Forum de Jeux de Rôle Futuriste - Inspiré des Mutants de Marvel (X-Men)
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Surnom : En mission, on l’appelle Psyché. Sinon, avec le temps, ses quelques amis ont commencé à l’appeler Sam’. Depuis un triste épisode, elle a rayé le surnom par lequel elle aimait bien être appelée étant jeune. Sachant les dégâts que cette dernière pouvait faire…
Âge (Date de naissance) : 31 décembre 2013, elle est donc aujourd’hui âgée de 37 ans
Race : mutante
Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? : Non/Non
Origine : Londres, Angleterre, autrement dit, elle est de retour à la maison !
Clan : Institut
Pouvoir :Psychokinésie et télépathie. Niveau 6. Elle est capable d’atteindre le niveau 7, mais très sincèrement pour vous, il vaut mieux que vous ne soyez pas là quand ça arrive… La dernière fois, c'était il y a 20 ans, et encore, elle n'était pas tout à fait elle-même...
Samarah déplace et déforme les objets, les fait exploser. Elle peut exercer un contrôle sur presque tout ce qui l’entoure, même les humains. Elle les manipule par sa force mentale. Elle a vraiment découvert son pouvoir à l’âge de 13 ans lors d’un terrible accident.
Niveau 0 : Elle ne contrôlait rien du tout. Les manifestations de son pouvoir demeurant la plupart du temps dépendantes de son humeur, et surtout lors de ses crises. Tant de colère que d’angoisse.
Niveau 1 : Lors de la première évolution de son pouvoir, son contrôle s’est affiné et elle a pu se passer du contact visuel dont elle avait absolument besoin avant pour contrôler un objet. Au départ, ce fut assez limité, car elle pouvait contrôler un objet sans l’avoir vu, si elle savait qu’il était là et surtout s’il n’avait pas changé de place.
Niveau 2 : Même sans l’avoir vu, si elle sait simplement que l’objet est présent, elle peut le contrôler. Par contre, elle ne peut pas contrôler un objet qu’elle n’a jamais vu dans une pièce où elle n’est jamais allée. Au mieux, dans ce cas, elle fera tout exploser. Pas très pratique.
Niveau 3 : Le niveau de précision de son pouvoir augmente. Cette précision allant jusqu’à pouvoir réduire une brique en poussière de brique. Mais cette précision destructrice est fonction de la taille de l’objet. Samarah est incapable de réduire en poussière un immeuble, pas encore du moins.
Apparition de son second pouvoir, avec lequel, elle a connu quelques difficultés. La télépathie est en effet plus dure à maîtriser. Elle a mit du temps à installer un filtre permanent qui l’empêche d’être assaillie par les pensées des gens qui l’entourent. Les pensées des gens proches l’assaillaient en permanence, de sorte que la mutante avait l’impression de ne plus être seule dans sa tête. Plutôt dérangeant. Et lorsqu’elle émettait des flèches mentales, celles-ci n’arrivaient pas toujours à bonne destination.
Niveau 4 : Contrôle de sa psychokinésie de plus en plus large. Possibilité de créer un filtre permanent contre des pensées autres que les siennes. Capacité à protéger ses pensées via un bouclier psychique contre tout type d’intrusion. Mais ce filtre n’est pas infaillible, en cas de migraine ou de fatigue excessive, sa solidité faiblit et il n’est pas rare qu’elle capte à nouveau des pensées sans le vouloir. En ce qui concerne l’émission, elle peut désormais cibler ses flèches mentales ou au contraire en envoyer en masse aux gens autour d’elle dans un rayon bien précis (en général pas plus de 2-3 km).
Niveau 5 : Capacité de masquer sa propre empreinte mentale et de localiser dans un rayon de 2km² une empreinte mentale. Maîtrise de sa psychokinésie presque atteinte. L’entourage matériel de la mutante demeure en quasi permanence sous son contrôle, prêt à réagir à la moindre de ses injonctions mentales.
Niveau 6 : Capacité de fouiller dans l’esprit des gens sans se faire repérer et contrôler l’esprit d’une personne afin de la faire agir selon sa propre volonté, mais ce contrôle n’est pas illimité non plus (pour un bon contrôle, comptez environ 10 minutes) et elle ne peut pas le faire sur énormément de personne à la fois (en général, maximum 3 personnes pour un effet optimal. Si elle essaie plus longtemps sur plusieurs personnes, elle se fatiguera plus vite et surtout les effets risquent d’être beaucoup moins puissants et elle ne saura pas cacher sa présence mentale dans les esprits des gens contrôlés très longtemps.
Niveau 7 : Particulier.
