Prénom et nom : Gabrielle Blackwood

Surnom : Morphée

Âge (Date de naissance) : 28 ans, 5 avril 2023.

Race : mutante.

Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? : Pas de vaccin ni pour les parents ni pour Gabrielle.

Origine : Américaine, Louisiane.

Clan : Institut.

Pouvoir : Création d'illusions, cauchemardesques ou merveilleuses en se basant sur la psyché de la personne, ses peurs ou ses désirs.Niveau 1.

Niveau 1: Utilisation du pouvoir aléatoire. L'illusion consiste en une altération de l'environnement existant. La personne peut se sortir de l'illusion par un effort de concentration. Peurs ou désirs courants. Ne se base que sur une personne.

Niveau 2: Utilisation du pouvoir soumise aux émotions. Introduction de nouveaux éléments dans le décor tels que des personnages. La personne se rendra compte de l'illusion si les évènements deviennent peu courants. Peurs et désirs spécifiques à la personne qui sert de base. Utilisation groupée à vue mais ils verront tous la même chose. Les victimes peuvent se déplacer et communiquer.

Niveau 3: Utilisation controlée mais déclenchement ou inhibition dûs aux émotions. Altération du décor existant.Les interactions font partie de l'illusion mais un grand manque de crédibilité la détruira. Peur spécifique d'une personne.Peut choisir à vue qui intégrer ou non dans l'illusion. Illusion collective.

Niveau 4: Utilisation controlée du pouvoir. Illusions avancées avec création du décor. La victime est immergée dans l'illusion. Illusion spécifique à chaque personne en se basant sur certaines de leurs peurs.

Niveau 5: Pouvoir controlé. Illusions très développées, la victime est piégée dans l'illusion et n'en sortira pas sans aide externe. Effets psychosomatiques. Plus grandes peurs des individus.

Améliorations technologiques :

Aptitudes : Gabrielle possède bien sur un gout pour la lecture et une grande connaissance littéraire du fait de sa passion. elle aime aussi parfois chanter mais fait cela de façon non professionelle. Pour entretenir sa forme, la jeune femme fait aussi de la course à pied.
Description physique :
Ce qui marque le plus lorsqu'on aperçoit pour la première fois Gabrielle, c'est sans doute son teint d'albâtre. En effet, la jeune femme possède un teint très pâle, si bien que certains, pour se moquer, l'ont parfois surnommée Blanche-Neige. Les traits de la jeune femme sont fins et réguliers, d'un délicat ovale. Son visage est entourée d'une opulente chevelure brune qui  descend en douces ondulations jusqu'à ses épaules étroites et met en valeur son cou majestueux. Ses sourcils, forts et bien dessinés, soulignent ses yeux d'un vert ensorcelant. Sa bouche, petite et charnue, s'étire souvent en un ravissant petit sourire coquin qui la fait paraître souvent plus jeune que son âge.
Même si la jeune femme est plutôt petite, l'un de ses grands complexes, sa silhouette est des plus proportionnée. Ses seins sont hauts mais fermes et ronds, mettant en valeur sa taille fine, ses hanches sensuelles et ses cuisses fuselées.

Si elle dispose d'un physique généreux, Gabrielle ne semble pas en avoir conscience, du moins elle n'en joue pas. La jeune femme porte souvent des jeans et des t-shirts colorés, l'un de ses accoutrements préférés. Elle se plait parfois à revêtir des vêtements plus distingués qui mettent en valeur sa silhouette mais la jeune femme se sent toujours guindée.

Signes particuliers :
Un des tics remarquables chez Mlle Blackwood est sans doute sa manie de faire des grimaces. Dès que la situation devient trop sérieuse ou simplement pour ponctuer l'une de ses plaisanteries, Gabrielle adore briser le masque des convenances.
Son deuxième tic majeur est lié bien sur à son métier. Gabrielle ne peut s'empêcher de psychanalyser à tout va, même quand on ne lui demande rien et décortique chaque geste, chaque phrase. D'ailleurs, elle souffre du complexe du sauveur et essaye toujours d'aider les gens quand une situation se présente. Elle se surnomme souvent avec humour Mère Thérésa et ajoute qu'elle aurait du être assistante sociale et non psychanalyste.

