Prénom et nom complet : Irgit Schanukbaj-ogla Dshorokuwa
Surnom : /
Âge (Date de naissance) : 14 Juin 2017 (34 ans)
Race : Mutant
Avez-vous été vacciné/Etes-vous nés de parents vaccinés ? : Non.
Origine : Oulan-Bator, la capitale de la Mongolie.
Clan : Institut
Pouvoir : Thérianthropie (Ours). Niveau 1.
Irgit possède tout les attributs d’un ours. Force, résistance, vitesse (nb : un ours peut atteindre la vitesse de pointe de 56km/h).
En revanche, sa taille (aussi bien en hauteur qu’en largeur j’entends) ne lui permet tout bêtement pas de passer par un encadrement de porte (ou tout autre passage de taille « humaine »). Son poids l’empêche aussi d’utiliser des moyens de transport classique et, c’est idiot mais, il lui est impossible de parler.
De plus, pour ne rien arranger, comme tout les ours, il est sujet à l’hivernation
(Wiki « Hivernation » cliclic). Cela réduit donc bien souvent ses capacités (physiques et mentales) lorsqu’il ne se sent pas en danger, et devra s’échauffer, si je puis dire, avant d’être tout à fait en forme (un peu comme un lendemain de cuite très difficile au boulot).
Sa mutation étant permanente, il ne peut pas retrouver sa forme humaine. La seule exception étant par l’intermédiaire d’un annihilateur de pouvoir.
Aptitudes : Irgit n’a aucune formation, c’est un autodidacte dans tout ce qu’il entreprend. Il connait tout ce qu’il y a à savoir de la vie nomade. Chasser, faire du feu, s’occuper du bétail. Toutes les choses considérées aujourd’hui comme inutiles, il les connait. La seule chose qu’il ait réellement apprise est l’anglais, indispensable pour pouvoir lire des documents internationaux (notamment ceux utilisés pour la location des terres de sa famille). Mis à part une culture générale somme toute classique, il connait parfaitement bien l’histoire et la mythologie de son pays.
Description physique : Irgit, en temps normal, est un homme de taille et de corpulence moyennes. Son teint halé est celui de quelqu’un qui vit en extérieur. Exposé aux rigueurs de la nature, son visage est creusé de petites mais profondes rides et ses yeux émeraudes ont l’air de rester constamment clos, si bien qu’on n’en devine que rarement la couleur. Un observateur avisé ne le confondra pas avec un chinois, car malgré leurs ressemblances, Irgit est bien bâti et plus large d’épaules que la plupart de ses voisins. D’ailleurs certains traits peuvent laisser supposer à des origines russes.
Lorsqu’il est sous sa forme animale (depuis un certain nombre d’années donc), Irgit mesure environ deux mètres quatre vingt pour quatre cent cinquante kilos. Sa fourrure est dans l’ensemble brune. Sombre aux pattes, claire au museau. Ses minuscules yeux ovales sont verts tandis que ses oreilles sont noyées par la masse de poils. Chaque patte est aussi grosse que la tête d’un homme et ait munie de griffes aussi puissantes que tranchantes. Sa mâchoire quand à elle possède des canines que l’on préférerait ne pas apercevoir. Inutiles de dire que c’est un spécimen impressionnant et inquiétant.
Toutefois, pour ceux qui arriveraient à le toucher, sa fourrure est aussi douce que celle d’un chien et une main peut facilement se perdre dans son épais pelage. Un œil avisé remarquera également la présence d’un collier de pierres non-précieuses et d’os autour de son cou, caché par ses poils.
Signes particuliers : Il reste en permanence sous sa forme d’ours.
Histoire : Irgit est quelqu’un de pas comme les autres. Né de parents nomades, dès son plus jeune âge il fut en contact avec la nature. Chaque jour, il voyait les hommes de la tribu partir à la chasse et rassembler le bétail, les femmes tannaient les fourrures et concevaient des habits en cachemire de chèvre et lui jouait avec les chiens du village. Comme s’ils faisaient partis d’un autre temps, ils sillonnaient les montagnes et les prairies de Mongolie. Troquant et bavardant avec les voyageurs qu’ils croisaient. L’insouciance se lisait sur les visages de chacun et personne ici ne pouvait imaginer les tempêtes que secouaient les mutants à travers le monde. Chaque jour se suivait au rythme des saisons. Les plus anciens contant aux plus jeunes l’histoire du Chat et du Démon, ainsi que celle de la marmotte et des huit soleils.
Pourtant, son seizième anniversaire approchant, Irgit dû se séparer de ses proches. Fils du chef de la famille, il devait prouver à tous qu’il était digne de devenir un homme. C’est ainsi qu’avec la bénédiction et les recommandations du chaman du village, il partit à la recherche de son animal totem.
Des jours durant, il traversa seul les flancs rocailleux et les denses forêts de son pays natal. Souvent, il sentait les animaux l’observer, mais jamais il ne lui sembla trouver son totem. Un nuit pourtant, il sentit que la fin de son périple approchait et il se souvint des sages paroles de Sükhbaataryn le chaman. Le jeune Irgit décida donc de faire un feu à l’entrée d’une caverne silencieuse et de procéder à un rituel complexe, visant à lui permettre d’accéder à un état supérieur de conscience (Autrement dit pour nous autres occidentaux. Se shooter à l’herbe).
