Prénom, Nom : Félix Aristoë Grimm

Surnom : Je n'en ai pas.

Age, Date de naissance : 25 ans, 28 décembre 2026.

Race : Mutante

Avez-vous été vacciné ? Vos parents ? : Non, et non.

Origine : Le Chemin du bout du Monde, Saint-Guilhem le Désert, Hérault, France.

Clan : Aucun, pour le moment.

Pouvoir : J’ai La Voix dans ma tête, celle de ma sœur en réalité, du fait que nous soyons cérébralement siamoises . Que j’en entende un seul dire que deux blondes partage un cerveau… Bref, sinon, en considérant que ce ne soit pas un pouvoir mutant à proprement parler, j’ai une capacité d’anticipation supérieure à la moyenne. Anticipation, je corrigerai par réflexe, en fait. Tout fonctionne assez vite là-haut, et la plupart du temps instinctivement. Ceci n’est pas forcément… utile, vous comprendrez peut-être pourquoi… Cette mutation se traduit, en fait, par une circulation cérébrale et des connexions nerveuses plus rapides que ‘prévues’. Assez utile en cours, si vous voulez mon avis, mais aussi dans la vie de tous jours.

Aptitudes : Je suis bilingue allemand, ECHT ! , m’intéresse à tout ce qui est culture littéraire, philosophique, historique et accessoirement cinématographique. Je parle ausi anglais, bien, mais je n'aime pas ça. J’ai une petite tendance pile électrique, donc je fais pas mal de sport, et ai donc une bonne capacité physique.

Description physique : Je suis relativement grande (on m’a souvent demandé si j’étais la mère d’Angel, ça fait toujours plaisir), de l’ordre du mètre 70, avec un poids respectable, que j’entretiens avec du sport quotidien. Toutefois, rassurez vous, je ne fais pas partie du XV de France, ni de la fédération française de gymnastique… Soit, je ne suis pas une armoire à glace, mais pas une petite souris non plus, en somme. J’ai des cheveux blonds mi-longs, ondulés, qui m’attirent les blagues habituelles… A bannir si vous voulez rester en bons termes avec moi. La plupart du temps, je les garde lâchés, ou bien, parfois, les natte, mais cela reste occasionnel. Les quelques mèches sur les côtés de mon visage encadrent mes beaux yeux verts, pourvus de grands cils. Mon nez droit et fin voit naître des lèvres joliment dessinées. Une de mes caractéristiques indéniables, et que ma diabolique de sœur (j’exagère à peine, je vous assure) exploite à volonté, c’est que lorsque je sais que je fais preuve de mauvaise foi, je fronce le nez… Faites comme si vous n’étiez pas au courant, d’accord ? Aussi, je peux faire la moue, mais c’est surtout quand je ne suis pas d’accord, et que je me retiens de parler. En revanche, lorsque c’est moi qui fais tourner en bourrique les autres, j’ai toujours cet affreux sourire ironique sur les lèvres. Vous voyez, la commissure des lèvres légèrement remontée, et sur mes joues de fines pommettes creusées. J’ai failli m’en prendre plus d’une à cause de ce sourire ! Sinon, j’ai une démarche plutôt active, sans pour autant rivaliser avec le déménageur ou la mannequin anorexique du coin.

Histoire :
Je suis née dans le Languedoc le plus vrai qui soit, au milieu des moutons et des vignes, et même parfois des vaches (du coup, je sais les reconnaître, et croyez moi, il n’y en a pas qu’à la campagne…) ; enfin, née, c’est une façon de parler. Petit topo : mon père, un commerçant du village, menait une belle vie avec sa femme, de qui il eut trois enfants. A vrai dire, eux ne nous intéressent pas, ils n’ont rien de petits mutants amusants. Lili, de son surnom, est décédée durant leur 15ème année de vie commune aux suites d’une longue maladie. Détruit, défait, tout ce que vous voulez, mon père continua toutefois sa petite vie de saisonnier dans le trou…, hum, village de Saint-Guilhem. Etant tout de même connecté au monde extérieur (internet haut débit n’est pas si ancien que ça là-bas, c’est vous dire…), il eut connaissance des possibilités de la génétique moderne, notamment celle qui offrait aux couples qui ne pouvaient avoir d’enfants le plus beau cadeau empoisonné du monde : un gosse. Selon les cas, un ovule (inconnu ou pas) était fécondé par un spermatozoïde (inconnu ou pas) et ainsi les parents pouvaient s’en mordre les doigts 15 ans après, pendant les crises d’adolescence de leur monstre. Mon père fit donc cette démarche, sans que j’en connaisse la véritable raison. Deux ans après sa demande, il ‘m’obtint’. (Dans un paquet, avec une remise de 15% sur le prochain…)

