Prénom (d'emprunt) : Senji

Prénom : Pierre

Nom :Guerrero

Surnom : n'en porte plus

Âge (Date de naissance) : 49 ans

Race : mutant

Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? :
Ne l'a jamais été

Origine : De France (av 2031) des USA, Boston (depuis le 31)

Clan : Nouvel Institut

Pouvoir : {Si tu reçois une gifle sur la joue droite tends celle de gauche... Qui avait sorti ça déjà? En tout cas c'est le genre de phrase qui a toujours fait rire Senji, toujours... Seulement au moment où il s'est aperçu que chaque fois qu'on le frappait une sorte de force psychique infligeait à son agresseur la même douleur et les mêmes blessures. Un peu comme une poupée vaudou.}

Chaque fois que quelqu'un frappe le violemment (ou pas) le pouvoir de Pierre Guerrero renvoie les dégâts et la souffrance causés, à son agresseur. A partir du second niveau Senji renvoie la totalité des dégâts reçus, puis de niveau en niveau son pouvoir renvoie d'avantage de dégâts à son agresseur jusqu'a ce qu'au niveau 6 il en renvoie le double.

Senji est actuellement de niveau 2.

Explications détaillées :

Senji est attaqué par un mec, celui-ci lui donne un violent crochet du droit (joue gauche), Pierre se le prend s'envole et se cogne la tête (gros bleu sur la joue et une jolie bosse) au moment de l'impact du poing le pouvoir s'éveille et l'agresseur se reprend la puissance de son coup de poing dans sa joue gauche ce qui le fait voler et s'étaler sur le sol (gros bleu sur la joue), si Pierre se décidait de se relever et de lui donner un grand coup de pied dans le bide ça ne changerait rien, seulement quand son corps est agressé que cela se produit.

Si ce n'était pas un coup de poing mais une balle, l'agresseur n’aurait pas eu un trou mais l'intérieur de son corps aurait été broyé comme si une balle s'y était logée.

Car il ne s’agit pas d'un renvoi d'objet mais une vague psychique qui renvoie les dégâts et la douleur, si par contre son corps était projeté contre un mur ou jeté dans le vide par quelqu'un rien ne se passerai même au moment de l'impact car le dégât n'est provoqué que pas un déséquilibre, et non une action destructrice.

niveau:
-niveau 0 renvoie les dégâts (infligeant 55% des dommages reçus)
-niveau 1 renvoie les dégâts (75%)
-niveau 2 renvoie les dégâts (100%)
-niveau 3 renvoie les dégâts (120%), développe la capacité de s'auto soigner (lent)*
-niveau 4 renvoie les dégâts (150%) et réduit la douleur (20%)**, Auto régénération (moyen)
-niveau 5 renvoie les dégâts (175%) et réduit la douleur (40%), Auto régénération (rapide)
-niveau 6 renvoie les dégâts (200%) et réduit la douleur (60%), Auto régénération (tres rapide)

* la régénération au niveau 3 de son évolution, reforme les tissu vivant lentement durant son sommeil, tout ne peut être régénéré, c'est pour ça qu'un coup mortel ne sera pas régénéré, ou la présence d'un corps étranger (une balle par exemple) augmentera nettement le temps de régénération. La régénération lente prend une semaine sans corps étranger, la moyenne prend 5 jour, la rapide prend 2 jour et la très rapide prend une nuit. Important !! : ne régénere pas la perte d'un membre

** Réduction de douleur, ne réduit pas les dégât encaissé mais permet d'en supporter plus. Toute fois avec moins de douleur on perd conscience de la gravité de ses blessures, ce qui peut être très dangereux.

Aptitudes :
-Parle Anglais, Français, Chinois, Espagnol, Allemand
-Assez endurant et sportif
-Malgré la prévention conduit sans permis sur sa bécane rafistolée (et toujours aussi mal)
-Raconte des blagues drôles ou pas
-Sais faire des farces à ses détracteurs
-Ne connais aucun art martiaux(se contente d'encaisser)

Description physique : Autrefois il était un jeune homme souriant toujours joyeux d'un rien, mais le monde a changé et a emporté son sourire avec lui, il en reste la gentille personne, mais avec 19 ans de plus et un visage méfiant. Son visage qui semblait bien jeune pour son âge n'a que peu vieillit, ses traits semblent pourtant plus adultes. Un corps svelte et bien réparti pour son âge quoique un peu maigrichon, malgré ses 49 ans il semble en posséder du moins 35-36, ses yeux bleus se sont un peu ternis, et son teint a blanchi, toujours aussi imberbe, sa pilosité corporelle est quasi inexistante, concentré au niveau des jambes.

Senji a du changer son look depuis la nuit du grand bouleversement. Son style Bykkers, toute cette panoplie de cuir noir a été jetée, pour laisser place à un style plus adulte, plus responsable. Toujours en chemise et en pantalon de velours, ainsi que chaussures de ville, malgré tout il a conservé sa moto qu'il a boostée et modifiée en lui rajoutant quelques petits gadgets.

