Lorsque Léa a poussé la porte de la chambre numéro 317, un soir de janvier 2052, la première chose qu'elle a remarqué a été sa taille. En effet, cette chambre lui sembla plutôt grande - elle mesurait au moins le double de celle où elle avait l'habitude de dormir.
Le lit simple unique contre le mur de gauche lui indiquait pourtant que cette chambre était destinée à elle seule. Le linge de lit était de couleur bleu roi, avec des motifs blancs très jolis. De sobres rideaux blancs pendaient à la fenêtre, laissant filtrer une douce lueur qui illuminait les lieux.
En face de la porte, sous la fenêtre, il y avait un bureau de bois simple mais élégant, sur lequel était posé un ordinateur portable. Léa n'avait jamais eu d'ordinateur à elle auparavant.
Contre le mur de droite, il y avait une grande armoire. Léa était à peu près certaine de ne pas avoir assez de vêtements dans sa petite valise pour la remplir, et cette impression ne tarda pas à se confirmer.
Les murs étaient bleus pâles. Ils sont désormais assez peu visibles, car Léa les a recouverts de ses dessins. Certains sont des portraits, d'autres des paysages ou des animaux, d'autres encore représentent des scènes plus imaginaires. A la place d'honneur, en face de son lit, on peu voir les portraits de sa mère, telle qu'elle se la rappelle, de June et de Virginie.
Les deux crochets accrochés à la porte ont très vite été mis à contribution pour y suspendre sa veste et le sac bleu électrique contenant son matériel de dessin.

[HRP : Comme Léa était un pnj, jusqu’à ton arrivée, nous nous sommes permis de la faire interagir dans l’univers. Depuis qu’elles se connaissent Virginie et Léa communiquent pas mal par sms, pour s’organiser et se relayer pour aider June.
Voilà donc ce que ton personnage sait depuis le départ. Tu peux l’intégrer comme tu le veux dans ton entrée ! ]

Le communicateur de l’adolescente vibre. Le 23 janvier 2052, 18h42 heure de Londres, un nouveau message venant de Virginie Parish :

Virginie Parish a écrit:

« June doit partir en urgence. Un souci. S’il te plait va voir si elle s’en sort. Je crois qu’elle va avoir besoin d’aide. Tiens-moi au courant. Bisou. V. »

Réponse :

June a écrit:

Message écrit laissé sur le communicateur de Virginie 15 minutes après qu'elle l'ait prévenue
"June secouée mais OK. Partie quelque part chez un vieil ami. Pas voulu en dire plus... Elle te préviendra si bien arrivée. L."

Maintenant :
Le communicateur sonne de nouveau, 20h 30 heure de Londres, encore un message de Virginie :

*Je crois que tu ferais mieux de rejoindre le bureau de madame Hara. Je suis en route avec Artie et Luc. A tout à l’heure ! *

[Hrp : Désolée, vraiment pas le temps ce soir, j'ai les jumeaux à garder. Je m'y mets demain à la première heure, promis.]

[HRP: Prends ton temps. ]

RVD ICI

J'ai pas le temps ce soir, donc je répondrais en rentrant de vacances.