Histoire :
Le printemps venait à peine de pointer son nez en ce matin du 5 avril 2023 lorsque les contractions se déclenchèrent pour Elizabeth Blackwood. Sa petite fille s'était enfin décidée à venir au monde et c'est ce qu'elle fit dans l'hôpital général de la Nouvelle Orléans. Il n'y eut personne pour tenir la jeune maman par la main, ni aucune accolade paternelle pour la petite Gabrielle puisqu'elle était née de père inconnu comme l'indiquaient les papiers officiels. Elle rejoignit bien vite avec sa si jeune mère la petite maison délabrée qu'elle habitait dans Channel District, le quartier irlandais très pauvre de la ville. Elle n'était pas véritablement née sous une bonne étoile mais sa mère faisait tout son possible pourtant. Elle cumulait un emploi de femme de ménage dans l'une des magnifiques maisons de Garden District avec celui de serveuse dans le restaurant du coin. Gabrielle fut gardée lors de ses premières années par une vieille irlandaise qui avait l'avantage d'être leur voisine et qui avait élevé 6 enfants. A présent, elle était bien seule et s'occupait avec amour et pourtant sévérité de l'enfant. Ce fut elle qui fut témoin des premiers gazouillements de la fillette ainsi que de ses premiers pas. Elle avait pris en pitié la jeune Elizabeth qui lui rappelait l'une de ses petites filles. Dès que Gabrielle sut parler, elle apprit à surnommer du doux nom de « Granny O'Brien » cet ange gardien. L'enfance de Gabrielle fut donc solitaire avec une mère absente et une grand-mère qui ne pouvait pas toujours partager ses jeux. La petite fille fuyait alors dans leur maigre jardin et s'inventait un monde imaginaire. L'arbre du coin faisait office de château magique, la boite aux lettres de dragon féroce. On voyait ainsi l'enfant courir de tout côtés, brandissant un bâton comme s'il s'était agi d'une épée. Lorsque Gabrielle atteint un certain âge, Granny O'Brien pria sa mère de l'envoyer à l'école du coin. Elle argua que la jeune enfant avait besoin d'élargir son univers, de fréquenter d'autres enfants de son âge. Elizabeth accepta. A vrai dire, elle n'avait que peu de temps pour son enfant et quand elle avait fini son travail, elle rentrait chez elle, s'affalait dans son sofa défoncé et dégustait du mauvais vin face à un vieux soap américain jusqu'à ce qu'elle tombe de fatigue, inconsciente dans le canapé. Très vite, elle devint l'une de ses ivrognes assez dignes, qui s'enivre sans que personne ne s'en rende compte, y puisant l'énergie qui lui permettrait de combattre son désespoir et sa fatigue perpétuelle. Granny désapprouvait tout cela bien sur mais elle ne pouvait rien faire. L'alcool après tout avait souvent été pour de nombreux irlandais une véritable roue de secours et l'alcoolisme, comme d'autres tares génétiques, se transmettait de génération en génération.
Gabrielle fit donc ses premiers pas à l'école. Les autres enfants lui paraissaient étranges, elle qui n'avait fréquenté que des adultes. D'ailleurs, ils ne comprenaient pas ses jeux étranges, son imagination fertile qui lui faisait raconter des histoires abracadabrantes ou se moquaient encore de ses vieux vêtements raccommodés et du fait qu'elle n'avait pas de père.