Signes particuliers : une vieille Harley (boostée)

Caractère : Senji reste assez sociable, bien que les événements du passé l'ont complètement bouleversé, jamais fâché, toujours bon rieur ou souriant, il reste souvent a l'écart des petits conflits de peur de blesser un innocent ou de révéler aux humains qu'il est un mutant. On notera toutefois qu'il est moins étourdi et sait mieux s'adresser aux gens, préférant la franchise dans certains cas. Soucieux et des fois méfiant envers les humains, il ne leur pardonnera pas si facilement, et vu qu'ils ne sont pas prêts d'essayer de se racheter, il se pourrait bien qu'il devienne hostile à leur présence.
Du moins si d'autre mutants se font occirent.

Il ne fait pas confiance aux Humanoïdes, bien qu'il n'ait pas été en contact direct avec eux, et qu'il comprend qu'ils soient manipulés par les humains, bien que ceux ci soient leurs créateurs, il préfèrera éviter tout contact avec eux. Ce n'est pas pour autant qu'il ignorera celui d'entre eux qui se ralliera à la cause des mutants.

Senji a bien changé intérieurement, mais il cache souvent ça derrière un sourire ou une blague à deux sous, il masque généralement ses sentiments, sauf quand il s’agit du bonheur et de la gaieté.

Ambitions : Mettre fin à ce conflit ou du moins pouvoir reprendre une vie normale

Histoire :

[.....Avant le 31 2031......]

« Broooum brrrrrroooouuum »

Les ronronnements de la Harley, le vent caressant le torse nu et le visage d’un jeune homme, jouant avec sa veste noir de cuir, gonflant son Jeans, sous un soleil dominateur écrasant de ses rayons tout ceux qui se veulent le défier, une chaleur torride d’au moins une bonne trentaine de degrés. A cette température le long de la route, il semble qu’au loin des vastes étenduse d’eau la recouvrent, mais au pauvre fou assoiffé, il ne s’agit là que d’une illusion, un jeu perfide de la nature. Elle se moque de nous, les humains, nous avons perdu nos sens pour acquérir les rêves, les émotions et le savoir.

« Pin pon pin pon »

Pierre regarda dans le rétroviseur, apparemment on l’avait pris en chasse. Pourquoi lui ? C’était toutes ces voitures qui roulaient à contre sens qu’il fallait arrêter… en plus leurs conducteurs étaient malpolis. Pierre accéléra dépassant la limite requise, fonçant comme une flèche en slalomant entre les voitures. Une dernière sirène retentit suivie d’un grincement de freinage et d’un gros boum.

« Et paf ! »

Pierre sourit et continua jusqu'à la prochaine pompe.

« Et pour vous ce sera ? »

La voix limite désobligeante de la serveuse au restaurent de routard, la grosse dame aux cheveux roux à peine souriante, suant comme un bœuf de corrida, Pierre n’avait pas tellement le choix, des frites, un hamburger et une bière. La vie de routard avait des fois ses coups durs. A la radio route ils parlaient d’un fou qui se déplaçait en sens inverse sur la route.

« Un fou ? Des centaines oui ! »

Grommela Pierre en s’attaquant à son hamburger, il avait une faim du tonnerre, si bien qu’il ne fit pas la fine bouche et dévora son repas comme un ogre, et se déshydrata avec la bière qui avait plus le goût de jus de chaussettes. Puis Pierre se leva paya son repas et reparti prendre sa Harley. Bon alors où vais-je aller ? Il sortit une carte routière et choisit les 6 villes les plus proches.

« Humhum….Am Stram Gram, Pic, Et, Pic, Et, Col, Et, Gram, Am, Stram, Gram … Boston … mouais allons-y »


[Un jour je sourirai moins, jusqu’au jour où je ne sourirai plus]


Pour peu qu'il s'en souvienne Pierre avait une famille en France, dans les environs de Carcassonne, les Guerrero étaient une p'tite famille de gens du sud, des braves gens. Pierre y serait encore si ses cousins Parisiens n'avaient pas joué aux cons et n'avaient provoqué Gros Bill, comme l'appelait Pierre, l'ogre des monts sauvages, le sombre et teigneux Adrien, une masse de muscles et de lard engloutissant la soupe comme un tourbillon avalerait un petit bateau de pêche. Il régnait sur les landes, piétinant de ses gros souliers les vignes et champs d'oliviers. Il avait 19 ans quand Gros Bill vint frapper à sa porte, tenant par le col ses deux cousins de Paris qui avait tenté de lui piquer sa monture. Pierre s'imaginait le pauvre cheval exténué, rampant sur le sol sous le poids de l'ogre. Les deux voleurs allaient être punis, ils l'avaient bien cherché aux cachots avec des croûtes de pains et de l'eau. Mais l'ogre estimait réparation, une modeste somme que notre vaillant chevalier n'avait pas sur lui. Brandissant un saucisson des montagnes et le pointant vers la bête il lui dit qu'il n'avait point cette somme et qu'il ne payerait pas.

