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[Fiche] Yasha Kishino-ori

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AuteurMessage
Nightmare

Type Gamma


Nightmare

Alias : Yasha Kishino-ori
Race : Mutante
Clan : Confrérie
Age du perso : 38 ans
Profession : Sans.
Affinités : Doris, la Confrérie.
Points XP : 25


-PERFORMANCES-
Pouvoir: Création de monstres
Type: Gamma
Niveau: 4

MessageSujet: [Fiche] Yasha Kishino-ori [Fiche] Yasha Kishino-ori EmptyDim 12 Juin 2011 - 18:01

Prénom et nom : Yasha Kishino-ori

Surnom : Nightmare

Âge (Date de naissance) : 38 ans (date de naissance réelle inconnue, évaluée aux environs de 2013 par les médecins, au vu de son développement cartilagineux)

Race : Mutante.

Avez-vous été vacciné ? : Oui, la santé de Yasha, déjà fragile, s'en est vue encore affaiblie. Elle suit un traitement adapté, se rend à des visites médicales régulières et prend des antidépresseurs quotidiennement.

Origine : Métisse japonaise-caucasienne, elle a passé la majeure partie de sa vie dans l'Illinois.

Clan : Confrérie

Pouvoir : A l'origine, dans une situation de stress, son pouvoir se manifestait, incarnant sous forme de créatures monstrueuses ses phobies et ses craintes. Dans son adolescence, ses capacités étaient extrêmement instables, sa psyché torturée la faisant osciller en permanence entre la faiblesse la plus totale et une puissance offensive terrible. Il semblerait à l'heure actuelle que le vaccin, l'isolation et la thérapie aient fini par lui permettre de se stabiliser aux environs du niveau 4.

Quand Yasha "invoque" un monstre, elle opère une sorte de "mitose", la créature se frayant un chemin à travers sa peau jusqu'à l'extérieur (spectacle en général peu ragoûtant). Si apparemment elle ne souffre ni ne saigne, le monstre, lui, contient une dose de son hémoglobine (plus ou moins importante en fonction de sa taille). Donc, plus elle invoque de monstres en même temps, plus elle est anémiée. Une fois sa mission accomplie, le monstre rejoint sa créatrice et fusionne à nouveau avec elle. Si le monstre ne peut la rejoindre (capturé, détruit…) avant le "temps limite", il se désagrège, ne laissant qu'une flaque sanguinolente derrière lui. Yasha reste pour sa part anémiée et incapable d'invoquer jusqu'à ce que ce qu'elle ait mangé quelque chose, ou reçu une transfusion.

Les manifestations de son pouvoir font partie d'elle, elle les contrôle comme on contrôle un de ses membres. Si elle imite généralement des formes d'animaux (même si difformes), ces créatures n'en sont pas. Si on les disséquait, on pourrait constater qu'ils n'ont aucun organe interne. Ainsi, une "abeille" sera armée d'un dard, mais pas de poche à venin.

Si elle est assommée ou tuée, les créatures disparaissent instantanément, elles n'ont pas d'existence autonome. Yasha voit ce qu'ils voient, entend ce qu'ils entendent, ressent ce qu'ils ressentent. Les années et l'entraînement aidant, elle ne se laisse plus aussi facilement déconcentrer, mais des souffrances violentes infligées à l'un de ses monstres l'affecteront sans aucun doute.

Spoiler:


Aptitudes : Yasha compense son manque d'éducation par l'observation et l'imitation : elle a donc une excellente mémoire visuelle et auditive. Elle parle un anglais assez pauvre, mais l'étoffe petit à petit en copiant les tics de langage des autres, leurs expressions (qu'elle comprend parfois de travers, par ailleurs).
Si elle a la force et l'endurance d'une crevette anorexique, Nightmare a bénéficié de l'entraînement de la Confrérie, et se montre raisonnablement dangereuse quand elle a une arme légère à la main, qu'il s'agisse d'une arme blanche ou d'une arme à feu.