L'évènement le plus important de sa vie fut sans doute son acquisition de la lecture. Lorsqu'elle put enfin déchiffrer ce qu'il y avait d'écrit sur sa boite de céréales, Gabrielle comprit qu'un nouveau monde s'ouvrait à elle. Elle tanna Granny O'Brien de l'emmener à la bibliothèque et supplia tant et si bien qu'elle obtint que la vieille femme revêtisse ses habits du dimanche pour la mener à la bibliothèque municipale. Elle se souvient comme si c'était hier de la sensation qu'elle eut lorsqu'elle poussa les portes. Des étagères de livres s'empilaient de part et d'autres, semblant s'élever jusqu'au ciel telles des murailles d'un magnifique château. Les livres présentaient leur surface colorée, tous plus alléchants les uns que les autres, promettant mille trésors. A gauche, se trouvait une femme à son bureau qui lui souriait gentiment telle une bonne fée l'accueillant dans cet univers merveilleux. Granny la conduisit au rayon des enfants et Gabrielle attrapa le premier livre qui lui tomba sous la main et se mit à déchiffrer avec plus ou moins de réussite les caractères. Granny à ses côtés la guidait et la corrigeait, impressionnée par les progrès de l'enfant. Lorsqu'elle tourna la dernière page du livre, le visage de Gabrielle s'illumina d'un sourire. Elle n'avait plus à présent à inventer d'histoires, des millions d'entre elles s'offrait à ses yeux, renfermées dans ces livres.
Chaque semaine, Granny la conduisit donc à la bibliothèque. Dès qu'elle eut 6 ans, elle décréta que ses pauvres jambes ne pouvaient plus supporter ses promenades hebdomadaires et Gabrielle s'y rendit seule. Ses résultats à l'école étaient brillants et les professeurs louaient sa grande imagination. Pendant ce temps, Elizabeth s'enfonçait dans l'alcoolisme. Le vin l'avait tellement rongée qu'elle paraissait 10 ans de plus. Ses mains décharnées pendaient mollement à ses côtés, tremblant par moment et son visage arborait une expression amère. On avait de plus en plus de mal à attirer son attention.
Le temps passa ainsi et bientôt Gabrielle intégrait le High School du district. Elle avait 15 ans et tel un papillon sortant de sa chrysalide, son corps commençait à changer. Sa taille devint plus fine, son visage perdit sa rondeur enfantine et une poitrine naissante pointait sous ses éternelles vieilles robes. La jeune fille attirait ainsi le regard des garçons qui, bien que la trouvant étrange, semblaient apprécier ce changement. Gabrielle était désarçonnée par ce nouveau comportement qu'elle ne savait gérer. Elle les ignora donc. Ce fut à peu près à cette période qu'intervient un événement qui bouleversa toute sa vie. Un soir après le lycée, Gabrielle s'était installée sur la petite table de la cuisine pour faire ses devoirs quand sa mère rentra plus tôt de son travail. A vrai dire, comme put le comprendre Gabrielle à travers les grognements de sa mère qui ne s'adressaient à personne en particulier, celle-ci avait été renvoyée de son travail pour son incompétence de plus en plus importante à mesure qu'elle augmentait les doses d'alcool. Elizabeth s'écroula dans le canapé et observa d'un œil torve sa fille. Elles ne s'étaient plus véritablement adressées la parole depuis des années mais ce soir-là, Elizabeth avait besoin d'un défouloir, d'un bouc-émissaire.