Samarah a donc un contrôle assez vaste sur son entourage, mais ce contrôle ne la touche pas. Elle est incapable de faire léviter son corps par exemple
Publiquement : Propriétaire du Nouvel Institut. Surnommée la Cerbère par ses détracteurs. Ses pouvoirs sont connus. Leur étendue exacte en revanche n'est que supposée, au vu de ses antécédents
Aptitudes : Elle sait ce qu’elle veut et est prête à tout pour arriver à ses fins, même au pire. Elle est donc assez douée pour la manipulation et la persuasion. Elle a la chance d’avoir la capacité de retenir assez facilement quelque chose une fois qu’elle l’a entendu. Elle possède un très grand sens pratique ainsi qu’une logique à toute épreuve. D’ailleurs c’est bien simple, aucun problème ne reste très longtemps sans résolution avec elle. Elle est très perspicace. Enfin, la demoiselle est vive d’esprit et instinctive. Quelque soit la situation dans laquelle elle se trouvera, elle se fiera d’abord et toujours à son instinct. Chaque fois qu’elle l’a fait, il ne l’a jusqu’à présent encore jamais trahie.
Description physique : Samarah mesure 1m70. Elle a encore grandi de quelques centimètres depuis son adolescence mais pas beaucoup. Elle ne s’est jamais trouvée ou trop grande ou trop petite. Sa taille lui convient parfaitement, à partir du moment où celle-ci ne constitue pas une entrave à ses projets (des plus intelligents ou plus sournois, voire totalement diaboliques). De plus, elle a toujours été fine et ça n’a pas changé avec le temps. Cela, ajouté à sa taille, ne fait pas d’elle une personne spécialement forte et imposante. Mais qu’importe, pour s’imposer Miss Lemington possède un bien meilleur moyen : son caractère ainsi que sa personnalité, aussi bizarroïde et mauvaise soit-elle. Et du caractère, on peut dire qu’elle en a un sacré la demoiselle ! Sans oublier bien sûr son pouvoir.
Ses cheveux sont châtains foncés, assez fins ainsi que très soyeux au toucher. On peut y voir des reflets un peu plus clairs quand ceux-ci ondulent à la lumière du jour. A l’origine, ils étaient longs et ondulés et lui arrivaient un peu plus bas que les épaules. Aujourd’hui, elle les a quelque peu raccourcis. Ses yeux sont de couleur verte très foncée. Parfois, on dirait presque qu’ils sont marrons. Cela doit dépendre du moment de la journée et surtout de l’humeur de la jeune femme. Lorsque celle-ci est d’humeur renfrognée ou bien vraiment de mauvaise composition, ce qui arrive lorsqu’elle rentre dans une colère noire, ses yeux en deviennent presque entièrement noirs. Comme quoi l’expression avoir des yeux noirs de colère n’est pas usurpée…Quant à son regard, la première chose que l’on peut dire, il faut bien l’avouer, c’est qu’au delà de la noirceur et de la froideur qu’il peut parfois dégager, il est assez joli et surtout très profond et énigmatique. Il est impossible de savoir ce que pense la jeune femme sans le lui demander, à une exception près : lorsqu’elle méprise ouvertement quelqu’un, cela se voit tout de suite à son regard. Il lui est impossible de cacher l’aversion ou tout autres sentiments, aussi rares soient-ils, qu’elle pourrait éprouver pour une personne qui se trouverait en face d’elle. Cette attitude rend le regard de la mutante violent, parfois même intimidant. Son visage est plutôt ovale. Sa peau est plutôt délicate et de couleur pâle, très pâle mais elle est plus douce encore qu’une peau de pêche et ses lèvres sont fines. Son nez droit est également fin et petit. Il s’agissait là, cependant d’une pensée tout à fait personnelle. Enfin, alors que la plupart du temps Miss Lemington reste impassible à ce qui l’entoure et ne sourit jamais, lorsque celle-ci est satisfaite, un léger sourire (ou un rictus, allez savoir) à peine perceptible et malsain se dessine sur son visage.