Description physique : Ceux qui la connaissaient avant, quand elle était jeune, ne peuvent en dire qu'une chose : elle a changé. Terriblement changé. Ce n'est pas tant son physique que son attitude, son regard. Il y a quelque chose de différent en elle. Quelque chose qui s'est brisé, ou construit.

Elle n'a pas grandi, ne s'est pas épaissie. Une sorte de silhouette androgyne, un petit mètre cinquante-huit efflanqué, fragile. Un coup de vent pourrait la briser. Métisse, ses traits mêlent toujours indistinctement son double héritage, l'asiatique et le caucasien. Elle ne sourit toujours pas, pâle, incolore, son regard d'une fixité dérangeante. Yasha a vieilli, mais peu de rides le montrent : elle est trop inexpressive pour qu'une émotion ait le temps de graver une trace sur son visage. Tout au plus quelques pattes d'oies au coins des paupières, des lèvres. Les cicatrices qui parcourraient son corps n'ont pas disparues. La médecine aurait pu les enlever, elle n'a pas voulu.

Elle ne porte plus de blanc, que du noir, perpétuellement endeuillée. Ses long cheveux incolores ne flottent plus autour de son visage. Elle les a coupé, court. Elle n'est plus hésitante quand elle bouge, elle qui ressemblait à ces biches que le moindre bruit effarouche. Elle avance la tête haute, les poings et la mâchoire serrés. En soldat. Elle ne regarde plus, elle sonde, elle dissèque. Elle ne parle plus, elle énonce lentement, de sa voix rauque, des vérités absolues.

Il y a quelque chose de changé, en elle. Là où elle était glace, dur, froide, lisse, pure, elle est devenue cendres. Pâle, certes, mais terne, volatile, détruite. Détruite… ou destructrice ? Sous la cendre couve souvent des braises qui n'attendent que l'occasion de s'enflammer.

Signes particuliers : Albinos, métisse, corps couvert de cicatrices (coupures, impacts de balles, brûlures, etc…). A été dans sa jeunesse une activiste violente connue, mais les années d'emprisonnement ont peu à peu effacé son souvenir de la mémoire collective.

Histoire :

Silence...
Une goutte d'eau tombe de ses yeux, coule le long de sa joue.
Cela n'a pas de nom, cette brisure dans son coeur. Cette douleur. L'enfant ne sait pas ce qu'est une larme. Elle n'a que très peu de mots pour nommer les choses. Elle n'a pas de nom. Elle n'a pas de passé, pas de futur, les choses sont là, les murs qui suintent, l'ampoule qui clignote, les chaines à ses poignets, un éternel présent. Un éternel enfer.

Silence...
Parfois, quand elle erre entre le rêve et l'éveil, des images confuses envahissent son esprit. Maison de papier. Des femmes portant d'épais maquillages... des vêtements de tissus aux couleurs criardes... parfums capiteux qui lui irritent la gorge. Des rires, des cris, des hommes de passage… Une femme qui tousse beaucoup, ses bras entourent de temps à autres dans une brêve étreinte l'enfant… son odeur de fièvre... Un homme entre, un homme parmi tant d'autres... mais lui laisse de l'argent, ne prend pas une femme maquillée avec lui... Il l'attrape elle, l'arrache des bras de la femme malade et...

Silence...
Un papillon de nuit tournoie autour de l’ampoule électrique. Jeu d'ombre et de lumière qu'elle suit du regard, avidement. Elle le suit du regard... jusqu'à ce qu'il tombe au sol, raide mort. Les ailes brûlés. Un rat passe à côté de son pied. Yasha gémit doucement. Elle a faim. Elle a soif. Elle sait qu'Il va venir la nourrir, la laver. Elle préfèrerait qu'Il ne vienne pas. Qu'Il la laisse mourir. Mais Il viendra. Il vient toujours.