« Toujours dans tes livres, tes cahiers...Tu te crois si intelligente? Tu crois que je ne vois pas comment tu me regardes, comment tu regardes tous les gens du quartier!....Tu te crois si supérieure avec ton petit air hautain mais tu ne vaux pas mieux que moi...Moi aussi j'aurais pu avoir un avenir si tu ne t'étais pas pointée...J'aurais du me débarrasser de toi quand je le pouvais! Tu crois que tu vas te sortir de cette merde, de ce quartier, tu crois que tu vas t'en sortir!!Non l'existence est un bourbier et t'es dans la merde comme nous et tu finiras comme nous... Arrête de rêver! A partir de demain, tu devras te chercher un métier, j'peux plus te nourrir moi, si tu veux manger, faudra travailler! »

Et elle continuait ainsi, déversant sa haine, sa colère. Gabrielle était pétrifiée sur sa chaise, observant sa mère et elle sentit à son tour une grande colère l'envahir. Elle ne disait rien, subissait le flot de paroles sans faillir mais ce sentiment grandissait en elle, diffusant dans ses veines un poison bouillonnant. La pression se fit plus forte dans sa tête et elle se leva d'un bond en hurlant:

« Tais toi!!!!!!! »

Soudain sa mère eut une expression hagarde. Gabrielle sentit alors l'esprit de sa mère, sentit aussi qu'elle fouillait à travers pour en extirper ses peurs les plus profondes, les plus cachées. Lorsqu'elle les atteint, il y eut une sorte de flash et tout changea. Elles se trouvèrent alors dans une vieille cellule sentant la pisse. Sa mère était attachée par de lourdes chaines au mur. Un homme poussa bientôt la porte. Il affichait une expression cruelle, voire bestiale et tenait dans ses mains d'horribles pinces ensanglantées. Il s'approcha de sa mère. Gabrielle hurla mais personne ne l'entendit. Sa mère s'agita, se débattit mais rien n'y fit. L'homme fut bientôt à ses côtés. Il affichait à présent un large sourire sadique. Il commença par prendre une pince et coinça un des doigts d'Elizabeth à l'intérieur avant de le lui sectionner. La femme se mit à hurler. Gabrielle criait aussi, pleurant. Elle tenta d'arrêter l'homme mais ses mains passaient à travers son corps. Il continua ainsi à sectionner chaque doigt puis transperça à de multiples endroits le corps d'Elizabeth. A la fin, il enfonça un épais crochet qui pendait du mur sur une chaine plus courte juste sous son sein et attrapa une côte. Il la laissa pendre ainsi, évanouie. Gabrielle pleurait à chaudes larmes. Soudain, le décor de sa maison réapparut. Sa mère se trouvait sur le canapé, une expression d'horreur et de douleur peinte sur le visage, les mains crispées sous son sein. Elle ne bougeait plus. Gabrielle courut chercher Granny et la tira jusque chez elle. Dès qu'elle aperçut Elizabeth, Granny comprit. Elle appela très vite les secours et ce furent eux qui annoncèrent la triste nouvelle. Elizabeth était décédée à l'âge de 35 ans. Son cœur, sans doute usé par la fatigue, la malnutrition et l'alcool avait cédé. Gabrielle s'écroula littéralement, s'accusant de cette mort malgré les explications des secouristes qui tentaient de lui faire comprendre qu'elle n'avait rien fait. On fit des recherches pour identifier une quelconque famille mais celles-ci échouèrent. Granny O'Brien demanda la garde et comme Gabrielle la soutenait, elle l'obtint.
Quelques jours plus tard, Gabrielle emménagea donc chez celle qu'elle avait toujours considérée comme sa véritable mère. Granny était vieille mais s'occupait bien de l'enfant. Elle sentait ainsi que quelque chose n'allait pas chez la jeune fille qui refusait d'en parler. Un soir, elle prit donc la jeune fille entre quatre yeux. Elle lui avait servi un bon repas et Gabrielle mangeait sans un mot.

« Je sais que ça doit être difficile pour toi en ce moment... » lança Granny pour débuter, « Mais tu ne dois pas te laisser abattre. Je suis sure que ta maman n'aurait pas aimé te voir ainsi à cause d'elle. »

Un sourire amer et désabusé se peignit sur les lèvres de la jeune adolescente.

« Oh je crois bien que si et je suis même sure que depuis l'Enfer où elle se trouve, elle doit maudire mon nom et se réjouir de mon malheur! »

Ses propos surprirent Granny.

« Que veux tu dire Gabrielle? Tu sais bien que ce n'est pas ta faute. Ta pauvre mère s'est tuée toute seule, à chaque fois qu'elle finissait l'une de ses satanées bouteilles. »

« Peut-être, répondit Gabrielle, mais c'est moi qui lui ait donné le coup de grâce...Je l'ai achevé... »

Granny posa sa main noueuse sur la frêle épaule de la jeune fille. Ce seul geste déclencha des pleurs chez Gabrielle.

« Qu'est ce qui s'est passé? » demanda Granny d'une voix douce. « Tu sais que tu peux tout me dire... »

« Oh Granny...Je ne voulais pas lui faire de mal....je suis si désolée...Elle criait tellement et j'étais si énervée et ensuite...quel cauchemar, oh si tu savais! »

« Raconte moi! »

Et Gabrielle lui raconta. Ce qui la surprit le plus fut que Granny la crut. Peut-être était-ce son sang irlandais qui la prédisposait à croire aux choses étranges ou encore peut-être qu'elle avait été témoin d'autres choses, d'illusions passées inaperçues par Gabrielle mais elle ne remit pas sa parole en cause.

« Tu sais, on entend de drôles de choses en ce moment aux infos et dans les journaux... Il y aurait de drôles de gens qui seraient dotés de capacités étranges...Bien sur, c'est peut-être faux mais après tout, on ne connait pas ton père... »

Gabrielle en avait entendu parler. Des mutants...L'idée l'avait passionnée.