Evidement Adrien n'apprécia pas et lui envoya un gros coup bien fort dans le ventre, et devant les yeux horrifiés de ses cousins Pierre et Adrien s'étalèrent sur le sol.

Quand Pierre rouvrit les yeux tout le monde semblait l'éviter, à cause de ce qu'il avait fait, ou plutôt ce qu'il n'avait pas fait, Gros bill était mort d'un arrêt cardiaque suite à un violent coup de poing, et ce n'est que par analyse sanguine que les médecins annoncèrent Pierre comme un mutant. Mais la nouvelle fut tenue secrete entre les médecins et sa famille. Le père de Pierre était lui aussi un mutant bien que celui ci mourut d'une maladie suite à sa mutation dégénérée il donna naissance à un garçon Pierre.

Bien sûr, seule la mort d'Adrien lui était reprochée et Pierre le souriant fut traité comme un enfant perturbé, mais ça ne l'empêcha pas de vivre. Il échappa de peu à la prison car il fut jugé en légitime défense face à Adrien, Pierre ne comprit qu’après quelques années, le gros Bill était lui aussi un mutant.

A ses 22 ans Pierre en eu assez de vivre avec sa famille il rêvait d'USA, le paradis des Bykkers, "Sexe Drogue and Rock'and Rolls", ça faisait un an qu'il s'était acheté avec ses économies et un petit plus une véritable Harley Davisson qu'un viel homme vendait à prix quasi dérisoire vu l'état de la moto. C'est à ses 22 ans qu'il pris la route emportant son chat avec lui et sa Harley. Après un voyage en avion, il arriva au USA à New York mais vu qu'il n'aurait jamais assez d'argent pour se payer un hôtel il décida de partir découvrir l'Amérique comme un véritable américain, pionnier de ce continent de rêve.

Il passa 6 années à parcourir les USA payant son casse croûte, son essence et son logement en réalisant de petits boulots par ci par là, les gens étaient étonnés de voir encore un Bykker rouler ainsi où le vent le menait. C'est ce même vent qui le mena par pur hasard à Boston.


[J’ai besoin de mon père pour savoir d’où je viens, tant besoin de ma mère pour montrer le chemin]


Pierre n’a jamais connu son père, mais selon sa mère c’était une personne remarquable, peut être même un ange tombé du ciel que celui-ci a eu vite fait de reprendre. Sylvain Guerrero, était un homme brave, courageux, gentil, il savait être aussi doux avec sa famille qu’avec sa terre. Malheureusement pour lui il était un mutant, et son enfance parmi les humains, avait été tout sauf heureuse, mais ça ne le rendait pas haineux pour autant. Sa mutation par contre, n’était pas en accord avec cela, et il y eu de nombreuses dégénérescences, jusqu’au jour où elle muta de plus belle tentant de tuer l’âme. Sylvain s’enfermait dans une cave et n’en ressortait que pour manger, et puis un jour il en eut assez. Il alla dans la grange, pris le fusil et se fit sauter la cervelle. Bien sûr jamais la mère de Pierre ne lui conta la vérité et aujourd’hui encore il n’en sait rien. Mais grâce à cette image de père modèle malgré le fait qu’il était mutant Pierre devint à son image quelqu’un de bon et de gentil.

Le jour où il appris qu’il était un mutant, il repensa à son père, il se sentait davantage proche de celui qu’il n’avait jamais connu et qu’il aimait énormément pourtant.



[Tu verras le bonheur c’est comme cette robe à fleurs qui n’est pas à toi, quand tu la porteras ne dit surtout pas trop de couleurs pour moi…]



Pierre étant enfant ? Sa mère vous dira qu’il a toujours été absent, dans la lune, dans son monde, et même s’il n’avait pas vraiment d’amis. Non pas parce qu’on le jugeait mal. Il ne s’est jamais ennuyé, il a toujours su s’amuser d’un rien, s’imaginant des choses, des fois quand sa mère lui demandait ce qu’il avait fait de la journée il répondait qu’il avait traversé l’océan Indien sur le dos d’une baleine, ou qu’il avait fait le tour du monde porté par d’immenses oiseaux. Quand on lui demandait ce qu’il voulait faire plus tard il répondait devant les yeux écarquillés de ses professeurs : « Quand je serai grand, je voudrai devenir un Mutant ». Bien sûr tout le monde prenait ça à la légère, enfin sauf sa mère qui n’aimait pas le voir dire ça, vu que la mort de son mari la faisait encore et toujours souffrir, et puis la crainte que son enfant en devienne un et puis meurt prématurément.

Durant son enfance les seuls moments où Pierre perdait son sourire étaient quand ses cousins de Paris se pointaient dans la région. Les gens du nord jouent aux rebelles ou à la guerre, et quand ils voient des gamins qui croient encore au père noël ou au pays imaginaire, ils les considèrent bien souvent comme des débiles et se foutent d’eux. Pierre les évitait et partait dans sa planque durant la journée.