Ce serait vous mentir que de dire que j’ai grandi normalement. Jusqu’au plus lointain de mes souvenirs, il y avait, au fond de moi, un vide, une indifférence qui me faisait mal. Je grandissais donc, avec mes frères et sœurs de plus de 10 ans mes aînés, et qui ne m’appréciaient guère… Les évènements de Boston et les mesures qui s’ensuivirent pour les mutants parvinrent jusqu’à nous, mais pas de manière très très… efficace. Aucune procédure pour déceler les mutants, en fait, ni quoi que ce soit d’autres… Que voulez-vous, avec une population dont chacun des membres étaient concurrents pour la pétanque des beaux jours et des lotos du dimanche, je voyais mal un mutant parmi eux… Bref.

C’est à l’école que je compris que j’étais une mutante. Assez fortuitement d’ailleurs. Je n’étais pas une grande bavarde étant gamine, et, j’avoue, n’étais pas toujours agréable. Bien sûr, je n’allais pas tellement vers les autres, car que ce soit les poggs, les billes, ou tous ces autres jeux, je m’en ennuyais. Pendant l’ère Ballon, 5ème du nom, les garçons s’amusaient à faire leur cacoux auprès des fifilles à leur maman du village. C’était l’époque où j’avais une amie, Sophie de son prénom. Elle, plus renfermée, ce n’était pas possible. C’était généralement le genre de bouc émissaire, quoi. Les garçons m’épatèrent. Ils tinrent trois jours avant de se lasser des misérables cages installées pour leurs jeux. Ils eurent la brillante idée de choisir une cible mouvante, en l’occurrence, Sophie. Celui qui tira ne le fit qu’une fois. Imaginez le tableau, petite Sophie à terre, pleurant, les autres se marrant, et le ballon, qui était revenu à nos pieds. Mine de rien, mains dans les poches, regardant vite fait autour que personne ne me voit, je ne me gênais pas. Le pigeon fut pigeonné. Garçon 0, Félix 1. Je crois bien, aujourd’hui encore, que c’est dès le plus jeune âge que se développe le ‘j’me-la-pétisme’. C’est bien, il ne pleura pas tout de suite. Il vint jusqu’à moi, en colère. A vrai dire, je ne m’attendais pas à ce qu’il veuille frapper. C’est quand je vis sa main passer à quelques centimètres de ma joue et que je réalisais que j’avais bougé instinctivement que je compris qu’il y avait un truc qui clochait. C’est quand il tenta une deuxième fois de frapper, vite remis de sa surprise, et que, à nouveau, j’évitais, mais aussi lui faisant un croc-jambe, que je compris. A le voir le derrière par terre, presque aussi surpris que moi, mes légers soupçons se confirmèrent. Garçon 0, Félix, 2. Vous imaginez bien que lui, pour sa fierté, n’en parla pas. Moi ? A mon père ? Tudieu ! Vous perdez la tête ?

Dès que je le pus, je partais de la maison, suivre des études à Montpellier, ville de la région. Les rares fois où je rentrais (oui, le linge, à quoi pensiez vous ?) c’était pour me jeter avec mon père, et ça à partir du moment où je posais le pied sur le pas de la porte, et jusqu’en sens inverse. Joyeux, hein ? Mais je menais ma petite vie. J’utilisais quelques fois mes capacités, car je m’étais aperçue que mentalement, je réfléchissais plus vite, et faisais rapidement des liens entre les choses. J’obtins ainsi un Bac bilingue avec mention, et patati patata, et me lançais à l’assaut du secondaire. J’avais appris beaucoup au sujet des mutants, et, je voulais participer à leur cause. Pourtant, je n’avais pas de véritable ambition, si ce n’est celle de vivre au plus vite indépendamment de mon père, et de pouvoir penser par moi-même.

Après une première année d’étude à l’étranger, alors que je revenais au bercail, j’y trouvais la plus drôle des nouvelles. J’avais une petite sœur. Ce jour-là restera à jamais graver dans ma mémoire. Je rentrais donc de mon année, et arrivais au village peu avant la haute saison. Je passais le portillon misérable de la maison, ouvrais la porte simplement, avec une grande inspiration. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je découvris, dans le salon, un truc petit, blond, et rose. Ah, j’oubliais, bruyant, en plus. Je restais un long moment à regarder le bébé (oui, ce n’est pas autre chose), jusqu’à ce que mon père entre, visiblement pas surpris de me voir. Sur quelques banalités (elles empêchaient les disputes ridicules), il me présenta Angel. Ma petite sœur. Ma jumelle génétique. Avec 17 ans d’écart. Et, en une fraction de seconde, le vide en moi se combla, de façon intense et brusque. A ce que j’avais compris, mon père voulait réparer les bêtises qu’il avait faites avec moi, et avait donc accepter ma sœur.