Signes particuliers : Samarah possède un grain de beauté, l’unique de son corps, à la base de son cou du côté gauche. Elle a également toujours souffert d’agoraphobie. Elle préfère les espaces confinés à ceux trop ouverts et surtout remplis de monde. Aujourd’hui, elle tente d’y faire face, mais ce n’est pas toujours facile. Il lui arrive encore d’avoir certaines crises. Quand cela arrive, des gouttes de sueurs font leur apparition, le sol se dérobe sous ses pieds et elle cherche un endroit isolé pour se calmer. Un autre problème mais qui surgit plus rarement que le précédent, est l’insomnie. Quand elle était jeune à l’orphelinat, il lui arrivait d’avoir des périodes de crise pendant lesquelles, elle n’arrivait jamais à s’endormir. Dans ces moments-là, trouver le sommeil lui était chose impossible. Ces périodes s’étalaient de quelques jours à plusieurs semaines. Aujourd’hui, elle sait que ces crises sont en rapport avec son passé… La demoiselle est dotée d’un esprit assez vagabond. Elle est souvent plongée dans ses pensées les plus intimes. En général, cela arrive quand les personnes se trouvant en face d’elle ne lui sont d’aucun intérêt et qu’elle les juge plus qu’ennuyeux. Et lorsqu’elle s’ennuie, Samarah ne peut s’empêcher de laisser son regard voyager dans le vide. Un autre tic qu’elle possède, c’est de se promener la plupart du temps les mains dans les poches ou bien de garder les bras croisés et de dévisager les gens durant une discussion. Enfin, quand elle est énervée ou bien angoissée, ses doigts se crispent nerveusement
Caractère : A première vue, Miss Lemington peu paraître méprisante et méfiante envers les gens qu’elle ne connaît pas. Se parfaire d’une indifférence la plus totale à tout ce qui l’entoure est une de ses spécialités. Mais il ne faut pas toujours se fier aux premières impressions, même si beaucoup ont encore tendance à agir ainsi. Si Samarah a tendance à être hautaine, c’est parce que la vie ne lui pas vraiment fait de cadeau et sembler ainsi distante des autres, reste pour elle une sorte de protection. La jeune femme est aussi de nature assez solitaire et mélancolique. Derrière cette face un peu triste de son caractère se cache aussi quelqu’un que l’ambition a rendu aussi têtue qu’une mule et hypocrite. Prête à tout pour satisfaire le moindre de ses désirs. Cette demoiselle a aussi tendance à être toujours sûre d’elle. Et essayer de lui faire admettre qu’elle a tord, est une tentative vouée d’avance à un cuisant échec. Une dernière chose à savoir aussi : il serait dangereux de l’énerver. Samarah a toujours été en effet un soupçon colérique. Quand elle est en colère, elle n’a aucune limite dans ses actes et a la fâcheuse tendance de perdre totalement le contrôle d’elle-même. Ceux qui la connaissent en savent quelque chose…
Vous l’aurez maintenant deviné, cette jeune femme possède un caractère fort et bien trempé. Elle n’a pas froid aux yeux. Elle est déterminée et très volontaire. Intelligente, la jeune femme est aussi très ambitieuse, et surtout rusée. L'orphelinat lui a apprit la persévérance et l'art de la débrouille. Samarah est également franche et très directe. Quand elle doit dire à quelqu’un ses quatre vérités, elle ne se gênera pas pour dire en face de la personne concernée ce qu’elle pense. Et même si le franc parler est une qualité, cela lui a déjà apporté quelques problèmes dans sa jeunesse. Derrière ce mur de froideur, les quelques personnes qu’elle considère à présent comme ses amis ont pu remarqué qu’elle est aussi quelqu’un de généreux et attentionnée, quand elle le veut bien. Samarah a toujours bien aimé lire et il n’est pas rare de la croiser dans la Bibliothèque quand elle ne s’entraîne pas ou ne rôde pas au détour d’un couloir dans l’Institut
Une chose dont Samarah a peur et face à laquelle, elle n’a jamais pu rien faire malgré tous ses efforts, c’est le feu. Ce qui est normal lorsqu’il emporte avec lui votre famille dans un tombeau de flammes. Sans oublier son dégoût profond pour les gens faibles et naïfs, ainsi que l’orphelinat de son enfance.
Ambitions : Après la destruction de l’Institut à Boston, Samarah s’est jurée que cela ne se reproduirait plus jamais. Elle a fait tout ce qu’elle a pu pour reconstruire un nouvel endroit pour accueillir les mutants, aidée par quelques anciens animés de la même volonté qu’elle. Elle a utilisé son ancienne maison dont elle avait hérité sans même le savoir, ainsi que de généreux dons notamment de la famille Mayfield. Aujourd’hui, elle veille sur l’Institut tel le Cerbère, gardien des Enfers. D’ailleurs, certains de ses ennemis publics et politiques sachant ce dont elle est capable l’ont, à juste titre, surnommée le Cerbère de l’Institut. Aujourd’hui, Samarah donnerait sa vie pour défendre le lieu qu’il a un jour accueillie sans rien lui demander en retour. D’autant qu’il accueille aujourd’hui, son filleul âgé de 18 ans, Léo, le fils de Panic Séphora, son ancien coéquipier de la X-Force. Elle se souvient encore du jour quand il est venu lui demander si elle voulait être marraine. C'était en 2033...