Adrien l’ogre avait été autre fois l’ami de Pierre, mais pour des raisons inconnues, du moins à son âge, Adrien devint violant, méfiant et colérique, pourtant par le passé Pierre et lui jouaient ensemble à ces histoires fantaisistes. Le jour où ils se sont quittés c’était justement à cause des cousins qui l’avait embêté sur quelque chose, il y avait eu une bagarre et il ne revint plus jamais jouer avec Pierre, il devint aussi hostile à tout le monde.

Pierre fut triste pendant un temps, puis oublia le temps où ils avaient été amis, avec l’âge il ne changeait pas et sa mère se demandait si un jour il allait lui rapporter une fille à la maison, apparemment Pierre n’était pas vraiment intéressé.



[Je suis un trucage humain qui rêvait de devenir un Homme, sans trucage à mon âge le truc parfait serait d’être considéré comme un homme, un homme un vrai, un être humain de mon âge, un humain sans trucage !]


Pierre, parcourut les USA dans l’espoir d’y trouver la liberté qu’il n’avait su trouver en France, brisant les liens avec son pays, avec sa famille et son enfance, sur sa moto traînant derrière lui comme une cape immense, un bagage invisible, la porte du monde imaginaire. Pierre était un brave garçon débrouillard vous diront ses anciens patrons, car même la liberté à son prix. Et la moto n’avancera pas sans essence, ainsi que le voyageur aura besoin de sommeil et de nourriture. En tout cas Pierre avec le temps changea, bien qu’il conduisait toujours aussi mal et qu’il avait en lui une part d’imaginaire il devint plus adulte, être un routard a ses bons cotés, la route, les autres routards sympathiques avec qui on fait la fête, les copains de la route qui vous dépannent quand vous tombez en panne, les parties de chat avec les flics, tant de choses amusantes qui faisaient la vie du jeune homme.

Malgré son pouvoir de mutant, qu’il ne montra à personne, il devint un membre de la famille de la route, qui ne connaît pas le Garçon et sa Harley ?

["Welcome to the Paradise!"]

Pierre était enfin arrivé à Boston, il regardait les grattes ciel moins impressionnants que ceux de New York mais néanmoins immensément grand, il y avait de tout, magasins branchés ou pas, petits coins de verdure, bars et cafés, cette ville resplendissant, comme il est vrai toutes villes des Etats Unis, de couleurs et de lumière, sans oublier d'un bruit du tonnerre de Zeus. Il était émerveillé comme à chaque fois qu'il entrait dans une ville de son nouveau pays, comme un enfant le serait face à une boutique de bonbons. Mais au plus profond de lui son cœur battait vite et fort car il le savait bien dans cette ville une légende y avait créé un lieu mythique où tout mutant pourrait y trouver refuge, Dans son esprit il fallait, non il devait aller voir, entrer, sentir, en bref aller à l'Institut Xavier.

Il était de bonne humeur, sans se douter, il avançait à pas de géant vers le tournant de l'Histoire, il n'était pas l'acteur, mais juste un patin que le destin s'amusait à agiter, tel un poisson se débattant dans un filet de pêche sans la moindre conscience qu'il allait finir englouti entre du gratin de pommes de terre et une tomate tiède, nageant dans une sauce au citron et à la crème. Pierre aimait beaucoup le poisson, chaque fois qu'il en mangeait il pensait tout fort : " je me sens tout de suite plus intelligent", c'était son péché mignon comme le lait d'ailleurs, un vrai chat.

Ne sachant pas où aller, il accosta un passant près d'un bar et lui demanda comment se rendre à l'Institut Xavier, la chance que son interlocuteur soit un mutant était si faible qu'il n'en fut pas un, et sa réaction fut la méfiance, ameutant les autres autour de lui, trinquant à la santé de ne serait ce quel autre diable. Pierre du haut de ses 29 ans, sentit qu'il avait gaffé mais détourna l'inquiétude en disant qu'il était le père d'un des élèves et qu'il allait prendre de ses nouvelles. Quelqu'un de suspicieux lui demanda pourquoi un père s'occuperait d'un de ces monstre. Pierre en adulte responsable lui dit ceci : Il est vrai que mon fils n'est plus humain, mais je suis son père ce qui lui arrive est de ma faute, je me sens coupable. Même s'il s'agit d'un monstre je me suis juré de ne jamais l'abandonner à son triste sort." . Les gens autour de lui se sentir un peu bouleversés, hésitant, on lui indiqua le lieu de l'Institut, enfin approximativement, le mensonge avait pris mais parce que Pierre y avait mit une partie de son cœur.

Sur ce, il se rendit à l'Institut, aux premiers abords ça ne ressemblait pas à un refuge mais plus à une demeure luxueuse. Pierre fut charmé par son aspect, puis la découverte de son intérieur fut un choque, un palace, oui une demeure digne d'un baron, mais déjà une foule s'attroupait dans le hall d'entrée. En entrant après avoir déposé sa Harley, il passa en revue les personnes, après un bonjour, il fixa son attention sur un chat, ou plutôt un homme, ou alors un chat, ou un dieu égyptien. Il fut surpris de le voir parler l'anglais, au moins cette divinité ne semblait ni hostile ni dépassée par les temps modernes. N'ayant pas un sous en poche il demanda quand même si avoir une chambre était payant, apparemment sa question semblait étrange, il fut heureux d'apprendre que tout mutant était le bienvenu ici.