Ce n’est qu’au petit matin qu’il comprit. D’abord, une douce chaleur s’empara de son abdomen. En quelques minutes elle s’étendit à tout son tronc puis dans ses membres, ses pieds, ses mains et enfin, sa tête. C’était comme si on venait d’allumer une bougie à l’intérieur de lui. La flamme grandit, passant insidieusement de plaisir à gène puis douleur sans réelle distinction. A ce moment là - il ne savait déjà plus vraiment si ce qu’il percevait était réel ou non – il entendit ses os craquer horriblement alors qu’il tentait de se relever. Ses côtes semblèrent sortir de son torse, ses mains et ses doigts s’allongèrent à vue d’oeil. Puis se fut au tour de ses jambes. A l’intérieur de son crâne, il était persuadé qu’un être malfaisant tentait d’en sortir avec une furie non dissimulée. Tous ses muscles le tiraillaient, ses articulations lui faisaient atrocement souffrir et à mesure que son corps changeait, chaque seconde ressemblait de plus en plus à une éternité. La douleur était telle que plusieurs fois, il hésita entre prier ses ancêtres de faire cesser cette torture et se jeter du haut du premier précipice venu. Et puis plus rien. Un voile noir recouvrit sa vue.
En ouvrant les yeux, la première chose qui le choqua fut d’avoir l’impression d’avoir des poils sur le nez. En voulant le toucher, il sursauta de terreur en apercevant une patte d’ours qui n’était autre que la sienne. Chaque parcelle de son corps était recouverte d’un pelage brun souillé par la terre et le sang mêlés et séchés, et il sentait au fond de lui une faim lui tirailler l’estomac. Les heures et les jours qui suivirent ne furent qu’une longue et fastidieuse recherche de nourriture. Son instinct reprit totalement le dessus et des questions aussi simples que « Que m’arrive-t-il ? » ne lui effleurèrent même pas l’esprit. Plusieurs années plus tard, son comportement l’intriguera toujours sans pouvoir jamais réellement répondre à ses doutes.
~~ ~~
« Mes amis, mes amis ! Venez à ma rencontre, et voyez ! »
Tous les habitants du village de yourtes s’approchèrent du vieux chaman. Armé de son bâton de rituel, Sükhbaataryn désignait un point sombre sur l’horizon. L’insistance inhabituelle du vieil homme intrigua les nomades au plus haut point, mais ce n’est que lorsque l’animal fut assez près pour le voir que les habitants comprirent. L’Ours brun, aussi haut que deux hommes, marchait sur ses deux pattes arrière, ses imposantes pattes avant se balançant comme si un miracle lui avait donné le don de se déplacer comme un homme. Tous clamèrent et saluèrent le retour de leur ami, frère ou fils avec une joie non dissimulée.
« Irgit est revenu, Irgit est là ! »
~~ ~~
Une dizaine d’années plus tard, par manque d’argent, les terres de la famille furent louées (plus à cause de manipulations que par réel besoin d’argent) à des industriels russes qui établirent une usine quelque peu douteuse. On racontait –entre autre- que des hommes y pénétraient et que seuls des sacs en sortaient. Personne n’osait s’aventurer trop près de ces lugubres bâtiments et plus les rumeurs filaient, plus l’inquiétude grandissait.
Malheureusement pour Irgit, l’hiver étant tombé, il est obligé d’attendre le retour de la belle saison avant d’agir pour enrayer les inquiétudes de son village nomade. C’est pourquoi il aimerait faire appel à des gens capables de l’aider avant que quelque chose de grave n’arrive.
Caractère : De par ses origines nomades, Irgit est quelqu’un de fondamentalement calme, bon et libre. Il garde de son enfance un naturel protecteur avec les femmes et joueur avec les animaux. C’est également quelqu’un de très attaché aux traditions de son pays d’origine. Même s’il peut paraitre assez lent (aussi bien physiquement que mentalement) à cause de l’hivernation dont il est soumis, c’est avant tout un homme intelligent qui cherche à aller de l’avant. Il aime essayer avant de juger et se méfie plus que de mesure aux industriels véreux qui inspirent chez lui une très grande méfiance. Il aura aussi un penchant pour tout ce qui est « naturel » et une curiosité souvent bienveillante envers la technologie.
Ambitions : Protéger sa famille et son entourage du mieux qu’il le peut.
Votre âge (réel) : 22
Votre addiction au net (en h/jour face ) : A la louche, 1 à 2 heures par jour.
Comment avez-vous connu Generation-X ? : Je suis membre depuis, euh, l'ouverture ? ^^
Pour quelles raisons nous avoir rejoint ? : Voir au dessus
Est-ce votre dernier mot ? : Grruuummppphf
NB : Acceptez-vous que votre fiche de présentation soit mise dans les Incarnations si pour une raison ou une autre vous êtes appelé à nous quitter ? Oui