Dernière édition par Miss Lemington le Sam 13 Aoû 2011 - 15:44, édité 11 fois
Orpheline à l'âge de 2 ans, l’enfance tumultueuse de Samarah l’a fait voyager un peu partout en Angleterre. Mais les endroits où elle a vécu le plus longtemps sont d’abord Londres, lorsqu’elle était enfant, dans la résidence familiale et à l’orphelinat. Un nom à jamais haï par les oreilles de Samarah. Sans compter les innombrables familles d’accueil dans lesquelles elle a transité, jamais très longtemps (son séjour allait de quelques heures à quelques semaines, pas plus) C’est ainsi que Samarah a appris à se débrouiller toute seule dans ce monde impitoyable où il n’y a de la place que pour le plus fort. Du moins, c’est avec cette mentalité qu’elle est ressortie de l’orphelinat. Les parents de Samarah se nommaient Ruben Lemington et Hélèna McLahan. Ils étaient tout deux issus de familles aisées et se sont rencontrés lors d’une soirée mondaine entre leur famille. Son père occupait un haut poste dans l’administration de l’Etat et sa mère ne travaillait pas. Elle restait à la maison pour s’occuper de sa fille. L’éducation transmise à Samarah par ses parents fut une éducation fondamentale et stricte, mais pas sévère. Ils avaient instauré des règles de vie normales : le dîner à telle heure, le coucher à telle heure, demander la permission de sortir de table, etc. A l’orphelinat, par contre, l’éducation était très stricte et quiconque ne la respectait pas se retrouvait punis pendant plusieurs jours. Une fois, Samarah fut surprise en pleine nuit, en train de rôder dans les couloirs. C’était une nuit où elle n’arrivait pas à dormir. Comme punition, elle fut privée de sortie pendant une semaine. Et même si la règle première de l’institution demeurait le respect d’autrui, derrière celle-ci s’en cachait une autre, beaucoup moins glorieuse, la loi de la jungle. C’était chacun pour soi. Si tu avais des ennuis, c’était ton problème, pas celui des autres Les plus belles années de la vie de Samarah sont celles qu’elle a passées en compagnie de ses parents. Malheureusement, ces jours heureux furent trop courts. Il est, hélas, bien connu que toute bonne chose a une fin, même si celle-ci surgit brusquement pour donner naissance à un drame. Une nuit d’août 2015, une violente explosion retentit dans la campagne et emporta avec elle la plus belle demeure des environs, ainsi que ses occupants. A l’exception d’un enfant, une petite fille qui n’était autre que Samarah, retrouvée dans les débris qui jonchaient le sol près d’une fontaine. Le souffle de l’explosion l’avait sans doute projetée là, tandis que les flammes s’attardaient à consumer les derniers décombres. C’était un des habitants voisins, un des premiers arrivé sur les lieux du drame, qui l’avait retrouvée, toute recouverte de fumée noire mais indemne. Au lendemain de la tragédie, la police locale avait conclu à une explosion due à une fuite de gaz dans la conduite qui passait en dessous de la résidence. Samarah a donc vécu les deux premières années de sa vie, entourée de sa famille qui l’aimait profondément. Ces années d’insouciance furent comblées d’un bonheur parfait, dans une demeure parfaite, sans le moindre nuage gris à l’horizon. Samarah se souvint que, parfois, sa mère venait lui chanter des berceuses dans sa chambre quand elle n’arrivait pas à s’endormir. Elle se souvint aussi des innombrables promenades qu’elle a faites avec sa mère dans le parc et dans le bois. Ces souvenirs sont aujourd’hui trop lointains pour qu’elle s’en souvienne précisément. Il lui reste juste quelques bribes de son passé, le reste ayant été effacé par les années noires passées à voyager entre diverses familles d’accueil et l’orphelinat. En effet, après le drame familial, Samarah, n’ayant plus d’autre famille, fut placée dans une institution. Celle-ci tenta bien à plusieurs reprises de la confier à des familles d’accueil. Mais la plupart du temps, les couples étaient à peine partis qu’ils revenaient déjà déposer l’enfant, en justifiant un problème d’incompatibilité entre leurs propres enfant (quand ils en avaient) et la gamine, ou bien entre eux et elle, quand ils n’avaient pas encore de progéniture. Au bout de huit ans de cet éternel manège de va et vient entre familles, elle finit par atterrir dans un orphelinat à Londres. Un endroit vétuste, où l’humidité ambiante mangeait chaque jour un peu plus de mur. Et où l’austérité des chambres n’avait rien de bénéfique pour consoler les orphelins qui se retrouvaient là en cellule comme des prisonniers, vu le peu d’espace dont ils disposaient pour vivre. Il n’y avait qu’un lit très inconfortable, tout miteux et dont les ressorts commençaient tout doucement à sentir le poids des années écoulées à soutenir, nuit après nuit, le corps des enfants qui défilaient entre ces murs années après années ; un meuble qui devait servir pour le rangement et une table, qui faisait office de bureau, accompagnée d’une chaise. C’était tout. Et à l’orphelinat, même si Samarah souffre d’agoraphobie et qu’elle préfère de loin les endroits restreints aux espaces ouverts, elle se sentait à l’étroit dans la sombre pièce qui lui servait de chambre. Mais elle s’aperçut rapidement qu’elle s’y accommodait cependant beaucoup plus facilement que d’autres enfants, en raison de son trouble psychologique. A l’arrière du bâtiment, il n’y avait pas de jardin, juste une ridicule petite cour, histoire de pouvoir au moins s’aérer quelque minutes pendant la journée. Heureusement, Samarah avait très vite repéré un parc à proximité de cette vieille bâtisse qu’elle haïssait tant, et s’arrangea toujours pour pouvoir y passer un maximum de temps. Plus elle s’éloignait de l’orphelinat, mieux elle se portait ! Elle y demeura pendant six années jusqu’au jour où elle décida de s’enfuir. Samarah s’est toujours sentie différente des autres enfants, et elle n’avait jamais su pourquoi jusqu’à ce qu’elle découvre ses pouvoirs
Contre toute attente, malgré l’enfance agitée de Samarah, sa scolarité n’en n’a pas souffert. Samarah a toujours été bonne élève et même parfois beaucoup plus avancée que le niveau moyen de la classe dans laquelle elle se trouvait. Cette différence intellectuelle n’a malheureusement rien fait pour arranger son problème, dans la mesure où la difficulté de se faire des amis n’en fut encore qu’accrue. Tous les enfants la détestaient parce qu’elle était la première de classe. Personne ne voulait jouer avec elle et dans la cour Samarah se retrouvait tout le temps toute seule. Elle se rappelait non sans peine tous ces moments où elle les regardait jouer au ballon où à la corde à sauter, où leurs rires parvenaient jusqu’à elle, seule dans son coin. Mais qu’importe, même si au début, cela lui a fait beaucoup de peine, elle s’y est habituée. Et à la fin, être toute seule ne la dérangeait plus. Elle pensait que ce n’était pas une grosse perte de se sentir rejetée par des gens qui ne prenait même pas la peine de la connaître. C’est que eux-mêmes n’en valait pas la peine non plus. Et puis, Samarah avait rapidement compris qu’elle n’avait besoin de personne pour se débrouiller dans la vie.