Pierre sentait qu'il allait passer de bons moments ici, dommage que le destin et la folie des hommes n'aient pas été de cet avis...

[Cauchemar...]

Pierre avait d'ores et déjà trouvé sa place à l'Institut, on était le 31 et déjà le compte à rebours avait commencé. Après une dure journée à rechercher un boulot, il se coucha plutôt...

*Un bruit.... j'ai sommeil moi!*

Quelques secondes plus tard...

*Des cris ! Qu’est ce qui se passe?*

Pierre se leva, il s'était endormi tout habillé, il entrouvrit la porte et vit des ombres se faufiler trahies par la clarté de la lune.

*Qu'est ce que... Hein, ça recommence...*

Il sortit attrapant la clé de sa moto, sans faire de bruit, il se glissa dans le couloir, les chambres des adultes était grandes ouvertes comme si, leur affaires étaient par terre pour la plupart, quelque chose les avait troublé eux aussi dans leur sommeil.

*C'est un rêve?*

Guerrero franchit le long couloir silencieusement, puis se dirigea vers l'aile est. Horreur, un gamin couru vers la sortie avant de tomber dans les bras de Pierre.

*Mon dieu il saigne*

"hey ho ça va qu'est ce qu'il se passe"

*mince il répond plus*

Peut être par courage il se décida de pénétrer dans le couloir il s'approchait en tremblant, son souffle hélait, quand il vit dans une chambre des soldats. Puis un gamin tenta de s'enfuir. Les hommes ouvrirent le feux puis se tordirent de souffrance, Pierre quant à lui avait une balle logé dans sa cuisse gauche une autre dans sa main gauche et une dernière dans son torse mais aucune n'avait touché de points vitaux. Pierre attrapa le gamin, et malgré la douleur se dirigea vers le garage en titubant.

*Fait chiii... rhaa..*

"Allez viens on va tenter d's'échapper"

*j'ai...mal..."

Il tâtonnait dans le noir traînant un gosse et perdant son sang, il décida de déchirer un peu de tissu d'un drap qui traînait pour se faire une compresse. Caché dans une chambre vide. Pierre avait véritablement peur et le jeune mutant lui aussi, pourquoi les humains s'attaquaient ils à l'Institut en tout cas c'était impardonnable, Pierre n'avait aucun moyen de se défendre, il fallait absolument qu'ils descendent au garage en espérant qu'ils ne soient pas pris par l'ennemi.
Un bruit sourd se fit entendre Pierre releva la tête, jetant un regard au delà de sa cachette, Un soldat, un autre, ils étaient perdus.

*Saleté, quelle poisse*

Il marmonna à l'oreille du gamin: " je vais le retenir, courre le plus vite possible, va, échappe toi" Pierre se leva brusquement et se jeta sur l'homme, laissant la voie libre au gamins qui se faufila dans le couloir. Le soldat décocha quelques coups à Pierre, sans se douter de l'effet de ses pouvoirs. Après que le garde se soit assommé lui même, Pierre s'assis complètement sonné par les coups, il fallait qu'il se casse d'ici au plus vite. Cassant à nouveau le silence, un coup de feu partit puis un autre et un autre, Pierre pensa tout de suite au gamin pourvu que ce ne soit pas lui. Il se releva et s'enfonça dans le couloir sombre titubant.

*impardonnable*

Le cauchemar continuait, c'était la première fois que le corps du mutant était percé par des balles ou quoi que ce soit, à chaque pas son corps ressentait la douleur, c'est ceci qui engagea son évolution. Pierre savait bien qu'il ne devait pas trop forcer mais à l’idée de devenir la proie des ombres. Il descendit les escaliers menant au hall, arrivé à celui ci, il se rappela de sa venue ici, lui qui pensait être au paradis, où allait il aller désormais.

*Un bruit.. Il faut se cacher.*

Pierre se planqua derrière des gravas, il vit alors des mutants qu'il avait déjà croisés auparavant s'échapper par le garage, sa première réaction fut de vouloir aller les rejoindre, mais une détonation sonore lui fit oublier son élan.

*Je ne vais pas rester là sans rien faire*

Pierre sortit de l'ombre et s'engouffra dans le garage, après être descendu, un triste spectacle l'attendait, des corps jonchant le sol mutants ou soldats, il tomba à terre les yeux en larme des larmes de peine et de peur se mélangeaient, son corps en plus de se vider de son sang peu à peu était terrifié, il ne voulait plus bouger. Il n'avait pas un esprit fort comme les autres, trop pacifiste, trop indulgent, qui découvrait la vérité. Un vent froid parcourut le corps de Pierre, et un bruit d'armement dans son dos.