Bruit.
La porte s’ouvre. Une silhouette se découpe sur le pas de la porte. Lui. Il descend les quelques marches de l’escalier. Ses cheveux sont comme les siens, sans couleur, et ses yeux lisent jusqu’aux tréfonds de son âme. Son sourire dévore, un gouffre de néant, de folie et de mort.
Elle crie. Elle crie jusqu'à se briser la voix, encore et encore. Il dit qu'il fait ça pour son bien, pour extirper le Mal en elle. Elle, elle a peur. Seulement peur. Toujours le même rituel. Il la frappe, jusqu’à ce qu’elle puisse à peine remuer. Trop faible, trop faible... Il crie, si fort qu'il couvre ses hurlements à elle. Il la viole. Le goût du cuivre remplit la bouche de l'enfant. Dans un coin de son esprit, une chose bouge un petit peu. Une chose chaude, comme une braise. Elle s'y raccroche de toutes ses forces, la sent grandir, sous sa peau...

L'homme s’arrête de hurler, de cogner. Il plonge son éponge dans la bassine d'eau tiède, en murmurant des mots d'excuses. Des mots tendres, des mots d'amour. Il la lave, efface le sang, les larmes, le sperme. Et il s'en va, lui laissant de quoi boire et manger.

Silence...
Elle a grandit. Elle le sait parce que ses poignets sont de plus en plus serrés par les chaines. Elle a de la poitrine aussi. Son corps se transforme, suivant le cycle inexorable du temps. Mais rien d'autre ne change. Il continue de venir la nourrir. Il continue de la détruire. Elle continue de survivre sans trop savoir comment.
La braise s'est étendue tellement loin en elle... Elle a l'impression de brûler de l'intérieur, consumée par une chose toute simple, d'un sentiment ancien et puissant : la haine.

Bruit.
La porte s'ouvre. Il descend les marches, un objet à la main. Elle le sent sans le savoir : c'est une arme. Il faut en finir. Ils vont mourir ensemble. Il ne peut plus le supporter, la supporter, cette obsession, cette folie. Elle ne sera qu'à lui. A jamais. Il pose l'arme par terre, l'étreint un bref instant. Elle esquive son regard. Ses mots n'ont pas de sens, son ton parle de lui-même.
Il lève la main, l'objet tranchant à la main.
Sa peau si pâle se déforme, se tend vers Lui.
Des cris.
Il hurle.
Des choses courent sur Son corps...
Des choses qui Le terrifient.
Des choses qui brûlaient dans son ventre…
Il ne comprend pas, Il fait de grands mouvements avec son arme, essaye de tuer les choses sans même les effleurer, trop rapides.. Il remonte l'escalier en courant, Il fuit, Il crie...

Silence...
Une nouvelle fois, elle Le voit dans l'encadrement de la porte. Mais cette fois, Il est couché sur le ventre, une mare de sang s'élargissant autour de Lui. Il ne se relèvera plus. Des gouttes d'eau salée coulent le long de ses joues mais un sourire immense étire les lèvres de l'enfant.

Sa haine ne mourra jamais.

Silence...
Les couloirs de l'hôpital autour d'elle. Les infirmiers passent et repassent. Ils ne la regardent pas. Elle n'a jamais rien fait de violent mais... elle leur fait peur. Bien sûr, ils connaissent son passé. Ils savent comment on l'a retrouvée dans la maison de cet homme qui baignait dans son sang, la main crispée sur le manche du couteau qu'il s'était lui-même enfoncé dans la gorge. Ils savent ce qu'il lui a fait. Ils savent qu'elle ne savait même pas parler quand on l'a menée ici, alors qu'elle avait bien l'air d'avoir plus de dix ans. Ils savent. Mais elle les terrifie. Dans sa façon de rester bien sage, très sage, trop sage. Dans ce silence qui l'entoure. Ce silence qui semble prêt à être brisé par un hurlement terrible, bestial, au moindre moment. Ils ont peur.