Mais, avec la sensation que j’avais eue auparavant, et sûrement avec l’antipathie certaine que j’avais acquis envers mon père, le lendemain même, je partais, toutes mes affaires sous un bras, et sous l’autre, Angel, qui gazouillait de plaisir… dans ma tête… Mais ça, c’est notre petit secret, d’accord ? On s’enfuyait donc vers mon Eldorado à moi, la capitale allemande, où j’achevais mes études, donc notamment de reporter d’images. A présent, Angel et moi, Max, mutantes accomplies, vivons dans le tranquille quartier du Tiergarten, menant notre activité de paparazzi ? Oui, disons ça ainsi. Pas paparazzi de stars, c’est d’un banal. Mais plutôt… Des gens de la Confrérie, de l’Institut, et quels clichés d’humanoïdes aussi, et croyez moi, ce ne sont pas tous des enfants de chœur.


Caractère :
Hm, mon caractère à présent… On m’a toujours dit que j’avais un caractère de cochon. N’en ayez pas peur pour autant ! C’est juste que j’ai des idées bien fondées, et que je les défends. Il en est ainsi depuis ma tendre enfance. Les relations avec mon père étaient pour le moins tendues. Non, non, je ne dirais pas que nos opinions divergeaient, non, du tout, elles s’opposaient parfaitement ! Il avait, vous voyez, une affreuse tendance à ne pas tenir compte de mes opinions, et à tout simplement vouloir m’imposer les siennes… Nous avons donc enchainé nombres de disputes, jusqu’à ce qu’il décide de faire la chose la plus intelligente qu’il a du faire dans sa vie, vous êtes au courant à présent : il a fait « naître » ma petite sœur, Angel. A finir de grandir et de m’épanouir avec une gamine sur les bras, il est vrai que j’ai acquis, disons, une sale manie à être très directive. Vous savez, être mère de famille à 18 ans, on apprend très vite à se débrouiller seule, et à gérer tout autour de soi. Sinon, je suis diablement ironique. Bien sûr, à force d’avoir la Voix dans sa tête, de passer pour une barjo à parler à voix haute en public, j’ai fini par développé cette bizarrerie très appréciable. Bon, pour achever de vous effrayer, je déteste perdre. Ouh non, je ne vais pas m’en prendre à celui que me battrait, en quelques domaines que ce soit. J’ai une capacité terriblement efficace à me monter la tête très vite, et là, autant vous dire, je suis capable du pire, comme du meilleur !
Après relecture de cette fiche, je m’aperçois que je dresse un portrait assez exécrable de moi-même. Malgré ce caractère borné, je reste une jeune femme avec de sincères idéaux égalitaires et libertaires, et au-delà de mes défauts, je suis quelqu’un de sensible, qui peut rarement s’empêcher de jouer la justicière accomplie ou Mère Theresa avec ceux qui me sont chers.

Ambitions : Je n’en ai parlé à personne, si ce n’est Angel… mais je rêverai de retrouver ma mère biologique…





Moi, derrière votre écran

Mon âge (réel) : 18 ans d’âge réel, âge mental, je m’abstiens.

Mon addiction au net (en h/jour face ) : Irk, ça dépend… 1H en semaine (internat oblige) et… Euh… Entre 5 et 10 heures le week-end (pour rattraper)

Comment ai-je connu Generation-X ? : En cherchant un peu…

Pour quelles raisons vous avoir rejoint ? : J’aime les mutants ( Maximum Ride, de James Patterson, vous connaissez ?)

Est-ce mon dernier mot ? : Ultimum verbum est ne ?

NB : Acceptez-vous que votre fiche de présentation soit mise dans les Incarnations si pour une raison ou une autre vous êtes appelé à nous quitter ? La réponse peut bien entendu être négative (le personnage appartient avant tout à son joueur) mais dans le cas d'une réponse positive et d'un départ définitif, votre personnage deviendra alors un 'adoptable' mis à disposition d'un joueur qui serait intéressé par le rôle. Non, je ne préfère pas.

Salut et bienvenue Felix ( bizarre comme nom pour une fille )

Une chose qui saute aux yeux, ça va pas être facile de jouer en 1ère personne. J'attend impatiement qu'est-ce que ça va donner face aux accros de la 3ème personne. En tout cas ça fait du bien de lire quelque chose de différent.