*Bouge!! je t'en supplie, bouge!*

Le coup de feu partit, Pierre s'aplatit au sol, le soldat disparut dans l'ombre, Pierre restait par terre à contempler le visage d'un mutant mort face à lui, puis quand le silence revint il se releva une chance que par peur le seul mouvement qu'il se soit rappeler de faire et celui d'imiter la mort, la balle elle s'était engouffrée dans le corps d'un autre déjà mort. Il se releva avec peine et se dirigea vers sa Harley, les clés en main, elle resplendissait comme le dernier espoir. Enfourchant sa moto, mettant le contact, il regarda une dernière fois autour de lui. Puis dans un bruit de pétard, le mutant sortit du garage, et de l'Institut, s'arrêtant une dernière fois au portail pour regarder son paradis arraché, puis il disparut dans l'ombre de la nuit.

[Sur un air Américain...]

Pierre ouvrit les yeux allongé sur ce qui ressemblait à un vieux fauteuil moisi et déchiré, la fatigue le manque de soleil, sous un vieil air d'harmonica, rappelant les bon vieux western et la loi du plomb, sortait du vieux tourne disque grésillant, bientôt il allait rendre l'âme. La pièce mal éclairée, par quelques néons, ressemblait à un garage où divers reliques s'entassaient, sur les mur des posters publicitaires y était collés et sur quelques poteaux des coupures de presse. Tout un décor lugubre ressemblant à un cimetière mécanique, où les rats et les cafards avaient élu domicile, dans une puanteur digne des égouts et une crasse incurable, mélange d'huile et de poussières. Pierre attrapa une bouteille ou dessus était gravé en lettres d'or whisky, la décapsulant il vida le fond d'une gorgée. Puis il se leva ramassant sa veste,

Pierre avait changé, il n'était plus le jeune insouciant vivant l'esprit libre, aimant la vie, prêt à sauver la bonne et l'orphelin, déjà officiellement il était mort suite à ses blessure, pour échapper au marquage il s'était fait fabriquer des faux papier et avait usurpé l'identité d'un certain Senji Guerrero, le fils du frère de son père, défunt à ses 16 ans, mort noyé. Il avait du changer tout chez lui, son look son style, sa démarche ses habitudes.

Il n'y avait pas une nuit, un moment où ses yeux fermés, il revoyait le cauchemar qu'il avait vécu quelques années plutôt, étrangement malgré cette épreuve son corps avait obtenu une nouvelle aptitude, celle de se régénérer, une fois blessées, ses cellule corporelles mutantes se ruaient sur la blessure pour cicatriser puis après une bonne journée, il étai guéri comme si rien ne l'avait jamais transpercé. Mais de peur qu'il n’oublie il s'était fait imprimer la date au creux de la paume de sa main gauche.

Un bruit sourd se fit entendre, la porte de la salle grinça et s’ouvrit dans un nuage de poussières, une ombre surgit des ténèbres, un vieil homme, ou du moins quelque chose qui y ressemblait, sa grosse barge jaunie, son bras gauche coupé et une sorte d'armature de métal au niveau de son torse et de son oeil droit. Il s'avança jetant un sombre regard à Senji puis s'assis dans le fauteuil, soupirant.

"t'es enfin réveillé, t'y a encore rêvé hein? La moto est prête, et le bateau part ce soir à minuit. Gamin fait attention à toi, pour nous les monstres du sous sol, le monde du dessus est comme l'enfer"

Autrefois ce vieillard senil était un bykkers, mais s'il se faisait connaître c'est par ses compétences de mécano, un talent que même aujourd'hui il n'a pas perdu, depuis la guerre ouverte contre les mutants, il vit dans ce trou à rat souhaitant chaque jour sa mort, Joe le mécano comme on l'appelait. Le lendemain du massacre Senji avait erré jusqu'à ce qu'il tombe sur son vieux pote de route. Joe était lui aussi un mutant, mais dont la dégénération avait entraîné divers maux ou dégénérescences, Joe avait hébergé Senji et avait pansé ses blessures. Il l'avait aussi aidé à changer d'identité et maintenant il l'aidait à fuir les USA, il n'espérait rien de la part de Senji car tôt ou tard sa vie se terminerait. Il avait eu un compagnon avec qui bavarder et ça lui suffisait.

"Merci Joe.."

Senji se leva et traversa la porte, s s'engouffrant dans les ténèbre, pendant ce temps là, Joe fermait peu à peu les yeux, il avait tenu bon, désormais, Good Bye Joe résonnait dans son coeur comme une mélodie de country. Le tourne disque sauta un morceau pour lancer un bon vieux morceau de joie et de banjo. Senji était entré dans un autre garage où une Harley, sa Harley l'attendait, boostée, reboostée, désormais c'était un pégase que nul filet ne pourrait arrêter. Senji revenait en France, dans sa patrie, au moins s'il devait mourir ce serait chez lui.