Silence...
Elle est seule dans sa chambre. Enfin, ça n'est pas réellement sa chambre. C'est l'endroit que sa famille d'accueil lui prête pour dormir. Elle n'est chez eux que depuis un mois mais elle sent qu'elle va bientôt changer de maison. Une fois de plus. Elle n'arrive pas à être comme les autres. Elle leur fait peur. Elle a cette façon de vous regarder, quand vous lui souriez, comme si vous étiez transparent, ou une sorte de bête répugnante. Elle a cette façon de ne pas vraiment être là, l'esprit ailleurs, les mains malhabiles qui tripotent le bas de sa robe. De sursauter au moindre bruit, prête à mordre.
Elle a peur d'eux, elle aussi. Tout va trop vite, tout est trop brillant, trop intense, une agression perpétuelle de ses sens. Elle a appris à regarder pour comprendre. À comprendre pour utiliser. À parler pour pouvoir leur mentir. À marcher pour pouvoir fuir. Elle sait que la chose est toujours en elle, qu'elle peut l'appeler quand elle est en danger. Mais elle sait aussi que cela fait d'elle une paria. Une mutante ? Le mot lui plaît. L'évolution. Cela veut dire qu'il y a un futur. Un futur où elle a sa place, peut-être ?

Bruit...
Elle pousse la porte de la Confrérie. Marcus l'y accueille. Et il lui donne tout, sans rien prendre en retour. Il lui donne un foyer, un vrai, sa propre chambre. Il lui donne une famille. Des gens à défendre, des gens qui la défendent. Il lui donne un but, une éducation, il l'arme et l'entraîne. Il lui apprend à apprivoiser ses peurs, à en faire sa force, il la sèvre de tous les médicaments, les antidépresseurs et les calmants dont elle dépendait.
Il lui donne Yoss. Un garçon a aimer, qui ne lui fait pas de mal, la respecte et l'admire. Qu'elle respecte et qu'elle admire. Les épreuves les soudent. Tant de fois passées à combattre ensemble. Tant de frères tombés au champ d'honneur. Quelques uns qu'elle a pu sauver. D'autres qu'elle a dû achever. Un premier amour si fort qu'il frôle l'obsession. Platonique, pur, tranchant, comme un diamant. Parfois, pour l'insulter, on lui dit qu'elle n'est rien de plus qu'un chien de garde pour Marcus. L'image la fait sourire, lui réchauffe le coeur. Marcus, son maître, son père, son Dieu. Celui qui lui a donné son nouveau nom, son vrai nom. Nightmare.

Bruit...
La Confrérie s'effondre, Chaos. Marcus, Yossuah, introuvables. Elle erre, paniquée, désorientée, dans une frénésie de chienne sans laisse. On la capture. La vaccine. Elle devient ce que Marcus haïssait le plus, humaine. Son univers s'écroule à nouveau, elle avec. Elle s'effrite. Abandonne toute résistance. Pupille de l'Etat, mineure, elle est à nouveau placée dans l'hôpital qui l'a vu grandir, sous haute surveillance cette fois. Elle attend. Marcus et Yoss viendront, elle le sait. Ils le lui avaient promis.

Silence…
Seule, elle attend. Mutique, elle assiste aux thérapies de groupe. On veut la réformer. Son éducation est reprise, par les bases cette fois. Elle apprend à écrire, à calculer, les grands faits de l'Histoire. On essaye de lui bourrer le crâne, d'en faire quelqu'un de bien comme il faut. "Connais ton ennemi", lui avait dit Marcus. Alors elle étudie. Elle mémorise. Les thérapeutes prennent ce revirement pour un progrès. Elle, elle attend. Patiente. Il viendra.

Silence…
Elle a eu des nouvelles de l'extérieur. Marcus, Yoss, ils ont disparus. L'aide soignant le lui a dit, fièrement. Ils ont déserté le combat, abandonné les mutants. Ils l'ont laissé seule. Elle n'était rien d'autre qu'un pion, après tout… Un aide-soignant borgne et défiguré, une piqure de somnifère et une camisole plus tard, elle est à nouveau seule, dans sa chambre capitonnée. Si blanche, si pure. Elle pleure, pour la première fois depuis des années. De bonheur. Parce qu'elle sait que Marcus et Yoss sont morts en héros. Au plus profond de sa chair, dans chaque fibre de son être, elle le sent. Ils ne l'ont pas abandonnée, ni elle ni aucun mutant. Ils se sont battus, jusqu'au bout. La peau de Yasha se met doucement à vibre…