Première découverte de ses pouvoirs et arrivée à l'Institut :
Spoiler:
Pour autant qu’elle s’en souvienne, il s’est presque toujours produit des choses bizarres partout dans l’environnement de Samarah. Ces phénomènes allaient de la simple porte qui se referme toute seule lorsque les familles d’accueil voulaient la ramener à l’orphelinat aux meubles qui volaient dans la pièce devant son nez quand elle était énervée. Un jour, elle entendit un garçon faire une remarque dans son dos, elle ne savait plus quoi exactement, mais ce dont elle se rappelait très bien, c’était que l’instant d’après, le ballon qu’il tenait dans ses mains lui explosa à la figure et il se retrouva à l’infirmerie. Après cet événement, Samarah fut bien obligée de se rendre compte que quelque chose d’étrange se passait. Mais elle n’était pas encore décidée à croire qu’elle disposait d’un quelconque pouvoir, même si les événements avaient plutôt tendance à lui prouver le contraire. Mais ce qui se produisit peu après l’accident du ballon allait sévèrement lui faire changer d’avis. Ce jour-là, elle était en classe et comme d’habitude, elle s’ennuyait royalement. La matière n’ayant rien de bien compliqué, elle l’avait tout de suite comprise. Elle était en train de griffonner sur une feuille de papier lorsque le professeur la surprit, inattentive à son cours et il se mit à la sermonner devant tout le monde, pour le plus grand bonheur de la classe entière qui aimait voir Samarah se faire réprimander. Samarah fut d’autant plus outrée de cette injustice, que deux garçons en train de faire du bruit juste derrière elle et de déranger la classe entière, eux ne furent même pas punis. Après tout, elle ne faisait rien de mal, elle dessinait sur sa feuille et ne faisait pas de bruit, elle au moins. Mais non, une fois de plus, cela tombait sur Samarah. C’est elle qui se faisait gronder. Ce fut la goutte qui fit déborder le vase. Marre de servir à chaque fois de bouc émissaire. Elle sentit la colère monter en elle comme un volcan entrant en éruption. Une haine encore plus violente que d’habitude envers la classe coulait dans ses veines. Et tout d’un coup...BANG !!! Il y eu un grand bruit, comme une explosion, suivie d’éclairs jaunes et d’étincelles orangées qui volèrent dans la classe. Les lampes néons du plafond venaient d’exploser…S’ensuivit une panique générale avec des cris d’angoisse, des larmes d’effroi et une grande cohue pour sortir de la classe. Tous les élèves se précipitèrent vers la porte pour pouvoir sortir en premiers. Seule Samarah ne fut pas prise de panique, elle restait là, debout au milieu de la classe, des étincelles lui passant encore au-dessus de la tête. Certes, elle avait été surprise par le bruit de l’explosion comme les autres, mais maintenant, elle en était sûre, c’était elle qui avait provoqué l’explosion. Et toutes les autres choses bizarroïdes au cours des années précédentes. Quand elle avait senti sa rage arriver au point maximum, elle eut l’impression de soudain détenir un immense pouvoir et la seule pensée qui lui vint à l’esprit fut une explosion…. Elle avait comme tout le monde entendu parler des mutants mais jamais elle ne se serait imaginée en faire partie ! Loin de là ! Elle ne les avait jamais méprisé, pour elle c’était des gens comme tout le monde. Et d’une certaine manière, elle les comprenait, être reclus à cause de l’intolérance des autres, elle connaissait. Qui sait, peut être était-ce à cause de cela qu’elle s’était toujours sentie différente des autres, elle était aussi une mutante… Cependant, à compter de ce jour, elle se sentit beaucoup plus forte. Une puissance que personne d’autre n’avait était entrée en sa possession. Et elle se dit que c’était pour ça qu’elle se sentait différente, ce pouvoir était latent, et attendait le bon moment pour sortir au grand jour. Deux jours après l’accident de l’école, une enquête avait conclu que la cause de l’explosion était un court circuit dans les fils électriques. En y repensant, cela faisait toujours bien rire Samarah. Un jour, Samarah en eu marre d’être le souffre douleur et le bouc émissaire de tout l’Orphelinat. De plus, sa véritable nature n’était pas restée secrète très longtemps. Et depuis que les enfants savaient qu’elle était une mutante, ils l’évitaient encore plus qu’avant. Si bien que Samarah n’avait pour ainsi dire plus aucun contact humain avec personne, sa meilleure amie étant partie quelques mois plus tôt. Elle avait entendu parler d’une école pour mutants et une fois qu’elle sut qu’elle se trouvait en Amérique, elle prit la poudre d’escampette pour rejoindre l’Institut. Après avoir erré dans les rues le temps du chemin, elle finit par y arriver et y fut accueillie en lui disant qu’elle pouvait rester autant de temps qu’elle le désirait.