*Adieu Joe, Adieu l'Amérique, Adieu l'Institut...*

[Blue Sky]

Le bateau était à mi chemin, Senji avait repéré parmi les fuyards quelques mutants, mais n'était pas allé vers eux, Cette nuit la, le ciel était étoilé comme jamais, sur cette mer vide, survolant de leurs yeux le monde des humains, comme des anges, spectateurs de nos vie. Intense, ce sentiment, Senji ne pouvait détacher ses yeux, ébloui par la beauté de ce ciel nocturne. Il posa les mains sur sa poitrine au niveau de son coeur, était ce de l'espoir, quelque chose qu'il ne voulait accepter. Et puis l'espoir était mort, l'histoire avait commencé à tourner, bientôt il serait chez lui loin du rêve, du cauchemar, de la page d'Histoire qui se tournait. Senji s'allongea pour admirer.

*pff qu'est ce que je peux être lâche...*

"Vous avez de la famille qui vous attend?"

Cette voix brisa le silence, un jeune homme était assis à quelque pas de lui, il semblait bien calme malgré son triste regard. Il sourit au regard méfiant que Senji lui lança. Un jeune homme sûrement un anglais de par son allure, les cheveux en pagaille une chemise froissée blanche, un pantalon de velours noir, de vieilles chaussures trouées, un visage jeune et élégant.

"N'ayez crainte je suis comme vous.. héhé je suis télépate"

Senji détourna son regard se replongeant dans l'immensité astrale.

"Le ciel est vraiment beau ce soir"

Senji non pas par arrogance, mais juste parce qu'il avait envie d'être seul, faisant de l'ignorer. Il se sentait un peu cruel de faire ainsi, il en avait mal au coeur tant le jeune homme insistait, il aurait aimé avoir le courage de lui dire d'aller voir ailleurs. Il préférait regarder les étoiles.

"Je m'appelle Sank je viens de Boston et vous?"

Le jeune homme ne le fixait plus.

*de boston...*

Senji regarda Sank avec surprise.

"Vous étiez de l'Institut?"

Senji le regarda en souriant en guise de réponse puis continua.

"Non, moi je m'étais intégré aux humains. après avoir appris ce qui était arrivé à l'
Institut, j'ai quitté mon travail."

Senji baissa le regard, il était certain qu'il y en avait qui avaient réussi à s'enfuir mais il voulait quand même avoir une preuve.

"Oui, j'ai de la famille, enfin je crois.."

La nuit s'acheva sur cette phrase alors que les deux hommes regardaient l'immensité scintillante, au son du bruit des vagues ainsi qu'au ronronnement du moteur.

Quelques années plus tard...

[Ein heller Schein am Firmament. Mein Herz brennt]

Senji se réveillait, l'aube venait à peine de se lever, se passant la main dans les cheveux, il regarda autour de lui on entendait déjà les ronronnements et les klaxonnes des voitures qui circulaient dans la rue, tentant de se frayer un chemin dans un bouchon quotidiennement matinal. Il avait mal au crâne autant à cause des bruits divers qui avait troublé son sommeil que du fait que son lit n'était qu'en réalité un vieux canapé durci par le temps, le sol aurait été sûrement plus confortable quoi que quasi inondé par l'eau de pluie qui coulait depuis mille et une fuites au plafond. Sur les murs de béton de son appartement de circonstance, étaient accrochés divers photos ou morceaux de journaux relatant tous du problème mutant, des mesures prises ou futures, et puis des notes, beaucoup de notes écrites à même la pierre au marqueur. Senji prit son marqueur et traça une nouvelle barre sur un pan de mur déjà bien rempli, pour se souvenir du temps qu'il restait ici à se terrer.

Sur une table un journal où étaient entouré en rouge quelques messages, il avait attendu un signe, persuadé que ceux qui avaient survécu à cette nuit auraient finit par reconstruire et faire renaître l'édifice en ruine qui se trouvait autrefois à Boston, la maison des mutants. Et apparemment il n'avait pas attendu en vain. Déjà écrit dans le potain, ou dans divers journaux que seuls les mutants retranchés achetaient l'on parlait d'un lieu à Londres. Après avoir économisé Senji était bien décidé à partir pour l'Angleterre, s'il y avait une lueur d'espoir autant la saisir.

Le temps avait passé, Senji allait avoir 49 ans cette année et pourtant il ne les faisait pas, peut être un régime alimentaire miracle ou son pouvoir qui allongeait son temps de vie, il ne cherchait pas vraiment à savoir, il avait l'air d'avoir à peine 35-36 ans, toujours aussi imberbe, vu qu'il ne mangeait que peu et que sa vie était remplie de boulot mettant sa force à rude épreuve, il était resté svelte. Là où ça allait on ne peut plus mal c'était dans sa tête et dans son coeur, forcé à vivre parmi des gens qui en papotant avec lui n'exprimaient que de la haine envers les mutants, encore sous le choc de cette nuit, cauchemardant d'y être encore, non il lui fallait quitter son appartement Parisien au plus vite et tenter de retrouver sa véritable patrie.