« En tout cas, reprit Granny, il ne faut pas considérer cela comme une malédiction. C'est un don de notre seigneur et c'est à toi de découvrir comment l'utiliser pour le servir. »

Elle laissa l'enfant méditer ses paroles. Celles-ci firent grand écho en Gabrielle. Elle se souvenait comment elle avait pu transpercer l'esprit de sa mère. Elle avait eu ainsi un aperçut de ses peurs mais aussi de ses rêves les plus fous. Si sa colère l'avait dirigée dans le mauvais sens, peut-être qu'elle pourrait s'en servir dans l'avenir pour aider les gens. Ce fut son nouveau crédo: aider le maximum de gens. Elle décida donc très tôt d'entreprendre des études de médecine, elle ne savait pas encore dans quelle spécialité. A la fin du lycée, Granny se rendit à l'High School Graduation vêtue de sa plus belle robe et applaudit à tout rompre lorsque Gabrielle obtint son diplôme. Ses maigres économies n'auraient pas suffi pour permettre à Gabrielle d'intégrer l'Université mais celle-ci obtint une bourse assez importante au vu de ses résultats. Gabrielle décida de sortir du pays, la repression anti-mutante devenant de plus en plus forte, elle s'inquiétait pour sa personne. Elle décida donc d'étudier en France qui l'avait toujours fascinée par l'influence qu'elle avait eu sur la Louisiane. Grâce à son travail acharné car elle cumulait aussi un emploi à côté, Gabrielle réussit à obtenir son diplôme de psychiatre où elle se servait de son pouvoir, sous couvert de l'hypnose, pour aider ses patients à faire leur deuil, à affronter une phobie...Dès sa sortie de l'école, elle revint de France et elle se présenta à l'Institut en leur proposant ses services.

Caractère :
Gabrielle a vraiment le cœur sur la main. Elle adore aider et se plie en quatre pour le faire. Cela n'est pas lié à une quelconque conception religieuse mais simplement à son caractère généreux. C'est une jeune femme active, dotée d'un humour féroce qui aime par dessus tout rire et s'amuser. Elle sait bien sur être sérieuse quand cela est nécessaire mais estime que les convenances sociales doivent être parfois bafouées. Elle aime les personnes originales qui arrivent à s'affirmer. Très famille, elle a tendance parfois à se comporter comme une véritable mère poule et à surprotéger ceux qu'elle aime.

Ambitions :
Gabrielle a beaucoup de rêves, à vrai dire, elle se fait un devoir d'en avoir car elle estime que les désirs sont les moteurs principaux de la vie.
Au niveau professionnel, Gabrielle souhaite aider toujours plus de monde. Ainsi une part de son rêve s'est réalisée, lorsqu'elle a été embauchée à l'Institut. Être adolescent est déjà une chose difficile et être un mutant adolescent est carrément impossible. Elle s'est ainsi fixée la mission d'aider ses jeunes gens à atteindre un certain équilibre.
Au niveau de sa vie personnelle, Gabrielle aspire à plus d'équilibre. Si la jeune femme a eu de nombreuses aventures, son travail lui prend beaucoup de temps et il est parfois difficile de suivre la jeune femme très active. Elle rêve ainsi de fonder une relation stable et pourquoi pas d'avoir un enfant.
Quant à ses rêves utopiques, Gabrielle rêve, comme le disent toutes les Miss internationales, de la paix dans le monde. De façon plus sérieuse, Gabrielle s'inquiète de la conjecture actuelle et s'effraie face à une montée des haines. Elle trouve que les mutants sont un bouc-émissaire facile. Elle rêve donc d'un futur plus sur et c'est pourquoi elle s'est aussi engagée aux côtés de l'Institut.


Vous, derrière votre écran :

Votre âge (réel) : 21, bientôt 22 ans.
Votre addiction au net (en h/jour face ) : pffff, j'mesure pas.
Comment avez-vous connu Generation-X ? : Par Evo-x.
Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : Nostalgie.
Est-ce votre dernier mot ? :Tout à fait Jean-Pierre.

NB : Acceptez-vous que votre fiche de présentation soit mise dans les Incarnations si pour une raison ou une autre vous êtes appelé à nous quitter ?  Oui