Dernière édition par Miss Lemington le Sam 15 Aoû 2009 - 2:46, édité 7 fois
Finalement, elle y resta moins d’un an. Les évènements qui se déroulèrent en 2031 ayant mené à la destruction de l’Institut, à la fin du mois de janvier. Mais revenons quelques jours en arrière voulez-vous ?
Nous sommes le 31 décembre, à la veille du Nouvel An et Boston se préparait à fêter dignement l’évènement. C’était sans compter l’arrivée d’un sombre individu qui ne pensait qu’à une seule chose, prendre le contrôle de la ville par l’intermédiaire des mutants. Pour cela, le Comte di Smorgia avait un plan très simple. Les mutants de la ville s’étaient donnés rendez-vous au Saturday Night, un bar branché de la ville reconnu pour ses fréquentations mutantes. Il avait donc décidé de passer à l’attaque à ce moment-là. Ce qui se passa cette nuit-là changea à jamais le rapport entre les mutants et les humains dans le monde, mais encore plus précisément aux USA. La ville de Boston avait été mise en feu et en sang par une poignée de mutants aux pouvoirs décuplés par le contrôle du Comte. Et parmi ces mutants, se trouvait la jeune Samarah. Son pouvoir, aidé par celui du Comte avait fait des ravages. Au lendemain de la catastrophe, l’adolescente en avait parfaitement conscience et ne le supportait plus. Elle s’isola encore davantage, refusant tout contact avec les gens de l’Institut. Cela dura une semaine. Une semaine pendant laquelle, la vie de Samarah bascula du tout ou tout pour prendre un nouveau tournant : une semaine pendant laquelle, en dehors des murs de l’Institut se préparait les prémices de ce qui serait prochainement appelé ‘L’Assainissement’. Puis, elle refit lentement surface, tout en restant néanmoins très distante avec les autres. Elle savait dorénavant de quoi elle était capable et cela n’avait rien de réjouissant. Elle en était arrivée à craindre son pouvoir et ses conséquences. Elle doutait à présent de pouvoir se contrôler… On lui avait assuré qu’elle n’était pas entièrement responsable, mais l’incertitude était là, profondément ancrée.
Quelques jours passèrent encore à se morfondre lorsque la solution s’imposa d’elle-même. Il était temps qu’elle en apprenne un peu plus sur ses origines. Elle avait toujours repoussé ce moment, pensant qu’au final cela ne lui apporterait rien. Mais aujourd’hui, peut-être que cela lui permettrait de mettre fin aux interrogations qui la hantaient. Au bout de 24h, elle avait pris sa décision. Le lendemain, elle partirait pour Londres, faire la lumière sur son passé. Elle savait qu’elle pouvait compter sur certains pour l’accompagner. Au prix d’un gros effort sur elle-même, elle mit son orgueil de côté et demanda à Joshua et Camille si le voyage les intéressait. Malgré tout ce qu’elle avait déjà fait subir au jeune garçon, celui-ci accepta et Camille se fit un plaisir de mettre à leur disposition un appareil. Le départ était prévu pour le lendemain.
