient nettement.
Elle a caché ce pouvoir à sa voisine, comme celui de guérison, qu'elle a découvert plus tard.
Un jour, June est tombée dans l'escalier. Elle lui a proposé de masser sa cheville, et en a profité pour la soulager discrètement, en espérant qu'elle ne remarquerait rien. Mais c'est à cette occasion que June a commencé à se douter du pouvoir de Léa, parce qu'elle n'a ressenti aucune douleur et que sa cheville n'a pas enflé.
A un moment, il y a quelques temps, elle sentait la présence d'un mutant à l'aura très puissante chez June. Il s'agissait de Kenjiss. Elle n'osait plus vraiment venir, à moins d'être absolument certaine qu'il était absent.
Elle soutint à son tour June au cours de sa grossesse, et compta d’ailleurs parmi les premiers au courant. C’est à cette époque qu’elle rencontra Virginie, chez June, et elles devinrent également amies.
Lorsque Kenjiss est mort, Léa a été là pour soutenir June. Comme son appartement avait été visité - Léa a d'ailleurs observé la scène et leur a transmis ce qu'elle apprenait - June a dû partir se réfugier à l'Institut. Elle l'a accompagnée, parce qu'elle tenait à veiller sur elle, mais aussi parce qu'elle-même était témoin et qu'il n'était pas prudent de rester dans l'immeuble.
Jusqu'à présent, elle n'a eu aucun contact avec son père depuis son arrivée à l'Institut. Cela dit, il va falloir qu'elle se décide à mettre les choses au point avec lui. Peut-être le jour où elle repassera à l'appartement pour remettre ses affaires en ordre.
Caractère : La première chose qu’on remarque de Léa est qu’elle n’est pas franchement extravertie. Il ne s’agit pas de timidité, parce qu’elle n’est pas particulièrement mal à l’aise avec les inconnus, mais plutôt de quelque chose comme de la réserve. Elle a vécu une enfance assez difficile alors, pour gagner sa confiance, il faut la mériter. Cela dit, ça ne l’empêche pas d’être très à l’écoute, et toujours prête à aider ceux qui ont des ennuis, même s’il s’agit d’inconnus.
Si vous êtes l’un de ses amis, vous pouvez être sûr qu’elle ne vous laissera jamais tomber. Elle ferait n’importe quoi pour vous soutenir en cas de problème. Par ailleurs, elle se montrera toujours sincère avec vous, sauf dans les moments où elle pense que mentir vous protègera.
Avec des inconnus en qui elle n’a pas confiance, par contre, Léa fait une menteuse assez talentueuse, ce qui peut souvent s’avérer utile.
Léa est du genre plutôt calme et réfléchie, et prend généralement le temps de se poser pour étudier la situation avant d’agir. Cela dit, il lui arrive aussi d’agir sur une impulsion, de suivre son instinct.
Ambitions : Veiller à ce qu'il n'arrive rien à ses amis, avant tout.
A part ça, ça lui plairait d'être illustratrice, plus tard.
Vous, derrière votre écran :
Votre âge (réel) : 17 ans
Votre addiction au net (en h/jour face ) : En vacances, environ 2-3h/jour. En période de cours, 2/3h/semaine en moyenne.
Comment avez-vous connu Generation-X ? : Je dois retourner chercher sur la fiche de Moka ou ça ira?
Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : Déjà, le forum est cool. Ensuite, j'ai eu un vrai coup de coeur pour le personnage.
Est-ce votre dernier mot ? : Je dirais même plus : un vrai coup de coeur!
(A tous ceux qui ont reconnu ici les frères Dupond et Dupont, je dis : chapeau, on est pareils.)
NB : Acceptez-vous que votre fiche de présentation soit mise dans les Incarnations si pour une raison ou une autre vous êtes appelé à nous quitter ?Bien entendu puisque le personnage est un prédéfini. Mais je promets de ne pas vous quitter!