[The End... or not]

Il avait erré, Londres a beau être une belle ville elle n'empêche pas qu'elle soit toujours aussi chère, ce qui avait le don d'agacer Senji, qui petit à petit désespérait de pouvoir trouver la lumière au bout du tunnel, il arrivait quand même à se payer l'essence, mais il regrettait son palace parisien, sa grosse éponge comme il aimait l'appeler. C'est en se perdant, se reperdant se rereperdant, comme disent les Shadok : plus ça rate plus on a de chance que ça marche, à force de se perdre il finit par trouver l'interrupteur qui ralluma son espoir embrumé. Il finit par rencontrer des mutants qui lui donnèrent plus amples explications sur comment se rendre à "l'Institut" ou plutôt à ce au refuge des mutants. C'est comme ça qu'il finit par trouver et s'y rendre.

Je tien à m'escuser de toutes fautes, malheureusement mon pc où j'écrivais tout et où le correcteur me rendait bien service est décédé.. paix à son ame...

Si tu peux essayer de corriger le tout (surtout l'histoire en fait) soit en te relisant, soit en réutilisant un correcteur et le sacrosaint copier coller, ça sera bien.

Pour ton pouvoir, on en avait discuté sur EvoX.
Le seul truc à voir c'est la régénération, pour l'instant on est d'accord qu'il guéri juste un peu plus vite (et pas plus fort, une blessure que quelqu'un ne pourrait guérir, lui ne pourra pas non plus : pas d'oreille ou de doigts qui repoussent....)

Pour l'histoire, j'avoue que je n'ai pas encore tout lu, pour l'instant je n'ai pas plus de temps, mais ça viendra même si je ne veux pas te donner un délai de peur de ne pas le tenir.

Et bien sur il te faut toujours un avatar

Voici un correcteur pas trop mauvais. Bon, à mon avis il faudra que tu y ailles en plusieurs fois vu la longueur de ton message, mais c'est déjà mieux que rien =)

http://bonpatron.com/

Bienvenue Senji ^^

Bon, j'ai lu ta fiche et je l'ai corrigée, parce que lire et laisser des fautes derrière, je veux bien mais non >.<

Pour moi c'est bon, reste à attendre l'avis des autres, surtout d'Evolo qui avait commencé à la lire

Pour tes posts relis-toi bien et utilise le lien d'Ivy ou le correcteur de Word si tu as...

TT des gens ont repondu ... youpi

euh désolést pour l'Orthographe, je tache de me relire mais c'est dur.. merci pour le lien de correcteur Savage (joli avatar :E )

Pour ce qui est du pouvoir j'avais oublié ce détail, qui n'en est pas un, mais oui c'est vrai que ça ne fait pas repousser les membres

Pour l'avarar je cherche quelque chose qui ressemblait à l'ancien avec des trais plus agés, je trouve pas pour l'instant.

(pas grave lis quand tu auras le temps de toute maniere la fin a été un peu baclée, non, elle l'a été, en raison du fait que quand je postais la suite et que je l'envoyais ça me sortait, reconnectez vous, soit réécrivez tout votre message... au boud de 5 fois j'ai abandonné :'(. )

Senji Guerrero a écrit:

quand je postais la suite et que je l'envoyais ça me sortait, reconnectez vous, soit réécrivez tout votre message... au boud de 5 fois j'ai abandonné :'(. )

c'est pour cette raison que je ne poste jamais (ou presque) directement sur le forum ! Ecris d'abord sur un traitement de texte, ça te permettra déjà de corriger quelques fautes

Je vais te valider aussi, mais n'oublie pas ton avatar, quitte à remettre ton ancien en attendant

et n'oublie pas de relire tes posts stp

Bon jeu

PS : par contre, normalement tu es de niveau 2 étant donné, il me semble que ton perso est arrivé sur Evo au moment du scénario

le prob c'est que ça convient pas à l'histoire vu qu'il a aquis la regénération au moment où son corps a été bléssé profondemment, lors de la nuit, vu que la régénération s'aquiert lvl 3...

Hum, ça peut être la première manifestation de ta régénaration si tu ne l'as pas utilisée par la suite et c'est un prémice de ce qui t'attends ?

ou alors l'avancer d'un niveau, je sais pas, il faudrait voir avec Alex quand il aura récupérer un ordi^^'

en attendant tu peux commencer à poster

où alors le mettre proche de passer niveau 3, mais toujours niveau 2

(En attendant de trouver un avatar plus à proprié = >j'esêre que personne n'a déjà pris cette avatar, ça me fait de la peine de le laisser si mal modifié mais vu que je n'ai plus que paint désormais....)

RP parlant oui pourquoi pas, mais tu ne passeras de niveau que lorsque tu auras les points qu'il faut...

pr le vava, essaie d'en trouver quand même un autre, je te rappelle que ton perso est censé avoir presque 50 ans ^^'

Et maintenant... apres Senji ne fait pas ses 49 ans mais je trouve que cette avatar convien assez bien au personnage

C'est déjà mieux oui, par contre, je vais l'agrandir, il est pas aux normes

merci à toi

Réflecteur de Douleur
..euh de dégats plutot