Bruit…
Une nouvelle porte qui s'ouvre. Une nouvelle silhouette, en contrejour. Un visage connu, dans la tourmente. Elle voudrait pleurer, lui crier de la ramener chez elle… Mais la Confrérie est détruite, n'est-ce pas ? Elle se renferme sur elle même. Ferme les yeux. Elle voudrait pleurer mais elle est trop fatigué pour ça. Ses pouvoirs reviennent petit à petit, mais les barreaux de sa cage sont épais, ses gardiens expérimentés. Jamais elle ne s'échapperait. Elle n'en a plus la volonté, brisée malgré la lutte perpétuelle qu'elle a voué au désespoir. Elle a échoué. Elle a trahi Marcus, ses idéaux. C'est fini, tout était fini…
"Yasha, viens, on rentre…"
Elle voudrait pleurer, mais seul un sourire sauvage fleurit sur ses lèvres. Rien n'était fini. Tout commençait...

Caractère : Malgré sa froideur, Yasha est de nature douce. Hypersensible et fragile, elle évite généralement les conflits, préférant s'effacer ou faire des compromis. Elle semble toujours maintenir une distance de sécurité entre elle et le reste du monde, même si les contacts physiques ne lui provoquent plus la même aversion qu'autrefois. C'est devenu une habitude, en quelque sorte. Une posture un peu raide dont elle n'arrive pas à se débarrasser.

Sa loyauté frisant le fanatisme, elle fera toujours passer le bien-être de ses frères d'arme et leurs intérêts avant les siens. Elle ne parle que peu, et ça n'est certainement pas sur son épaule que la plupart viendraient pleurer, mais elle ne s'épargnera aucun effort pour aidér quelqu'un dans la détresse. Du moins, si elle considère ce quelqu'un comme faisant partie de sa "meute" ! Car, si elle a énormément d'amour à donner, elle le réserve exclusivement aux membres de la Confrérie. Et elle a tout autant de haine pour le monde extérieur.

Sa Vaccination est un sujet sensible, quiconque l'aborde se trouve face à un mur de mutisme. C'est une blessure profonde qui n'a pas eu le temps de cicatriser. Toute personne ayant Vacciné des mutants mérite à ses yeux de mourir, et pas de façon "propre". Yasha se fera d'ailleurs une joie de mettre ses menaces à exécution si on lui en laisse l'occasion. Le même traitement sera réservé à tout ceux qui oseraient menacer la Confrérie. Particulièrement si c'est aux plus jeunes qu'ils s'en prennent, aux "petits", comme elle dit.

Marcus est lui aussi un sujet tabou, du moins si ce n'est pour en dire du bien. Vous la pensiez effacée, diplomate, douce ? Essayez d'insulter le souvenir de Marcus, juste pour voir. Essayez. Et là, vous comprendrez peut-être que ses cachets ont beau la rendre un peu "stone" sur les bords, ils ne la rendent pas saine pour autant.

Ambitions : La seule ambition personnelle dont Yasha pourrait se targuer serait de retrouver les corps de Yoss et de Marcus pour leur donner une sépulture décente. Autrement, son seul but dans la vie est de servir la Confrérie, de son mieux.

Vous, derrière votre écran :

Votre âge (réel) : 22
Votre addiction au net (en h/jour face ) : Variable en fonction de mes emplois !
Comment avez-vous connu Generation-X ? : Je suis une vieille d'évolution-x, toujours:)
Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : Le perso me manquait, cette fois-ci. Je joue également Ghost Uitshan.
Est-ce votre dernier mot ? : Obiwan Kenobi

NB : Acceptez-vous que votre fiche de présentation soit mise dans les Incarnations si pour une raison ou une autre vous êtes appelé à nous quitter ? Do not want !



Dernière édition par Nightmare le Lun 20 Juin 2011 - 10:11, édité 10 fois
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