Prénom et nom : Virginie (Eléonor, Cristal) Parish
Surnom: Au lycée : « Petite Pierre » / Ensuite… Sand Petal
Âge (Date de naissance) : Le 11 septembre 2033
Race : Mutante ( première génération)
Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? : Pas de vaccination, à l’inverse de ses deux parents. Ceci dit aucun d’eux n’a le fameux allèle dominant qui déclenche le processus.
Origine : Londres (née à l’hôpital général de la ville)
Clan : : Le Nouvel Institut / Puis, la Liberty Corporation
Pouvoir : Résistance corporelle ( dite « super résistance »)
Ce qui signifie résistance à tous désagréments physiques connus. Pour ordre d’idée, quand elle se prend un coup elle en ressent moins d’intensité qu’une personne normal. Sa peau est comme une carapace lisse. Carapace qui s’endurcira probablement avec le temps. Pour le moment Virginie est juste plus difficile à blesser. Cela veut aussi dire qu’elle à une certaine facilité pour rester en bonne forme.
Mais comme toute médaille à son revers, Virginie à malencontreusement découvert, à ses dépends que le moindre choc électrique pouvait la mettre chaos. Devinez pourquoi elle déteste l’électricité statique. Etrange comme faiblesse. Sa meilleure hypothèse est que l’électricité qui créait ses chemins dans le corpus nerveux qui est beaucoup trop réceptif …
- Spoiler:
Evolution du gène :
Niveau 1 : La carapace lisse se renforce, Virginie n’a plus de bleues, plus de coupure ou brûlure superficielle. Elle est épargnée pour tout ce qui concerne coup de soleil gelures, piqures de moustiques etc. Elle peut supporter les changements de température mieux que la personne normale. Son endurance augmente pas mal.
Niveau 2 : Elle peut supporter plus de pression. Son épiderme met trois fois moins de temps pour se régénérer. Sa résistance gagne le circuit interne : sa structure osseuse gagne en force. Ses os se cassent difficilement. Toute son enveloppe perd en sens Sa peau se défend, elle ne bronze plus, ne blanchie plus.
Niveau 3 : Son métabolisme se renforce elle gère mieux son énergie et a moins besoin de manger et moins souvent. Elle peut résister au sommeille pendant plusieurs jours de suite.
Niveau 4 : Son système immunitaire devient ultra-résistant. Virginie ne tombe plus malade. Tout ce qui est alcool ou drogue et proprement éradiqué, et n’ont aucun effet sur elle.
Niveau 5 : Ses cellules meurent moins vite et moins nombreuses, elle aura surement une très longue vie. Son cerveau gagne en force. Elle peut gérer beaucoup plus d’information en même temps à une plus grande mémoire.
Révélation du second pouvoir au stade trois : Sens hyper développés
Il se cotonne à quatre sens sur les cinq du fait de la première mutation.
Niveau 3 : L’ouïe
Niveau 4 : La vue
Niveau 5 : L’odorat / le goût
Améliorations technologiques : //
Aptitudes : Acquises au fur et à mesure de sa vie : La danse, pour avoir suivi des cours de classique dés l’âge de sept ans. La couture, pour avoir toujours eu des gestes minutieux une grande patience et le plaisir de créer. L’enquête, pour tout au long de ses dernières années avoir appris à chercher de quoi pourvoir vivre sans rien réclamer. Se faire oublier, parce que c’est là la toute première qualité qu’on lui a enseigné. Et manger parce qu’une vie sans plaisir est une vie gâchée.
Description physique : Notre jeune mutante, est une adolescente que l’on qualifie facilement de mignonette. Elle a le teint un peu blafard de la jeunesse londonienne. Qu’elle rehausse volontiers avec un peu de maquillage tout à fait discret ceci dit. Elle atteint la petite taille d’un mètre cinquante, pour quarante kilos toute mouillée. Petite stature, qui la rend fluette et invisible dans les bains de foule. Fait que ses parents ont tenté d’apaiser en l’entrainant dans divers cours de sports en pleine air , même de défenses comme le karaté (qui ne fit pas long feu sachez-le). Développant ainsi muscles et endurances, d’autant plus forts, de part sa génétique de départ.
Virginie opte le plus souvent pour robes assez courtes et longues bottes, répondant ainsi à une certaine mode. Elle à un goût assez prononcé pour les gros bracelets, qui lui couvrent la moitié des bras, et des ceintures toujours plus extravagantes pour resserrer sa taille trop mince. La plus part du temps ses cheveux répondent à des élans de soudaine créativités. A l’origine blond clairs, fins, et longs. Ils se retrouvent emprisonnés dans des coiffures improbables. Elle adore y glisser toutes sortes d’objets, perles, laine, fleurs, Ses yeux sont bleus tirants peut être un peu sur le gris les jours de mauvais temps. Comme le reste de son visage, ils trahissent une peur innée de tout ce qui l’entour. Comme une jolie biche piégée dans un monde inconnu.