Une deuxième chose: ton pouvoir. C'est trop vague. Là on a l'impression que tu as deux pouvoirs, bien que l'on a bien comprit que cette voix dans la tête, c'est pas un pouvoir ( quoi que, ça s'approche de la thélépathie, mais on dirait en circuit fermé entre vous deux ). Quand à l'autre, tu ne vas pas y couper, on va te demander de le décrire plus précisement, et avec l'étagement en niveau comme c'est fait pour tout le monde.

Autre chose: quels est le rapport entre tes études, et ton boulot de paparzzi, qui est écrit dans ton profil?? Moi j'aimerai bien savoir.

Voili Voilou, y'a plus qu'à attendre que les admins passent
A plus sur le RP

Oukay, voyons.

J'aime bien prendre des noms de garçons pour les personnages filles, et j'ai déjà écris quelques rp sur un autre forum à la première personne, et c'est bien plus fluide pour moi. Si, en revanche, les admins, ou même les membres, préfèrent un récit à la troisième, pas de souci, je m'adapterai.

Pour ce qui est du pouvoir, d'accord, je vais faire plus clair, et mentionner les stades évolutifs, bien que je n'en ai que de vagues idées.

Pour finir avec les études et le job, en réalité, je cherchais un boulot pour pouvoir être indépendante avec ma soeur, Angel. Nous allons repenser à tout ça.

Merci pour ta contribution

Bien, le contexte et la situationde nos personnages ne plaisent pas.
Nous n'insisterons pas, bien que nous étions motivées.

Les mutations ont façonnés les hommes que nous sommes aujourd'hui, avec nos différences et nos ressemblances.
Les pauvres petits scientifiques ont sûrement suivis leur cours de bio avec intérêt quant au sujet des manipulations génétiques.
Recombinaison et manipulation font partie de notre quotidien, et leur innovation grandit avec l'évolutionde notre société.
La notion des embryons invitro n'est inconnu de personne, et le fait que des gamétes mâles ou femelles soient stockés pour ce genre de procédés est aujourd'hui un fait, bien qu'en France ceci soit illégal. Je n'apprendrai rien à personne en développant sur la géméllité. Notre idée est apparue loufoque aux yeux de certains, alors que ce concept est parfaitement expoitable.
Alors, pour un forum qui parle d'évolution, je trouve qu'il est dommage de faire la grimace à ce genre de concept.

Bien, je pense avoir tout dit, j'espère que le forum continuera bien, et ne manquera pas à la progression.

Dernières choses, pour notre admin, à qui tout cela était inconcevable :

http://www.infobebes.com/bebe/Actualites/Triplees-avec-11-ans-d-ecart

http://www.genethique.org/doss_theme/dossiers/amp/risque_ethique.asp#societehttp://www.genethique.org/doss_theme/dossiers/amp/risque_ethique.asp#societe

Je reprécise que je n'avais rien contre votre fécondation in vitro

Ce qui me parait impossible dans le cas de jumeaux monozygotes, c'est votre séparation physique et temporelle, vu que des vrais jumeaux proviennent du même oeuf qui se divise en général assez tôt après la fécondation, il me parait difficile que l'un se soit développé et que l'autre soit resté dans la cuve à congeler sans qu'on s'en rende compte (d'après votre background). La réimplantation ayant lieu très tôt dans l'utérus, en général au stade blastocyste pour favoriser les chances de nidation au niveau de l'endomètre (max 4-5 jours je crois), s'il y a eu une division du zygote (tant au stade morula que blastocyste) il y a des chances qu'elle ait déja eu lieu et donc je suppose qu'on peut voir l'état des embryons (sans compter que lors de FIV on implante ceux qui ont les meilleures chances de survie)

Après, j'étudie les sciences mais je ne suis pas spécialiste en FIV; je l'admets humblement et je ne prétends pas détenir la science infuse. Je me renseignerai car cela m'intrigue (les scientifiques sont curieux)

Et si notre forum se déroule dans le futur et parle d'évolution, c'est un choix que nous avons fait d'écrire son histoire en restant le plus cohérent possible

Bonne continuation à toi aussi, en espérant que vous trouviez votre bonheur ailleurs...

Fiche archivée !

EDIT : après quelques recherches, je suis tombée sur des informations concernant la FIV et lorsqu'on congèle des embryons, il est préférable de le faire très tôt afin de maximiser les chances conservation, juste après la fécondation au stade 2 pronucléi -comme sur l'image laissée par Angel- et à ce stade-là, la séparation du zygote en 2 embryons n'a pas encore eu lieu... donc pas de possibilités de vrais jumeaux