Mais une fois encore, le destin s’en mêla. En cette nuit du 24 janvier 2031, il frappa dans l’ombre, marquant à nouveau la vie des jeunes mutants. L’attaque surprise du Gouvernement déferla sur l’Institut en pleine nuit, prenant tous les élèves au dépourvu. Ceux qui dormaient furent les premières victimes, vaccinées dans leur sommeil. Pour les autres, un combat acharné et presque perdu d’avance s’annonçait. Très peu parvinrent à s’enfuir, mais Samarah fit partie des rares à avoir réussi. Ce fut son insomnie qui la sauva. Torturée par ses agissements depuis le début du mois, elle ne dormait presque plus. Et c’est parce qu’elle était encore éveillée cette nuit là qu’elle échappa au terrible vaccin. Dans la panique générale, elle ne sut pas qui réussit à quitter les lieux et qui tomba sous les troupes armées. Ca, elle ne le saurait que quelques heures plus tard…
Au détour d’un couloir, son chemin croisa celui de Camille, qu’elle avait quittée quelques heures plus tôt. Elles avaient mis au point les derniers préparatifs de leur voyage du lendemain… Celle-ci ne fit ni une ni deux et entraîna Samarah avec elle. D’autres mutants suivirent. Et dans l’ombre de la nuit, ce furent quelques silhouettes qui s’évanouirent dans la nature tandis que derrière eux, l’Institut était réduit en cendres… Au matin de l’attaque, le groupe était déjà loin, à bord d’un avion, direction l’Angleterre. Leur moyen de fuite allait devenir dans les semaines qui suivirent un réseau organisé pour faire quitter tous les mutants non vaccinés des Etats-Unis…
Samarah était en route pour Londres, mais pas de la manière dont elle l’avait espéré. Encore sous le choc, partagée entre l'envie de rébellion et l'effondrement, elle ne réalisait pas encore très bien ce qu’il s’était passé. Elle mettrait plusieurs jours à s’en rendre compte, devant les téléviseurs qui rapportaient de plus en plus d’émeutes dans le monde entier suite aux agissements du Gouvernement Américain. Elle traversa alors une période où elle fit preuve d’une fureur grandissante et d’une colère à peu près aussi mémorable que l’épisode de la Cave Sanglante. Quiconque essayait de lui faire entendre raison changeait bien vite d’avis. La jeune mutante réclamait vengeance. Ils avaient détruit l’Institut. Ils avaient osé détruire leur refuge ! Il fallait réagir ! Pourquoi est-ce que personne ne le comprenait ? Ils avaient tous laissé des amis là-bas ! Etaient-ils seulement encore vivants ? Mais toute énervée qu’elle était, l’adolescente finit par comprendre qu’elle ne pourrait rien faire. Pas tout de suite en tout cas. Alors, elle se calma et attendit sagement son heure… Les semaines passèrent, dans l'incertitude. Etre mutant à présent n'était vraiment plus une très bonne chose. Mais viendrait un moment où ils le payeraient très cher, oh oui, ça, la jeune mutante se l’était promis. Et avec la rancune tenace de Samarah, ses ennemis avaient à présent de quoi s’en faire. Même si ça, ils ne le savaient pas encore !
Les mois passèrent et finalement Samarah mit à profit sa présence en Angleterre pour enquêter sur son passé dans le courant de l'année 2032. Elle n’avait plus d’excuses et autant que leur départ précipité et forcé vers Londres serve à quelque chose. A sa grande surprise, elle n’eut pas beaucoup de difficultés à retrouver l’orphelinat qu’elle avait fui plusieurs années auparavant. Elle avait pourtant fait beaucoup d’efforts pour l’oublier mais certains évènements de votre vie restent inlassablement marqués au fond de votre mémoire. Lorsqu’elle en franchit les grilles, un frisson lui parcourut l’échine. Rien n’avait changé. Tout lui semblait seulement moins impressionnant. Elle avait grandi depuis. Elle reconnut même certains enfants qui, bizarrement s’écartèrent sur son passage. Apparemment, eux non plus ne l’avaient pas oublié, ni ce qu’elle était et ce qu’elle savait faire…
Elle débarqua dans le bureau de la vieille directrice sans prévenir. Alors qu’autrefois cet endroit l’effrayait, aujourd’hui, elle était poussée par une force invisible qui lui donnait l’impression d’être invulnérable. Il ne fallut pas très longtemps pour que la vieille sœur lui révèle ce qu’elle lui avait caché pendant des années. L’endroit où elle avait habité, des éclaircissements sur l’accident responsable de la mort de ses parents et surtout, l’état de sa fortune. Ah bon ? Parce qu’elle avait de l’argent maintenant ? On s’était toujours bien garder de le lui dire ça. Mais le plus extraordinaire restait encore à venir. Et là Samarah du s’accrocher un fameux coup aux recoins du vieux bureau. Elle n’était pas orpheline ! Enfin, pas tout à fait. Quelque part, il lui restait un frère ! La pièce fut plongée dans un silence écrasant, le temps que la jeune mutante emmagasine toutes ces informations. Elle ne remercia même pas la directrice, elle estimait qu’elle ne le méritait pas. Avant de quitter l’Orphelinat, la vieille sœur lui avoua cependant qu’une personne la cherchait encore et que cette personne était revenue ici quelques mois auparavant. Elle n’eut pas à dire plus, Samarah avait compris. Elle ne l’avait pas oubliée. Même si elles s’étaient quittées plusieurs années avant en colère, son amie ne l’avait pas oubliée. Samarah quitta l’Orphelinat en souriant vaguement. Elle n’était pas encore au bout de ses surprises, mais aujourd’hui, elle avait appris que sa première et véritable amie ne l’avait jamais oubliée et que quelque part dans ce monde, elle avait un frère…
Un nouveau départ...