Signes particuliers : Non, pas encore en tous cas. Mais elle est très très active.
Histoire : La demoiselle est née il y a donc 17 ans dans le cœur battant de Londres. Après, une péridurale, plusieurs heures de souffrances et toute l’assistance possible sa mère l’expulsa : enfin. Un beau bébé à la tignasse blonde, au regard un peu trop expressif, et au corps un peu chétif. Elle était venue un peu trop tôt en ce bas monde perturbant quelque peu le planning familial. Son père était chômeur depuis peu. Après presque cinq au service de l’état on le revoyait poliment vers d’autres activités. Sa mère, en tant que toute jeune enseignante, avait encore quelque année avant de se faire supplanté par la technologie… enfin ?
Ils avaient un petit loft délabré en haut d’une tour de vingt étages. La chambre pour le bébé n’était pas prête et leur quotidien non plus. La première année de Virginie se passa dans un remue ménage incessant, entre la maladresse d’un père, et le manque de temps d’une mère. Ils la mirent le plus vite possible sous l’autorité public, crèche puis maternelle... Ce manque d’investissement amena une certaine angoisse chez l’enfant. Pourquoi au juste refusaient-ils de s’occuper d’elle ?
- Spoiler:
11 décembre 2048 : La fuite…
Ce soir là papa n’était pas rentré à la maison. Maman passait son temps à faire les cents pas dans le salon en jetant des coups d’œil à l’horloge holographique qui se reflétait le plafond. Moi j’étais plongée dans le dernier roman de Paul Kodar. Une intrigue avec des pirates aux yeux cybernétiques et aux bateaux volants.
Je l’avais acheté un soir en revenant d’un cours de danse avec l’argent mit de côté. Maman déteste toutes ces histoires. Elle ne connait que les « grands classiques », ceux de tous les siècles passés, bien passés. En fait elle avait la mentalité d’une femme d’y il à plus de cent ans. Enfin, c’est ce que m’avait dit Joé en tout cas, mon voisin en cours de littérature. J’avais d’abord voulut protester défendre cette femme qui était ma mère. Mais je n’aurais fait que mentir, et cela c’était interdit.
Voila ce à quoi je repensais quand à minuit dix la porte d’entrée grinça enfin. Je passais la tête par la sortie de ma chambre et regardait maman claquer la joue de son mari. Je voyais bien à son ton et à sa posture qu’elle était en colère, très en colère. Et pis elle était inquiète. Alison Parish inquiète ce n’était pas souvent ça. Et ce n’était certainement pas pour moi qu’elle l’aurait été.
C’était comme ça depuis toujours. Elle se contentait d’être le modèle d’autorité et d’ordre devant moi, rien de plus et rien de moins. A croire que j’étais l’une de ses élèves. Je ne comprenais pas pourquoi. Ils me traitaient avec une telle… une telle indifférence.
-« Elle dort ? »
-« Oui »
-« On doit parler. » Il c’était assit dans son fauteuil j’en reconnaissais le son même de ma cachette. « Aly… j’ai vue Louis ce soir. »
-« Louis ! »
-« Chute pas si fort. Il m’a dit que… que la dernière prise de sang… eh bien… »
-« Eh bien ?! »
-« Elle sera comme eux. » Il y avait tant de désespoir dans sa voix que j’aurais voulut aller le consoler. Mais quelque chose me retenais. Je sentais que leur échange était grave et que…
-« Je le savais. Je l’ai toujours sut que cette gamine serais empoisonnée… un monstre ! »
J’ai arrêté de respirer. Une idée se faisait doucement dans mon esprit mais je ne voulais pas la formuler. Parce qu’alors…
-« Ne dis pas ça voyons, c’est ta fille, notre fille. … on pourrait lui donner le vaccin. »
Une larme à perler sur ma joue en silence ! J’étais terrorisée. Je comprenais ! Ils me haïssaient. Je les dégoutais.
-« Et participer à leur complot ! Jamais ! Jamais ! »
-« D’accord, d’accord, calme toi chérie, calme toi. »
Je ne les écoutais plus maintenant. J’étais comme dans un puits sans lumière. Monstre elle me prenait pour un monstre. En silence j’ai mis un pull, j’ai pris un sac avec mon livre et mon carnet. Et pendant qu’ils rejoignaient leur lit je suis sortie.
J’ai marché. Je ne sais pas six heures peut être. Dans la nuit le froid et j’étais tellement anesthésiée que je m’en fichais. Je n’avais même plus peur. Ils ne voulaient pas de moi. Pourquoi rester ? Je ne m’arrêtai pas une seule fois. Mon corps m’obéissait à la perfection, je ne ressentais aucune fatigue, aucune douleur. Je savais au fond que j’aurais pus continuer un temps infini ainsi.
Je devenais une mutante…
Vers 14 ans à l’heure des transformations physiques, tout en devenant une jeune adolescente, notre mutante commença à changer de structure moléculaire. Allez-savoir pourquoi ? Le hasard de la génétique… peut être, peut être pas. Ainsi Virginie se découvrit une résistance peu commune, à la douleur, la fatigue, et tout ce que pouvait supporter, ou non un corps humain ordinaire. Pas un seul bleu, ni une brulure graves ne la marquaient comme les autres. C’était comme si son corps était de béton, ou bien non de cristal ? Aucun mot ne pouvait décrire ce premier stade. Bien loin d’en profiter, l’adolescente se mura dans une discrétion remarquable. Tout ceci lui faisait une peur bleue. Elle ne comprenait pas.
A son entrée en classe supérieur, autrement dit au lycée, elle n’avait toujours pas réussit à chasser ses angoisses. Entre le monde trop vif qui l’entourait, des étrangers qui l’inquiétaient, des parents qui l’ignoraient. Pourtant, elle était douce, tranquille. Un petit ange docile qui ne demandait rien. Mais cela ne l’empêcha pas de fuir le monde. Sa scolarité se passa sans accro… jusqu’au diplôme obligatoire. Elle avait suivit le cursus classique avec l’option danse. Ce qui lui allait parfaitement. Puisque tous les gestes n’étaient que préméditations et harmonie pour son jeune corps.
Elle ne sait pas du tout ce qu’elle va faire de sa vie. Qu’à cela ne tienne ses parents ont tout prévu. Peu avant ses 17 ans, sa mère, décida de la laisser à New York. Pourquoi ? Sa sœur y avait un appartement avec son mari. Ils étaient seuls. Ils avaient de la place. Ce voyage allait l’enrichir déclarait elle… Virginie ne répliqua pas. Que dire à une mère qui vous chasse ? Elle avait depuis longtemps comprit que chercher de l’amour ici était inutile. Ils étaient, tous les deux, bien trop ancrés dans leur propre combat avec le réel.
Leur fille ne leur en voulait même pas. Cette image d’enfant inutile (et anormale) s’était dessinée, jusqu’à ce que Virginie elle-même, commence à y croire. Le peu de contactes, qu’elle avait réussit à mettre en place pendant ces années, seraient bien vite oubliés. Elle allait faire de son mieux, comme toujours. En espérant que cela suffise. Et puis qui sait, peut être que l’Amérique lui offrirait une chance, elle.
Virginie emménagea chez cette tante qu’elle ne connaissait pas. Cette femme apparemment lasse l’accueillit naturellement quoi que sans chaleur particulière. On proposa à la nouvelle locataire une chambre spartiate mais propre. La jeune fille tenta de prendre les choses avec philosophie. Dés sa première semaine sur place elle trouva un job. Il n’était pas dit qu’une nièce surchargerait le quotidien des siens.
En septembre dernier, un journal de banlieue, le NYNW, avait besoin d’une pigiste. Parfait. Elle ne se débrouillait pas trop mal avec une plume. Quelques mois plus tard, un après midi d’avril 51, alors qu’elle couvrait la rubrique nécromancie, un détail insolite attira son attention. En effet une note de dernière minute informait brièvement.
N°21999 12 avril 2051 première édition
« Encore une mort étrange à Vancouver surement les mutants. Une enquête à faire très vite. » Et là. Alors qu’elle avait depuis toujours entendu parler des mutants une lumière nouvelle se fit. Et si elle en était… des mutants ? Cette idée la submergea. Elle commença à économiser pour pouvoir avoir une voiture. Vancouver la verrait bientôt.
Caractère : Commençons, par le plus flagrant, notre jeune amie est peureuse. Elle n’acceptera d’entrer dans un lieu que si elle sait exactement ce qu’elle y trouvera. Ce qui à tendance à compliquer sa vie. Cela ajouté à un manque de confiance dés plus exaspérants. Qui peut aller jusqu’à l’impossibilité de prendre une décision sans en avoir préalablement parlé à son entourage. Pour palier à cela Virginie est d’une douceur inouïe. D’une assiduité sans reproche lorsqu’on lui confit une tache. Les colères sont rares et les pleurs nombreux. Elle gardera un secret jusqu’à sa tombe et cela même si les ennuies la guette. Il lui arrive de pouvoir ce coupé tout bonnement du monde. Et de partir dans un monde propre à elle seule.
Ambitions : Trouver sa place. Pouvoir regarder sa vie sans se sentir exclue de celle-ci. Se faire aimer et aimer en retour sans avoir l’impression de ne pas le mériter. Et maintenant… affirmer sa nature et la défendre avec ses armes.