Spoiler:
Elle mit cependant encore plusieurs mois avant de se rendre sur les lieux de son enfance. Elle redoutait de se retrouver face aux ruines de son ancienne maison. Elle devait s’y préparer psychologiquement. Surtout qu’un mauvais pressentiment, qui s’était emparé d’elle depuis le face à face avec la directrice de l’orphelinat, ne la quittait plus. Une impression qui de jour en jour devenait une certitude et elle se refusait à y croire. Ce n’était pas possible. Elle n’aurait pas pu… Pourtant, même ses cauchemars, qu’elle faisait depuis des années semblaient aller dans le sens de son malaise grandissant.
Quand elle se trouva face aux ruines du manoir familial, au-delà du choc et de ce qu’elle avait préssenti, surgit une idée. Comme si, elle en avait toujours eu l’intention. L’Institut avait été détruit, mais tel le Phoenix, il renaîtrait de ses cendres. Ici même. C’est sans hésiter que Samarah proposa son héritage (enfin ce qu’il en restait) pour continuer d’accueillir des jeunes mutants cherchant de l’aide. Elle avait le sentiment de le devoir, en mémoire de l’Institut du professeur Charles Xavier qui en avait fait de même pour elle alors qu’elle était totalement perdue.
Son projet mit plusieurs années avant de voir le jour. Il fallait le financer tout en restant discret. L’Angleterre avait encore une politique d’accueil assez douce envers les mutants, mais la méfiance chez Samarah était une seconde nature. Néanmoins, elle ne se découragea pas. D’autant qu’une ancienne élève, Koyuki Hara refit son apparition et prit contact avec la jeune mutante. Samarah vit là un signe du destin. Le Nouvel Institut verrait le jour, par n’importe quel moyen, elle l’avait décidé et y veillerait personnellement. Aidée notamment dans son projet par la famille Mayfield et Koyuki Hara, les travaux commencèrent en 2041 et le manoir fut rénové en 5 ans. En 2046, le Nouvel Institut était né et ouvrait à nouveau ses portes. Samarah en proposa la direction à Koyuki, tout ce qui concernait la paperasse ne l’intéressant pas vraiment. Celle-ci accepta et lui demanda un service. Lors de l’attaque de l’Institut à Boston, ils avaient pu sauver le Cerebro. Aujourd’hui, il avait retrouvé sa place au sein du Nouvel Institut et Koyuki demanda à Samarah de retrouver Léon, dont elles étaient toutes deux sans nouvelle depuis des années. Au début, Samarah refusa de se servir de l’engin mythique. Elle ne s’en sentait pas capable. Mais face à l’insistance de la jeune asiatique, elle céda. Il lui fallut une immense préparation psychologique et psychique avant de pénétrer dans la salle du Cerebro. Elle savait ce qu’elle risquait si elle ratait sa performance. Et elle se savait loin d’égaler les pouvoirs du défunt professeur Xavier. Cependant, à sa plus grande surprise, elle réussit à localiser le jeune mutant aquatique en Chine. Depuis ce jour, elle n’utilisa plus jamais le Cerebro. Cette expérience l’avait énormément épuisée et elle ne désirait pas tellement la réitérer. Mais ce ne fut pas aussi simple de le convaincre de revenir parmi eux. Il fallut plusieurs voyages pour qu'enfin il accepte de diriger le Nouvel Institut avec Koyuki. Samarah préférant rester ‘sur le terrain’ pour pouvoir intervenir à tout moment…
Aujourd’hui, nous sommes en 2051, le Nouvel Institut est ouvert depuis 5 ans. Il accueille les jeunes mutants confrontés à la découverte de leurs pouvoirs. Et dans un monde partagé entre la crainte des mutants aux USA et la découverte d’une menace humanoïde, il surveille la Confrérie, qui elle aussi a fini par se redresser.
Miss Lemington fait partie des 'meubles' de l'Institut. Comprenez par là qu'elle est devenue polyvalente. Vous pourrez la trouver à donner un cours si un des profs s'absente, tenter de conseiller les jeunes sur l'utilisation de leurs pouvoirs, mais la plupart du temps, elle s'occupe aussi des entraînements en salle des 'dangers', la salle d'entraînement.
Vous, derrière votre écran :
Votre âge (réel) : 23 Votre addiction au net (en h/jour face ) : Bcp trop Comment avez-vous connu Generation-X ? : J'étais sur Evo-X Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : Pour vous pourrir la vie, parce que je vous aime bien sûr Est-ce votre dernier mot ? N'oubliez pas, je vous ai à l'oeil !
Dernière édition par Miss Lemington le Ven 20 Nov 2009 - 18:31, édité 4 fois
Pour ceux que ça intéresse, voici le parcours de ma petite mutante lors de son adolescence sur Evo-X. Je l'ai repris depuis le début, dans la mesure du possible, certains topics ayant disparu avec le temps.
Spoiler:
Sujets libres
Arrivée à Boston, topic 'Petite Ballade(ouvert)' (Terminé)